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2020

Deux jours et c’est ouvert !

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Nous sommes le 16 octobre et dans deux jours, après deux années passées entre les tombes qui m’entourent, voici venir le temps de l’ouverture.

Critikale arrive tranquillement ce dimanche 18 octobre, date symbolique, pour réaliser quelques mises à jour ludiques et complexes. Voici, comme prévu, 4 autres jeux qui ne sont pas passés par la case Critikale ces longs derniers mois. 8 titres arriveront avant ou après l’article d’ouverture.

Kona (Xbox One)

Les jeux d’enquête sont suffisamment rares pour bondir dessus lorsque le bout d’un morceau de galette vidéoludique approche. Kona fut une aventure jubilatoire. Très prenante grâce à la fantastique voix-off de Guy Nadon. Une narration intelligente et des énigmes difficiles mais jamais frustrantes. Vous êtes un enquêteur qui doit savoir qui a tué un personnage du jeu et pourquoi. Le pourquoi arrive relativement vite mais le tueur ne se trouve qu’en fouillant une petite ville glaciale avec comme seule amie votre vieille camionette. Même si le jeu ne brille pas par ses graphismes (ternes et sommaires), même aussi s’il n’est pas irréprochable niveau fluidité, Kona s’inscrit comme un jeu à vivre le soir, tranquille, avec son casque et ses couilles (image détendez-vous). Un jeu narratif comme il se fait peu, du même calibre qu’un Firewatch en certes plus froid… Dans tous les sens du terme. Une perle canadienne, encore une.

Ma note si il en fallait une : 85/100

Minecraft Dungeons (Xbox One)

Je n’attendais pas grand chose de Minecraft Dungeons. Vous le savez si vous lisez Critikale depuis la découverte de Minecraft, je voue un culte silencieux à ce jeu. Silencieux car le titre de Mojang est un jeu où l’on se perd volontiers. Je suis partisan des titres infinis où il faut récolter, crafter et construire, sans pour autant que cela se finisse. Culte car Minecraft est une découverte qui restera dans ma mémoire. Même si le jeu pourrait paraître tout à fait ridicule à de nombreux égards (les esprits fermés), il est un des très rares moments où j’ai oublié que vivre n’était pas synonyme de désastre régulier. Cela peut certes être étrange et même osé voire totalement crétin mais à l’instar de Stardew Valley, Minecraft est un truc qui me fait rêver comme un gamin et qui me perd des heures devant. J’oublie chaque moment difficile de la journée en jouant à ce jeu. Je n’y joue plus faute de temps, mais un jour peut-être si… Et bien si Mojang inclut Minecraft Dungeons dans Minecraft ! Pour moi, Minecraft Dungeons est un bon jeu pour les enfants souhaitant découvrir, pourquoi pas avec leurs parents, un jeu d’aventure rigolo et relativement simple. Mais Minecraft Dungeons est très simpliste justement. Minecraft devrait être plus profond, et ne pas commencer à jouer des ajouts en stand-alone à la con. Ajouter un vrai mode aventure à Minecraft serait bien meilleur que ce petit jeu sympa qu’est Minecraft Dungeons.

Ma note si il en fallait une : 71/100

Neon Abyss (Xbox One)

Neon Abyss c’est quoi ? Un personnage féminin ou masculin à choisir dès le début, des niveaux où les portes se renferment en vous bloquant avec des ennemis bourrés de sang et de boulettes de la joie. Vous videz une salle, les portes s’ouvrent, vous enchaînez ainsi quelques salles avec un joli plan facile d’accès et compréhensible, jusqu’au boss plutôt original. Original c’est le mot de Neon Abyss qui renferme pas mal de clin d’oeil à bien des jeux/films/séries. Jouabilité réactive (bouton de saut en gachette, mode à la Dying Light), des armes dignes de Enter the Gungeon et des ennemis qui seraient certainement marrants en peluche. Bref, adorable ce jeu, et coloré comme il faut. Le coup des oeufs à récolter pour obtenir des bonus est cool, les boss sont diversifiés, l’arbre de compétence est moyen mais la curiosité est de mise. Je ne suis pas très loin pour le moment et Neon Abyss fera son apparition plus complète bientôt. En l’état, le titre de Veewo Games et édité par Team17 est un excellent rogue-like et mérite de s’y attarder. Ne vous fiez pas aux débuts chaotiques, l’excellence vient après.

