2022
Horizon Forbidden West, trouver les mots justes
Le touché, le regard, l’odorat, de nombreux sens sont difficiles à décrire par des mots. Pourtant, notre magnifique langue recèle de synonymes bienveillants, de tournures poétiques, elle est remplie d’esprit, et d’une âme, propice aux descriptions exactes de tous les plaisirs de la vie.
Sous cette drôle d’introduction se cache un resumé peu nuancé de ce que Horizon Forbidden West procure. Peu nuancé car il est bien sûr exagéré de commenter ainsi un simple jeu, un truc de gamin selon les mal-baisés, les étroits d’esprit, les cigares exigus. Ci-dessous, mon 1er avis, rapide, de Forbidden West. Vous le savez, j’ai terminé à quasi 100 % (je ne parle pes des trophées mais du contenu) le premier essai grisant de Guerrilla Games.
Attention, article long et chiant.
C’EST JOLI OU C’EST FLUIDE ?
Voici une belle poignée de captures issues de la version PS5 (captures compressées). Depuis déjà de longs mois, je m’énerve tout seul comme un débile à force de voir les options vidéo de nos jeux prétendus next-gen. Autant sur un PC, il est logique et même évident de configurer au poil de cul près l’étendue souvent très grande, des options graphiques, audio et tout ce beau bordel. Autant sur des consoles, je trouve cela parfaitement débile. J’ai essayé, vous le savez, et je continue encore, le fort sympathique Dying Light 2 (sur Series X, je préfère la manette Microsoft, de loin). Or, là encore, il y avait une option 30 FPS pour une bonne résolution, ou 60 FPS tout naze. Grand adorateur de la fluidité des jeux, je choisis toujours le 60 FPS au détriment de la résolution 4K ou des effets dispos sur PC depuis 1940… Idem pour Forbidden West, un détour rapide, et obligatoire, dans les options pour virer cette PUTAIN de visée automatique ou assistée et une vision d’horreur sur l’éternel combo Résolution ou Performance. En Résolution, soyons clair, si vous êtes un temps soit peu objectif, le framerate du jeu est juste mauvais. Les 30 FPS ne sont pas stables et il est difficile de profiter de la réactivité légendaire d’Aloy. En 60 FPS, c’est beau (mais aliasé et moins fin forcément) mais c’est ultra fluide (sauf en de rares occasions dans l’eau…).
Bref, les captures ci-dessous, nombreuses, témoigne d’un jeu superbe mais sans l’excellence de la future version PC, je suppose. Certaines captures sont prises avec le mode photo, celles où l’interface est absente bien sûr. Dans la plupart des jeux, j’utilise rarement ce mode.
LES BUGS HABITUELS
Si il y a bien un reproche qu’on pourrait faire à Forbidden West, c’est l’étrange conception des collisions. Le jeu est beau mais le moteur physique manque de réalisme pour les obstacles, forcément nombreux, du jeu. Explications…
Commençons gentiment par cet ennemi en face, dans une drôle de position. Non, il n’y a pas d’arrêt sur image, il est juste resté figer ainsi. Cela n’arrive que très rarement mais le moteur physique de Horizon Forbidden West se comporte étrangement malgré l’excellence et le réalisme de ses animations. C’est bien dommage car il manque peu de choses pour que ce moteur soit performant à 100 % ou presque.
Ici ce n’est pas un bug, c’est juste mal programmé. L’ouverture de certains coffres de voitures (du temps passé), est honteusement mal foutue. La lance d’Aloy se plante un peu n’importe où et l’ouverture du coffre est irréaliste au possible. Il était facile, je suppose, de faire une animation correcte, et surtout précise.
Là, sur ces deux images, une débilité non corrigée depuis le premier Horizon. Certains items sont impossibles à récupérer car il se trouve encastrer dans certains éléments. Ou juste dans le sol, à une distance où le personnage ne peut intéragir. Ridicule et surtout, comme indiqué, non corrigé depuis des années.
