Connect with us

2020

Premier avis sur Assassin’s Creed Valhalla, l’escalade pour les Nuls

Published

on

Unique achat jusqu’à la fin d’année (Cyberpunk est installé depuis des lustres), notre ami Assassin’s Creed Valhalla se trouve sur le disque dur de ma Xbox One X, avec la galette insérée là où il faut.

Pas de téléchargement facile (à petit prix) pour ce Valhalla alors je me suis résigné à le prendre en support physique pour la modique somme de 51 € (après moult réductions). Voici un premier avis sur ce titre qui joue entre le bon jeu et la grosse daube.

Commençons par les captures, après un tri des 57 effectuées pendant le jeu. Petit rappel de ma config car à l’heure où le matériel dépend de l’expérience de jeu, il faut bien connaître quelques détails. Je joue sur un ancien téléviseur Philips (plus de 10 ans) en Full HD (sans HDR, sans 4K donc, TV non connectée avec encore une péritel d »ailleurs). J’ai une Xbox One X afin de bénéficier non pas du rendu 4K mais surtout des options de performances (pour la fluidité d’affichage surtout). J’ai une manette Xbox Elite 2 qu’on m’a offert qui est uniquement configurée pour les captures d’écran (avec une des palettes). Voilou. À l’heure des TV 4K voire OLED 4K et des Series X ou PS5, j’ai une configuration bien ridicule pour jouer. Pour être précis, mon PC pourrait largement faire tourner Valhalla en 2K (résolution de mon écran) avec d’excellentes paramètres mais je n’aime pas jouer sur un chaise. Vieux principe. Allez, c’est parti pour les captures.

Comme d’habitude, je vire l’aide à la visée présente automatiquement dans tous les jeux afin de permettre à ceux qui sont ennuyés par le stick de viser juste. Je n’aime pas être assisté alors je vire toujours cette option.

Le jeu commence plutôt bien et c’est là où je suis bien déçu de ne pas pouvoir me permettre l’acquisition d’un nouveau téléviseur (et d’une Series X au passage). Tant pis, le contenu et le gameplay est presque le même (60 FPS sur Series X tout de même, ce qui change pas mal de chose niveau agréabilité (mot de moi).

Bien sûr, dès le début, vous pouvez apprécier l’éternelle planque dans les herbes « hautes ». Dès que ce grand gaillard et entre trois feuilles et deux branches, hop, ni vu ni connu. Génial…

Les effets de lumière sont superbes et rendent très bien le côté glacial du titre d’Ubi Soft. Cela doit être superbe sur nos nouveaux téléviseurs.

Comme souvent je suis déçu des PNJ. Les dialogues sont intéressants mais le charisme est absent de tous les personnages. C’est sympa sans plus.

Un espèce de codex est présent dans le jeu expliqant quelques trucs ainsi que les différents ennemis. C’est toujours agréable et l’interface est chouette. Hélas, les descriptions manquent souvent de détails et évidemment n’arrivent pas à la cheville d’un certain Kingdom Come Delivrance, bluffant à ce niveau. Ce n’est pas ce qu’on attend d’une licence telle que Assassin’s Creed mais un peu plus d’histoire aurait été un plus.

Les voyages en bateau sont pour le moment agréables. Celui-ci se dirige bien et possède le « poids » qu’il faut. L’inertie est bonne et on peut admirer les graphismes. Je le répète, c’est déjà propre sur mon vieux TV alors je n’ose imaginer sur un TV plus récent.

La découverte d’un nouveau lieu est toujours un moment sympa de ce genre de titre à monde ouvert (très ouvert, j’y reviendrai…).

Des petits jeux sont accessibles partout dans les vilages. Vous devez boire le plus possible, jouer à un jeu de dés plutôt agréable ou encore converser avec un poète afin d’apprendre à répliquer de la meilleure manière. D’autres trucs certainement mais ces petits jeux sont assez ennuyeux je trouve. Le jeu de dés à bonne réputation sur Internet alors peut-être devrai-je m’y mettre sérieusement. Sur cette capture, c’est justement celui-là. J’ai gagné ma première partie mais sans motivation.