Ma note si il en fallait une : 81/100

Nuclear Throne (PS4/PC)

Une pépite comme j’aime. Jouabilité quasi parfaite, de nombreux personnages jouables vraiment intéressants (tous), du pixel-art maîtrisé et des armes proposant de belles sensations. Et tout cela même avec la manette de la PS4 (oui je préfère les sticks asymétriques de la manette Xbox). J’ai découvert Nuclar Throne en promo alors qu’il traînait dans ma liste de souhait Steam. Le bougre d’idiot n’est pas sur Xbox One alors je me fais de rares parties lorsque j’allume la PS4 (plus depuis avoir terminé God of War, Horizon Zero Dawn et The Last of Us II). Un excellent titre avec beaucoup de challenge et une difficulté retorse mais intéressante.

Ma note si il en fallait une : 86/100

Rappel des jeux résumés et des notes :

  • Carrion (Xbox One) | 87/100
  • Concrete Genie (PS4) | 87/100
  • Day’s Gone (PS4) | 64/100
  • Deep Rock Galactic (Xbox One) | 75/100
  • Firewatch (Xbox One) | 89/100
  • God of War (PS4) | 96/100
  • Horizon Zero Dawn (PS4) | 90/100
  • Journey to the Savage Planet (Xbox One) | 77/100
  • Kona (Xbox One) | 85/100
  • Minecraft Dungeons (Xbox One) |71/100
  • Neon Abyss (Xbox One) | 81/100
  • Nuclear Throne (PS4) | 86/100
  • Scourge Bringer (Xbox One)
  • Snowrunner (Xbox One)
  • Stranded Deep (Xbox One)
  • Subnautica (Xbox One)
  • Super Blood Hockey (Xbox One)
  • The Forest (Xbox One)
  • The Last of Us II (PS4)
  • The Messenger (Xbox One)

Je suis crevé, au revoir.

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2020

Quelques infos diverses pour finir l’année 2020

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C’est demain, à l’heure où j’écris ces lignes, que le dernier jour sonnera la fin d’une année bien particulière et foncièrement pénible.

Une nouvelle année est toujours un moment simple pour faire le point, pour essayer de faire mieux. Certains pourraient se demander ce qu’un jour en plus dans une vie peut être considéré comme une année nouvelle, un nouvel essai, et non une continuité. Certains donc, se diraient que nous sommes bien cons à se dire que nouvelle année rime souvent avec changement et remise à zéro des compteurs. Ces gens-là sont des cons. Car une nouvelle année marque fondamentalement une nouvelle étape dans le calendrier, quelque chose de neuf, un nouveau départ qu’on aimerait plus fluide que l’an passé à galérer avec nos masques et nos médias.

L’année 2021 sur Critikale commencera mardi 5 janvier. Le site proposera une mise à jour par semaine, cette mise à jour reprendra des news en vrac. Critikale optera pour du contenu différent comme annoncé depuis longtemps. Pour le moment, et avant l’article d’ouverture, voici quelques infos sur les jeux du moment.

CYBERPUNK 2077

Après 34 heures passées à Night City, mon avis reste le même, voire meilleur. La fluidité est là (Xbox Series X), graphiquement ça tient bien la route, les missions sont intéressantes, le contenu est dense, les détails sont présents, les personnages attachants (à part la voix française du héro), en somme, c’est très bon. La conduite des voitures est bonne (celle des motos est chiante) et l’amélioration lente du personnage (équipements, armes, gadgets, mouvements…) est un plus pour savourer le jeu tranquillement. Cyberpunk 2077 est donc parfaitement réalisé et sans conteste une de mes belles suprises de l’année 2020, ouf.

WILMOT’S WAREHOUSE

Hélas, malgré l’excellence du jeu, notre ami Wilmot propose une fin de merde. Oui, tout connement. Le jeu est maintenant terminé et la fin est clairement étrange (on est viré et remplacé par des machines). Étrange ? Pas que, cette définition de notre société actuelle n’est pas la bienvenue pour ce jeu je trouve car j’aurai aimé un mode dévérouillé ou quelque chose qui propose une rejouabilité sympa. Même si les éléments à ranger dans le hangar ne sont jamais les mêmes (200 de base, et bien plus si on refait plusieurs parties), le jeu ne sera pas relancé, il est d’ailleurs supprimé. Bien dommage car le titre est franchement génial et j’aurai pu y jouer de temps en temps si seulement la fin d’était pas exécutée de cette manière.