Un exemple parfaite des problèmes du moteur physique. Aloy se trouve dans la roche. Même si de très nombreux jeux proposent gratuitement ce problème… C’est plutôt dommage car les ennemis et même Aloy peut « trembler » comme des glands contre une surface car le programme n’arrive pas à savoir où se trouve l’élément 3D. Des bugs réguliers mais facilement corrigibles je suppose.
Là encore, un souci non corrigé. Les plaques de textures visibles dues aux effets de lumière. Déjà dans le premier Horizon c’était le cas. Ici c’est un peu couillon. Je ne sais pas si ces soucis techniques apparaissent aussi en mode Résolution. Pas essayé car l’animation devient trop chaotique pour moi.
MAIS C’EST BIEN QUAND MÊME TON BORDEL ?
Pour le moment, c’est un sans faute pour tous les personnages rencontrés, les dialogues, les traductions et les voix françaises. Tout ça. Les personnages sont bien joués, charismatiques pour la plupart, et les visages et animations sont bien plus réalistes et crédibles qu’autrefois. C’est un plaisir de suivre les dialogues, d’apprécier les voix françaises et de choisir les réponses adéquates pour découvrir davantage l’histoire de l’Ouest Prohibé.
Il est toujours possible de ramasser 50000 trucs dans le très grand monde d’Aloy. Dorénavant, il est impossible de voir le curseur rouge indiquant une ressource impossible à récupérer car les développeurs ont ajouté la possible à Aloy de mettre tout le surplus dans une réserve, accessible dans certains campements et villes/villages. Ce n’est pas réaliste (les objets en trop se téléportent directement dans la réserve) mais tous les jeux sont ainsi faits. Nos personnages n’arriveraient pas à bouger s’ils devaient porter « physiquement » tout cet attirail, ce n’est pas Death Stranding (excellent jeu que je n’ai pas terminé pour le moment).
La carte du jeu sera présentée plus tard, dimanche 27/02 je suppose. Celle-ci est identique niveau conception que le permier Horizon, donc parfaite. Réaliste, intéressante, compréhensible, tout est fait pour qu’on navigue dans le jeu avec aisance. Le jeu commence sur deux petites cartes pour le tuto et termine par la vraie… Une fois passé l’introduction, le cycle jour/nuit commence. Car Aloy est censé faire tout le début du jeu en une journée.
Il est toujours possible, forcément, de scanner des machines. Leurs points faibles sont lisibles et les machines sont toujours aussi impressionnantes de vie. Leur animation est parfaite, les mouvements sont fluides, les combats grisants. Et tout est parfaitement stable à 99 % en mode Performance. À chier en mode Résolution.
Les combats avec les machines est tout aussi impressionants qu’Horizon Zero Dawn. La visée est parfaite (en virant l’assistance) et les déplacements d’Aloy sont réactifs. Le jeu ne souffre d’absolument aucun défaut dans la jouabilité.
À l’instar de Death Stranding, les zones impraticables sont indiquées en rouge. C’est un des points noirs du jeu avec les collisions mal foutues. Dès que certains éléments apparaissent en jaune fluo, c’est OK, ils peuvent être gravis. Le reste est impossible à franchir, même si on se demande pourquoi le plus souvent.
Se planquer dans les hautes herbes, tous les jeux sont passés par là. Impossible d’être repéré avec cette technique incroyablement réaliste. Mais il est vrai, nécessaire dans nos jeux actuels.
Il est possible de modifier chaque arme et leur ajouter des améliorations techniques. Mais je parlerai des menus et autres joyeusetés dans mon prochain article sur Forbidden West.
Les machines sont toujours aussi splendides. Et détacher chaque élément est jouissif et permet de se faire un petit pactole et de gagner du pognon facilement, mais lentement.
Au fil du jeu, les tutos sont particulièrement accessibles et très compréhensibles. En général, au fil du jeu, Aloy se rappelle ses précédentes aventures et n’hésitent pas à parler (régulièrement) pour nous rémémorer des éléments importants du gameplay. À ce niveau, pour ma part il n’est pas dérangeant qu’Aloy parle souvent, et encore tout est relatif. Cela ajoute du réalisme et le personnage est toujours aussi intéressant et attachant.