Vous pouvez trouver des quêtes ou obtenir divers trucs en parlant à des personnages. Ici, j’ai gagné un nouveau tatouage. Le personnage est personnalisable de la tête aux pieds. C’est bien fait et suffisant. À voir sur la longueur évidemment.

Quelques notes sont à trouver ici et là. Pas follement intéressantes, elles apportent tout de même un petit plus.

Je trouve la carte assez désagréable (pas assez précise et surtout on ne peut pas aisément la manipuler. Pas de rotation possible et le zoom est quelconque. Les objets ou lieux importants sont quand même bien indiqués mais je la trouve trop austère. Attendons le carte anglaise.

Les visages de nombreux personnages sont moches, entendez par là mal fait, le physique pur, on s’en fout. C’est d’autant plus chiant que le jeu est assez irrégulier à ce niveau. D’autres visages peuvent être techniquement réussis.

Comme indiqué plus haut, le jeu est beau. Certains paysages sont superbes et la liberté de mouvement est énorme. Niveau technique c’est donc une belle suprise bien que le tearing (déchirement de l’écran, le plus souvent horizontal) soit très présent quelque fois.

Le visuel des personnage est trop irrégulier. J’ignore si cela vient de mon téléviseur mais les effets de lumières sont souvent étranges. Les dialogues sont intéressants cependant et je suis curieux de connaître la suite, c’est le principal après tout.

Point très étrange du jeu qui facilite grandement la découverte de lieu et de sommet, l’escalade. En effet, notre ami peut escalder quasiment n’importe quoi et s’agripper partout. Marque de fabrique des Assassin’s Creed mais mais là c’est franchement bizarre. Vous voyez un sommet, pas de souci, vous pouvez y aller en ligne droite. Le personnage est ultra habile et peut se mouvoir sans le moindre souci sur n’importe quelle surface. Ah non, pas du gravier, impossible de gravir un eboulement, mais une falaise abrupte bien sûr que si. Cela ne nuit pas au jeu et grâce à cela on peut aller partout mais c’est dommage que cela ne soit pas plus subtil.

Plutôt courant dans nos jeux actuels, un bug de textures. L’eau est formée d’une plaque qui dépasse de la montagne (mais très visible mais tendez l’oeil, enfin tendez…).

Là, il va y avoir du sport ! Je ne suis pas fan des combats pour le moment, je les trouve imprécis, à part l’arc mais n’importe quelle flèche peut tuer à la tête même les nombreux ennemis avec des casques. Les deux coups possibles (faible/rapide et fort/lent) manquent un peu de poids.

Depuis Red Dead Redemption 2, la neige ressemble de plus en plus à la réalité. Tant par sa physique que par sa texture. Cela fait longtemps que j’en ai pas vu dans la vraie vie alors c’est toujours agréable. Idem pour The Last of Us II, c’est clairement excellent. Assassin’s Creed Valhalla se place correctement même si quelques petits retouches pourraient être effectuées. Les traces de sang sur la neige sont irréalistes par exemple. Le reste est bon. Pas de neige sur les arbres ou arbustes comme dans TLOU 2.

Atteindre (facilement) des sommets permet de découvrir un peu plus la carte (mais cela reste sommaire). Pour le moment, je n’utilise presque pas mon corbeau que je trouve assez moyen. Non pas à manipuler mais dans ce qu’il apporte.

Je le répète, les paysages sont plutôt agréables ! La portée est excellente. Pour le moment, niveau technique, c’est irrégulier mais globalement excellent.

La dernière capture correspond au mode Photo présent dès le début dans le jeu (avec l’appui des deux sticks, simple et efficace). Cela permet d’apprécier l’excellence du jeu pour l’ambiance.

ALORS VERDICT ?

J’ai quelques gros soucis dans mon appartement. Soucis qui m’empêchent d’être zen devant ma TV et appécier ce que je fais. Du coup, ce n’est pas le moment idéal pour jouer à un jeu comme Assassin’s Creed Valhalla. Si on multiplie ce problème avec les autres, je ne peux pas avoir d’avis objectif. Cependant, la partie d’hier soir était sympa et le jeu reste agréable niveau gameplay (même si les coups sont mous, on ne sent pas l’impact sur les ennemis) et si il comporte les tares habituelles des jeux Ubi. Mon prochain article sera bien plus complet. Là c’était juste pour présenter le jeu avec mes 3000 captures qu’on connait. Notons que les vidéos arrivent sur Critikale (avec ma voix dedans…), l’idéal pour présenter un jeu. Pas de YouTube ou je ne sais quoi, juste un forme court sur mon site. C’est en préparation (niveau matos) et en réflexion (niveau cerveau). C’est un peu, comme dit plus tard sur Critikale, un dernier essai pour savoir si je reste en ligne, dans tous les sens du terme.