ASSASSIN’S CREED VALHALLA

Toujours présent sur ma console, cet épisode d’Assassin’s Creed est mon préféré (pas de mal, je n’aime pas les autres et je n’ai peut-être pas joué suffisamment à Odyssey). Je dois être à presque 60 h de jeu et aucune lassitude pour ma part. Le jeu est ultra fluide, parfaitement jouable, très beau et très vaste. Bien sûr je regrette beaucoup les très mauvais dialogue (le plus souvent) mais c’est juste dommage. Je le finirai prochainement.

C’est tout… et oui.

Comme écrit plus tôt dans le mois de décembre, Critikale ne parlera plus de jeu en général (petit paragraphe dédié). Ceci s’expliquera aisément vous verrez…

À mardi 5 janvier 2021.

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2020

Critikale 2021

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C’est en rencontrant d’anciens amis, d’anciens collègues, qu’on se rend compte à quel point notre vie est resté figée pendant des dizaines d’années. Figée comme une merde froide.

Alors que je vais relancer la console histoire de penser à rien ou presque, laissez moi partager quelques mots avant une année 2021 qui s’annonce pour le moins chaotique. Je pense que mon site est devenu un ramassis de déchets et de stupidité infantile. Je pense cependant qu’il résume pleinement ma vie. J’ai passé mon temps à vouloir plaire aux autres, à rester dans le cadre, dans le droit chemin, en évitant les courbes et les problèmes frontaux. Hélas, cette technique que je maîtrise pleinement joue en ma défaveur car le monde change, le monde évolue et moi non. Depuis trop longtemps Critikale est le seul moment que j’apprécie.

Je pose mes mains sur mon joli clavier qui fait des clics et des clacs et je joue une mélodie de mots à défaut de maîtriser l’un de mes rêves, le piano. Encore un échec cuisant pour ma part. Je regarde le chemin des autres et je vois des enfants, une femme peut-être, des amis, des soirées, des habitudes, des sorties, des projets, des adultes qui ont réussi à passer le cap d’un blog à la con où ils ne leur viendraient pas à l’esprit de marteler au tout peuple leur vie de joyeux blaireau. Car c’est cela même que je suis. Un blaireau.

La première phase a été de supprimer Facebook. Puis Instagram. Longtemps déjà, Snapchat n’était plus. Twitter est en pause avant suppression et reste mon ami Pinterest, seul réseau social que j’apprécie, que ma curiosité apprécie… Encore à me servir des autres comme une vitrine d’un bonheur que je n’ai pas su créer. Bref. Critikale cru 2021 ne sera plus. Je vais continuer quelques jours à poster des infos sur Cyberpunk 2077 et peut-être la mise à jour 1.5 de Stardew Valley version PC. Peut-être aussi je continuerai Assassin’s Creed Valhalla. Dans tous les cas, les articles se feront très rares et un Grand Article sera mis en ligne début janvier.

Je remercie chaleureusement tous les visiteurs de Killmyself (premier site), Rijkaan (modif de Kilmyself) et Critikale (remplaçant de tout ce bordel). Les artiles se feront rares mais plus réfléchi. Tout moi va disparaître mais j’annoncerai ce départ plus tard.

Joyeuses fêtes, et bonne année.

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2020

Jeu vidéo : Entre coup de coeur et coup de gueule

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Non, Cyberpunk 2077 n’est pas mon coup de gueule, les moutons gavés d’Internet oui, et mon coup de coeur revient au surprenant Wilmot’s Warehouse (Game Pass).

Quelques captures de Cyberpunk 2077 après 21 heures de jeu et avant un vrai article sur cet excellent titre de CD Projekt RED (Xbox One X). Les versions PS4 et Xbox One standards peuvent très bien être mauvaises mais je ne juge pas les avis sur celles-ci, car tout devient général avec Internet, les réseaux sociaux et le bouche-à-cul déplorable de ces derniers jours. Ou l’oreille-à-cul comprenne qui pourra.

Ci-dessous, des captures parlantes de Cyberpunk pour expliquer deux/trois trucs importants. Mon prochain article démontrera pourquoi Cyberpunk 2077 est un excellent jeu (!).

On commence pourtant mal par le bug du soir. Malgré le fait que je pouvais bouger difficilement sur cet écran noir, je n’avais plus d’interaction avec les ennemis. J’étais comme aveugle et immobilisé par le codage chaotique de Cyberpunk 2077. Oui le jeu comporte des bugs mais NON ils ne sont pas nombreux et restent « normaux » pour un premier run dans le monde du jeu vidéo. Les patchs qui arriveront sauront corriger le tir je n’en doute pas un seul instant. 99% du titre de CD Projekt RED reste parfaitement jouable et je ne regrette pour le moment que de rares trucs comme le moteur physique moyen.