Là encore, je ne parlerai pas vraiment de cette partie du menu. L’inventaire, les arbres de compétences, la carte, le menu des quêtes et le carnet, seront expliqués dans mon prochain article à venir.
PREMIER VERDICT
Pour le moment, un grand jeu. Comme annoncé plus haut, il y a des jeux qu’on ne peut décrire avec des mots, où les sensations manette en main ne sont pas explicables malgré la grandeur de notre belle langue. Avec des graphismes (et donc une ambiance) aussi parfaits, une jouabilité impossible à prendre en défaut, une histoire intéressante et des personnages attachants et parfaitement doublés, des menus compréhensifs et des ennemis à l’intelligence artifcielle très correcte (les humains se sont améliorés), Forbidden West est assurément un grand jeu, un très grand jeu même. Je continuerai quelques articles sur cet excellent titre de Guerrilla Games ainsi que Dying Light 2 que je continue.
À bientôt, dimanche normalement (mais pas sûr car bien des choses à penser), et n’oubliez pas, Critikale est encore là mais pour combien de temps ?
Salut.
2022
Les jeux encore installés sur Xbox Series X
Hello, voici les jeux toujours installés, toujours debout, dans le disque SSD de la Series X. Prochaine liste pour les jeux PS5.
Les jeux vidéo n’occupent plus une place importante dans mes activités et il est dorénavant très rare que je m’intéresse à un jeu en particulier. Certains, comme listés ci-dessous, restent installés un peu bêtement en attente d’être, peut-être, relancés. Ma passion du jeu n’a pas changé (qu’il soit vidéo ou de société) mais je n’ai plus le temps et surtout plus les amis.
CYBERPUNK 2077
Depuis les centaines de mises à jour, Cyberpunk 2077 est resté sur ma Xbox. J’ai terminé le jeu il y a bien longtemps, peu après la sortie, avant qu’il ne soit ce qu’il est aujourd’hui. Il restait pour relancer une nouvelle partie et refaire l’aventure en profitant des améliorations sur Series X mais je pense qu’il sera bientôt supprimé.
DEAD CELLS
Comme indiqué il y a quelques jours, je joue de nouveau à ce qui était l’une de mes plus grosses surprises. Il restera peut-être par nostalgie du passé et de la découverte que j’ai adoré. Lui aussi sera supprimé si les prochaines mises à jour sont aussi étranges que les précédentes. Étranges dans le sens où elles n’apportent pas de réelles inovations dans le gameplay et rendent, je trouve, le jeu un peu fouilli.
DYING LIGHT 2
Je n’ai pas encore terminé cette suite imparfaite. Il reste donc enregistré. Cependant, je n’arrive pas à m’y remettre et je suppose qu’il a fait son temps. J’attends maintenant un certain Dead Island 2 ou une mise à jour qui pourrait rendre Dying Light 2 aussi techniquement abouti qu’un jeu new-gen.
HOTLINE MIAMI COMPILATION
Hotline Miami, c’est une longue histoire d’amour. J’ai terminé les deux titres sur PC depuis bien longtemps et je pense ne pas avoir terminé la version PlayStation (faute de temps/d’envie). Lorsqu’il est enfin arrivé sur Xbox, je me suis décidé à le refaire intégralement. Pour le moment, il est là, dans l’attente d’avoir envie.
KONA
Bientôt supprimé hélas. J’adoré Kona (la première version, non optimisée). Celle-ci est bien agréable et si vous ne connaissez pas, vous devez faire ce fabuleux jeu. Le prochain risque d’être encore meilleur ! Il faut que je trouve la motivation de le refaire mais je dois être très tranquille pour me (re)lancer dans cette histoire. Et tranquille, je ne le suis pas du tout, rien ne se passe actuellement comme prévu (d’où l’absence de régularité et la fermeture annoncée de Critikale).