Autre chose, la partie « mots et culture » arrivera prochainement et tiendra un place importante sur ce site. Je vous donne rendez-vous pour un nouvel article le mardi 17 novembre, très tard.

Continue Reading
Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

2020

Quelques infos diverses pour finir l’année 2020

Published

on

By

C’est demain, à l’heure où j’écris ces lignes, que le dernier jour sonnera la fin d’une année bien particulière et foncièrement pénible.

Une nouvelle année est toujours un moment simple pour faire le point, pour essayer de faire mieux. Certains pourraient se demander ce qu’un jour en plus dans une vie peut être considéré comme une année nouvelle, un nouvel essai, et non une continuité. Certains donc, se diraient que nous sommes bien cons à se dire que nouvelle année rime souvent avec changement et remise à zéro des compteurs. Ces gens-là sont des cons. Car une nouvelle année marque fondamentalement une nouvelle étape dans le calendrier, quelque chose de neuf, un nouveau départ qu’on aimerait plus fluide que l’an passé à galérer avec nos masques et nos médias.

L’année 2021 sur Critikale commencera mardi 5 janvier. Le site proposera une mise à jour par semaine, cette mise à jour reprendra des news en vrac. Critikale optera pour du contenu différent comme annoncé depuis longtemps. Pour le moment, et avant l’article d’ouverture, voici quelques infos sur les jeux du moment.

CYBERPUNK 2077

Après 34 heures passées à Night City, mon avis reste le même, voire meilleur. La fluidité est là (Xbox Series X), graphiquement ça tient bien la route, les missions sont intéressantes, le contenu est dense, les détails sont présents, les personnages attachants (à part la voix française du héro), en somme, c’est très bon. La conduite des voitures est bonne (celle des motos est chiante) et l’amélioration lente du personnage (équipements, armes, gadgets, mouvements…) est un plus pour savourer le jeu tranquillement. Cyberpunk 2077 est donc parfaitement réalisé et sans conteste une de mes belles suprises de l’année 2020, ouf.

WILMOT’S WAREHOUSE

Hélas, malgré l’excellence du jeu, notre ami Wilmot propose une fin de merde. Oui, tout connement. Le jeu est maintenant terminé et la fin est clairement étrange (on est viré et remplacé par des machines). Étrange ? Pas que, cette définition de notre société actuelle n’est pas la bienvenue pour ce jeu je trouve car j’aurai aimé un mode dévérouillé ou quelque chose qui propose une rejouabilité sympa. Même si les éléments à ranger dans le hangar ne sont jamais les mêmes (200 de base, et bien plus si on refait plusieurs parties), le jeu ne sera pas relancé, il est d’ailleurs supprimé. Bien dommage car le titre est franchement génial et j’aurai pu y jouer de temps en temps si seulement la fin d’était pas exécutée de cette manière.

ASSASSIN’S CREED VALHALLA

Toujours présent sur ma console, cet épisode d’Assassin’s Creed est mon préféré (pas de mal, je n’aime pas les autres et je n’ai peut-être pas joué suffisamment à Odyssey). Je dois être à presque 60 h de jeu et aucune lassitude pour ma part. Le jeu est ultra fluide, parfaitement jouable, très beau et très vaste. Bien sûr je regrette beaucoup les très mauvais dialogue (le plus souvent) mais c’est juste dommage. Je le finirai prochainement.

C’est tout… et oui.

Comme écrit plus tôt dans le mois de décembre, Critikale ne parlera plus de jeu en général (petit paragraphe dédié). Ceci s’expliquera aisément vous verrez…

À mardi 5 janvier 2021.