J’ai enfin récupéré la voiture de V (oui après 20 h de jeu). Joli bolide avec une sacrée pêche ! La conduite est bonne (les motos sont spaces mais jouables). On sent les suspensions, le poids des véhicules et l’aspérité de la route, c’est bien là le principal non ? Et réellement, je suis bien pénible dans la critique sur la conduite dans les jeux (surtout pour les titres comme celui-ci).

Le stand de tir où vous pouvez gagner une arme sympa est dirigé par Wilson. Un gars qui insulte pas mal ses clients de petites bites car ça l’énerve de voir des gars tirés comme des manches mais tirer quand même… Le concours opposant 4 autres gars est facile (avec la configuration montrée dans un autre article sur Cyberpunk).

Voilà, pour le moment. Je continue mon aventure qui devient de plus en plus intéressante (et compréhensible surtout !). Sur Xbox One X le jeu est propre graphiquement, jouable, fourni, que demander de plus ? Si les bugs sont corrigés et si, pourquoi pas, le jeu gagne en fluidité (c’est déjà bien) et en technique, il sera sans nul doute un titre à posséder d’urgence… L’article contre les connards qui critiquent sans connaître arrivera dimanche ou mardi prochain.

Passons au surprenant Wilmot’s Warehouse.

Si je m’attendais à ça… J’avais regardé une vidéo vite-fait vu que le jeu allait être gratuit avec le Game Pass et j’avais trouvé ça bizarre (pourtant je suis fan de ce type de jeu décalé). C’est à son gameplay qu’on décèle un grand jeu, et Wilmot’s Warehouse n’a aucun égal dans ce domaine.

Simple, un camion arrive pour déposer des colis dans votre entrepôt. Ces colis, tous carrés et identifiés avec un symbole, doivent être ranger dans votre entrepôt pour être livré à des clients.

Les clients demandent des colis particuliers et d’une quantité précise. Vous devez ranger correctement votre entrepôt afin de satisfaire rapidement les clients. Si vous ne savez pas où vous avez placer tel ou tel « carton », vous allez perdre du temps et perdre des étoiles. Certains clients donnent 5 étoiles par exemple si vous les servez dans les temps. Vous pouvez bien sûr porter plusieurs colis en même temps afin de satisfaire un, deux, trois voire quatre clients en même temps.

Et justement, en étant organisé on peut facilement gagner des étoiles qui serviront à améliorer le personnage. Vous pouvez par exemple tourner les colis autour de vous pour vous déplacez dans certains endroits ou les ranger plus efficacement. Vous pouvez aussi activer un boost avec Y (Xbox One). Et pourquoi pas porter plus de colis qu’au début (8, 10, 12…).

Ici, grâce au bonus Rotation que j’ai acheté, je peux tourner les colis comme une pièce de Tetris (un tetriminos).

Ici, le coup de boost. Idéal pour speeder vers une zone où vous devez prendre un colis. Si vous transportez un ou plusieurs colis, impossible de speeder.

Une fois les cartons donnés aux clients, vous pouvez indiquer avoir terminé votre mission et ainsi gagner plus d’étoiles que prévu. Idéal pour acheter des améliorations.

De nombreux visuels de colis sont à collectionner et grandissent considérablement ce que vous pouvez stocker dans l’entrepôt (en augmentant forcément la difficulté !). Ci-dessous, tous les colis que je peux stocker dans mon entrepôt et surtout que le camion peut me livrer. Il faut une organisation drastique pour retrouver ces précieux…

Vous pouvez afficher les statistiques. Elles montrent le nombre de colis de chaque catégorie actuellement stocker dans l’entrepôt.

Wilmot’s Warehouse est ultra prenant. Dès que le camion arrive il faut stocker vos colis et se souvenir de là où ils sont ! Les clients, au nombre de quatre, demandent toujours différents colis et vous oblige à connaître parfaitement votre entrepôt. Le jeu est jouable à deux en coop. J’ignore comment ça se passe dans ce cas précis. Je vais essayer.

C’est tout pour aujourd’hui. Les temps sont dur niveau fatigue et autre alors je vous donne rendez-vous mardi 22 décembre pour la fermeture 2020 de Critikale. Avant peut-être avant l’article vérité sur l’excellent Cyberpunk 2077. Préparez-vous à un Article Noir particulier le même jour.

Salut.

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