MINECRAFT PREVIEW
Bêtement, j’attends toujours une mise à jour qui me ferait relancer le jeu, éternellement… Une mise à jour graphique. J’adore le style, j’adore le pixel-art en général, mais Minecraft mérite quand même mieux maintenant, en 2022 et après. Il n’est pas difficile de proposer une version plus fine et plus dense sur Series X. La version raytracing ne va certainement jamais arrivé mais j’aimerai une version 2 ou quelque chose de plus mature. De plus vaste et intéressant.
NUCLEAR THRONE
Fabuleux. Fantastique, exceptionnel, mais tellement frustrant ! Nuclear Throne est un titre qui ne risque pas d’être supprimé mais qui ne risque pas d’être terminé. Car je n’ai jamais réussi à être constant. J’avance, je recule, je ne suis pas concentré à chaque instant. Et un tel titre demande une concentration hors-pair. Si vous aimez les défis, les pixels et l’humour, foncez.
ONE FINGER DEATH PUNCH 2
Toujours pas fini c’est pourquoi il reste installé. Cela fait longtemps que ce titre marrant et ultra jouable n’a pas été lancé. Bientôt si je trouve la motivation, là encore.
POWERWASH SIMULATOR
Sur le papier, PowerWash Simulator ne brille pas. Encore un truc bizarre qu’une poignée de joueurs seulement pourrait lancer et apprécier. Pourtant nettoyer des trucs est follement reposant et ça passe le temps, cela fait oublier le quotidien. Un jeu bien foutu (optimisé) et malgré tout intéressant. Un peu de technique supplémentaire dans la gestion du jet d’eau serait un plus. En l’état c’est sympa et gagner du pognon (difficilement) permet de débloquer des trucs. PowerWash Simulator est lancé une fois par semaine environ.
SKY FORCE RELOADED
Sky Force Reloaded est une tuerie et l’un de mes jeux préférés. Il ne sera pas supprimé car je dois encore finalisé des niveaux. Or, pour ceux qui me restent (niveau très difficile), je dois être deux. Et je suis qu’un… J’espère pouvoir le poursuivre un jour pour tout débloquer. Je monterai quand même le titre prochainement.
SNOWRUNNER
Installé, désinstallé, installé… Snowrunner pourrait être un jeu qui se lance tous les jours. Hélas, malgré sa technique excellente (mais perfectible), le jeu reste chiant sur la longueur. L’absence de gestion d’entreprise ou de vie tout simplement, m’empêche de m’amuser à 100 %. J’aurai tellement aimé un jeu de simulation, de gestion, couplé à l’excellent moteur physique de Snowrunner.
STARDEW VALLEY
Impossible de supprimer le jeu qui m’a tenu de longues heures devant la console et SURTOUT, qui a pu m’empêcher de me suicider à quelques reprises… Oui carrément. Stardew Valley est arrivé à point nommé et le titre de ConcernedApe est absolument divin. Il n’est plus lancé sur ma Xbox (ni sur PC) mais fait quelque fois son retour pendant l’hiver, j’ignore pourquoi.
THE DIVISION 2
Dernier jeu de cette liste, c’est étrangement celui-ci qui tourne le plus en ce moment. Pour une seule raison : je ne l’ai jamais terminé pour d’obscures raisons. Cette fois-ci c’est la bonne et j’espère que je vais trouver le « courage » de continuer d’enchaîner les missions et enfin je finir le deuxième titre de cette superbe franchise (surtout en coop hélas…).
Voilou. Liste des jeux PS5 peut-être demain soir tard ou dimanche. Sur PS5 je joue au fabuleux et tellement reposant Toem (existe sur Steam). Sur PC, j’ai lancé Valheim car gratuit grâce au Game Pass.
Critikale continue ses petits articles avant de couper court à cette mascarade dans quelque temps.
Salut.
2022
Elisabeth II ne serait pas morte, mais bien décédée
On peut se demander la différence entre être mort et être décédé. C’est la question que je me suis posé. Je me dis toujours qu’il y a forcément une différence, puisque le mot n’est pas identique...