Continue Reading

2020

Critikale 2021

Published

on

By

C’est en rencontrant d’anciens amis, d’anciens collègues, qu’on se rend compte à quel point notre vie est resté figée pendant des dizaines d’années. Figée comme une merde froide.

Alors que je vais relancer la console histoire de penser à rien ou presque, laissez moi partager quelques mots avant une année 2021 qui s’annonce pour le moins chaotique. Je pense que mon site est devenu un ramassis de déchets et de stupidité infantile. Je pense cependant qu’il résume pleinement ma vie. J’ai passé mon temps à vouloir plaire aux autres, à rester dans le cadre, dans le droit chemin, en évitant les courbes et les problèmes frontaux. Hélas, cette technique que je maîtrise pleinement joue en ma défaveur car le monde change, le monde évolue et moi non. Depuis trop longtemps Critikale est le seul moment que j’apprécie.

Je pose mes mains sur mon joli clavier qui fait des clics et des clacs et je joue une mélodie de mots à défaut de maîtriser l’un de mes rêves, le piano. Encore un échec cuisant pour ma part. Je regarde le chemin des autres et je vois des enfants, une femme peut-être, des amis, des soirées, des habitudes, des sorties, des projets, des adultes qui ont réussi à passer le cap d’un blog à la con où ils ne leur viendraient pas à l’esprit de marteler au tout peuple leur vie de joyeux blaireau. Car c’est cela même que je suis. Un blaireau.

La première phase a été de supprimer Facebook. Puis Instagram. Longtemps déjà, Snapchat n’était plus. Twitter est en pause avant suppression et reste mon ami Pinterest, seul réseau social que j’apprécie, que ma curiosité apprécie… Encore à me servir des autres comme une vitrine d’un bonheur que je n’ai pas su créer. Bref. Critikale cru 2021 ne sera plus. Je vais continuer quelques jours à poster des infos sur Cyberpunk 2077 et peut-être la mise à jour 1.5 de Stardew Valley version PC. Peut-être aussi je continuerai Assassin’s Creed Valhalla. Dans tous les cas, les articles se feront très rares et un Grand Article sera mis en ligne début janvier.

Je remercie chaleureusement tous les visiteurs de Killmyself (premier site), Rijkaan (modif de Kilmyself) et Critikale (remplaçant de tout ce bordel). Les artiles se feront rares mais plus réfléchi. Tout moi va disparaître mais j’annoncerai ce départ plus tard.

Joyeuses fêtes, et bonne année.

Continue Reading

2020

Jeu vidéo : Entre coup de coeur et coup de gueule

Published

on

By

Non, Cyberpunk 2077 n’est pas mon coup de gueule, les moutons gavés d’Internet oui, et mon coup de coeur revient au surprenant Wilmot’s Warehouse (Game Pass).

Quelques captures de Cyberpunk 2077 après 21 heures de jeu et avant un vrai article sur cet excellent titre de CD Projekt RED (Xbox One X). Les versions PS4 et Xbox One standards peuvent très bien être mauvaises mais je ne juge pas les avis sur celles-ci, car tout devient général avec Internet, les réseaux sociaux et le bouche-à-cul déplorable de ces derniers jours. Ou l’oreille-à-cul comprenne qui pourra.

Ci-dessous, des captures parlantes de Cyberpunk pour expliquer deux/trois trucs importants. Mon prochain article démontrera pourquoi Cyberpunk 2077 est un excellent jeu (!).

On commence pourtant mal par le bug du soir. Malgré le fait que je pouvais bouger difficilement sur cet écran noir, je n’avais plus d’interaction avec les ennemis. J’étais comme aveugle et immobilisé par le codage chaotique de Cyberpunk 2077. Oui le jeu comporte des bugs mais NON ils ne sont pas nombreux et restent « normaux » pour un premier run dans le monde du jeu vidéo. Les patchs qui arriveront sauront corriger le tir je n’en doute pas un seul instant. 99% du titre de CD Projekt RED reste parfaitement jouable et je ne regrette pour le moment que de rares trucs comme le moteur physique moyen.