Un drôle d’article sur Critikale que celui-ci. Premièrement, cet article existe malgré la fermeture du site. Car oui, le site est fermé. J’ai cependant quelques petites choses à dire avant l’arrêt du nom de domaine et de son nom, tout court (juin 2023). C’est loin juin 2023 et je ne pense pas tenir jusqu’à cette date, mais malgré tout, une poignée de trucs inutiles sera diffusée sur ce site.
Être mort, en plus de ne pas être forcément cool pour tout le monde, c’est ne plus vivre quelque soit la raison. Ce gars est mort parce qu’il s’est fait coupé en deux par une scie géante. Cet autre gars est mort d’un cancer soudain qui a bouffé ses organes d’un coup, le copain d’en face est mort parce qu’il a rencontré malencontreusement la lame d’une hache en haut de son crâne. Et ce dernier, au fond là-bas, est mort d’une morsure d’un serpent forcément très venimeux. Bref, vous l’avez compris, ils sont tous morts. Mais pourtant ils ne sont pas décédés.
Car nos bonshommes ci-dessus ne sont pas mort d’une mort naturelle. Voilà le truc. Étre décédé, c’est mourir naturellement, de vieillesse donc. Quand le coeur dit stop, dit « houlala, c’en est trop ». Alors ce drôle de titre cache un article de Le Monde. Cet article titre « La reine Elizabeth II est morte de « vieillesse », d’après son certificat de décès« . On ne parlera pas du mot vieillesse balancé entre guillemets dans la phrase mais plutôt du petit ton fautif de ce titre. De nombreux lecteurs se demanderaient le pourquoi du titre suivant : Elisabeth II ne serait pas morte, mais bien décédée. J’ignore si, très précisément, dire de quelqu’un qu’il est mort de vieillesse n’est pas en fin de compte prendre les gens pour des débiles. Car cela vient à traduire un verbe devenu rare (décéder) en incorporant dans le texte sa définition la plus évidente, le fait que Elisabeth II soit décédée, et donc bien morte de vieillesse… Notons qu’en latin classique, décéder se traduit par decedere signifiant quitter.
Tout cela pour dire que je suis fou. Fou car je me pose tous les jours de très nombreuses questions étranges, des questions basiques le plus souvent, mais qui me font avancer et apprendre dans ma petite vie de merde. Qu’en pensez-vous, est-ce une faute de titrer ainsi l’article de Le Monde ? Comment celui-ci devrait être tourné ? Non je ne finis pas mon article aussi bêtement que certains articles où des questions sont posées à la fin pour inciter les lecteurs à commenter. C’est surtout des questions que vous devez vous poser.
Pour Critikale, je posterai un article par semaine, le plus souvent le dimanche, celui-ci résumera ma semaine (de tous types…) et aura le plus souvent le même titre numéroté. Critikale Mag (abandonné depuis longtemps, mais toujours téléchargeable) sera peut-être de retour comme un bulletin d’info à la con.
Salut.
PS : les mots latins (qui vont devenir nombreux sur Critikale) seront toujours en blanc sur fond violet.
2022
Article n° 1993
C’est le 1993e article sur Critikale et le dernier.
Non, ce n’est pas un article noir. Ce n’est pas un article négatif ou mentionnant plusieurs événements qui m’emmerdent au plus haut point. Une fermeture très douce après presque 2000 articles écrits sur un site qui n’a plus de sens dorénavant.
Des jeux, des trucs étranges et intéressants, des actus étonnantes et passionnantes, il y en aura toujours davantage. Critikale aurait pu continuer à débiter mes conneries sans avancer dans un monde que je ne saisi plus. L’âge peut-être. Je n’attends plus rien du monde et je vais ainsi me concentrer sur la suite de ma vie. Sur le peu d’énergie que je porte encore en moi afin de trouver une autre voix, un autre chemin que celui de la mort.
Critikale restera en ligne jusqu’à l’expiration de son hébergement ainsi que son nom de domaine. Sera t-il de retour un jour ? Si tel est le cas cela signifiera un changement radical dans ma vie.