J’ai enfin récupéré la voiture de V (oui après 20 h de jeu). Joli bolide avec une sacrée pêche ! La conduite est bonne (les motos sont spaces mais jouables). On sent les suspensions, le poids des véhicules et l’aspérité de la route, c’est bien là le principal non ? Et réellement, je suis bien pénible dans la critique sur la conduite dans les jeux (surtout pour les titres comme celui-ci).

Le stand de tir où vous pouvez gagner une arme sympa est dirigé par Wilson. Un gars qui insulte pas mal ses clients de petites bites car ça l’énerve de voir des gars tirés comme des manches mais tirer quand même… Le concours opposant 4 autres gars est facile (avec la configuration montrée dans un autre article sur Cyberpunk).

Voilà, pour le moment. Je continue mon aventure qui devient de plus en plus intéressante (et compréhensible surtout !). Sur Xbox One X le jeu est propre graphiquement, jouable, fourni, que demander de plus ? Si les bugs sont corrigés et si, pourquoi pas, le jeu gagne en fluidité (c’est déjà bien) et en technique, il sera sans nul doute un titre à posséder d’urgence… L’article contre les connards qui critiquent sans connaître arrivera dimanche ou mardi prochain.

Passons au surprenant Wilmot’s Warehouse.

Si je m’attendais à ça… J’avais regardé une vidéo vite-fait vu que le jeu allait être gratuit avec le Game Pass et j’avais trouvé ça bizarre (pourtant je suis fan de ce type de jeu décalé). C’est à son gameplay qu’on décèle un grand jeu, et Wilmot’s Warehouse n’a aucun égal dans ce domaine.

Simple, un camion arrive pour déposer des colis dans votre entrepôt. Ces colis, tous carrés et identifiés avec un symbole, doivent être ranger dans votre entrepôt pour être livré à des clients.

Les clients demandent des colis particuliers et d’une quantité précise. Vous devez ranger correctement votre entrepôt afin de satisfaire rapidement les clients. Si vous ne savez pas où vous avez placer tel ou tel « carton », vous allez perdre du temps et perdre des étoiles. Certains clients donnent 5 étoiles par exemple si vous les servez dans les temps. Vous pouvez bien sûr porter plusieurs colis en même temps afin de satisfaire un, deux, trois voire quatre clients en même temps.

Et justement, en étant organisé on peut facilement gagner des étoiles qui serviront à améliorer le personnage. Vous pouvez par exemple tourner les colis autour de vous pour vous déplacez dans certains endroits ou les ranger plus efficacement. Vous pouvez aussi activer un boost avec Y (Xbox One). Et pourquoi pas porter plus de colis qu’au début (8, 10, 12…).

Ici, grâce au bonus Rotation que j’ai acheté, je peux tourner les colis comme une pièce de Tetris (un tetriminos).

Ici, le coup de boost. Idéal pour speeder vers une zone où vous devez prendre un colis. Si vous transportez un ou plusieurs colis, impossible de speeder.

Une fois les cartons donnés aux clients, vous pouvez indiquer avoir terminé votre mission et ainsi gagner plus d’étoiles que prévu. Idéal pour acheter des améliorations.

De nombreux visuels de colis sont à collectionner et grandissent considérablement ce que vous pouvez stocker dans l’entrepôt (en augmentant forcément la difficulté !). Ci-dessous, tous les colis que je peux stocker dans mon entrepôt et surtout que le camion peut me livrer. Il faut une organisation drastique pour retrouver ces précieux…

Vous pouvez afficher les statistiques. Elles montrent le nombre de colis de chaque catégorie actuellement stocker dans l’entrepôt.

Wilmot’s Warehouse est ultra prenant. Dès que le camion arrive il faut stocker vos colis et se souvenir de là où ils sont ! Les clients, au nombre de quatre, demandent toujours différents colis et vous oblige à connaître parfaitement votre entrepôt. Le jeu est jouable à deux en coop. J’ignore comment ça se passe dans ce cas précis. Je vais essayer.

C’est tout pour aujourd’hui. Les temps sont dur niveau fatigue et autre alors je vous donne rendez-vous mardi 22 décembre pour la fermeture 2020 de Critikale. Avant peut-être avant l’article vérité sur l’excellent Cyberpunk 2077. Préparez-vous à un Article Noir particulier le même jour.

Salut.

Continue Reading

Copyright © 2024 Critikale.com