Tout ce que j’ai à dire est MERCI. Merci pour les visiteurs silencieux (car il y en a des visites), merci d’avoir réagi à tout ça, depuis 2005 ou après. La suite ne sera pas sur mon site adoré, juste dans ma tête.
Au revoir.
2022
Du jeu pour le maintien de Critikale
Absolument rien à secouer d’allumer la console ces temps-ci, rien à secouer de faire quoi que ce soit d’ailleurs. Mais j’essaie des trucs pour m’occuper l’esprit, qui a grandement besoin d’une pause.
Ci-dessous, quelques jeux pour la rigolade. Critikale reste en berne jusqu’en novembre (comme écrit dans un article précédent) mais je posterai quelques trucs d’ici là histoire de maintenir le site éveillé, sinon ce sera la fin.
DEAD CELLS (Xbox Series X)
Sélectionné en image de mise en avant, ce bon vieux Dead Cells fait son retour sur Critikale. Il sera d’ailleurs présent sur Critikale car je n’ai pas vu d’article sur ce jeu sur mon site… Me trompe-je ? Malgré les mises à jour à répétition qui ne sont pas à la hauteur de ce chef d’oeuvre, Dead Cells va revenir hanter Critikale avant la fin de l’année (histoire de faire un point). Je n’ai toujours que 2 cellules de boss (1 cellule et ainsi de suite en activant la première cellule, puis la deuxième…).
L’humour de bon goût est toujours présent. La multiplication des possiblités est déroutante et je n’accroche pas à toutes les directions prises par Motion Twin.
Le jeu reste fidèle à lui-même : jouable, intéressant et complet (…). Dead Cells arrivera enfin sur Critikale car j’avoue ne pas comprendre pourquoi il n’apparait pas sur mes autres articles plus anciens, une erreur de mise à jour ? En tout cas j’aurai juré avoir écrit un truc sur ce jeu mais impossible de remettre la main sur les articles. Ce sera réparé bientôt.
DISNEY DREAMLIGHT VALLEY (Xbox Series X – Game Pass)
Ha ha ! Je n’en attendais rien et je ne suis pas déçu.
Le jeu respecte (forcément) la patte Disney. Les personnages sont nombreux, le jeu est joli, l’aventure promet d’être intéressante, tranquille. Mais alors ? L’animation est déplorable. Le jeu rame suffisamment pour être chiant et les animations du personnage principal sont grotesques. Un jeu certainement cool pour les partisans de Disney… Je dois juste être bien trop exigeant maintenant. À essayer…
YOU SUCK AT PARKING (Xbox Series X – Game Pass)
Un jeu qui devait être téléchargé tant j’accorde une grande importance au skill demandé dans ce genre de titre (et aux chronos). Hélas, tout n’est pas parfait.
La jouabilité est plutôt bonne. Il faut s’habituer à l’inertie du véhicule (quelque peu étrange) mais ça roule quand même (blague inside). Notons que la voiture ne peut pas faire marche arrière (moi qui pensait faire des créneaux incroyables !). Une fois la voiture à l’arrêt, c’est perdu, il faut être précis pour se garer.
La boutique… So 2022 (et même avant. Des packs à la con, des cosmétiques, de la merde en barre. Mais toujours utile pour ceux qui aiment.
METAL HELLSINGER (Xbox Series X – Game Pass)
Ma mémoire me joue des tours, j’avais déjà téléchargé le démo de ce truc. Truc car la jouabilité est franchement bizarre. J’adore les jeux de rythmes mais là je n’y arrive pas. Il faut certainement comprendre le truc, le rythme justement, pour jouer correctement et maintenir un quelconque intérêt pour ce jeu.
Toujours cette éternelle capture (la seule que j’ai effectué pour ce titre, ce qui signifie beaucoup…) et cette PUTAIN de visée automatique que j’ai désactivé. Je le répète, la visée automatique déjà coché témoigne forcément d’une jouabilité à deux balles cinquante. Et encore.
NI NO KUNI REMASTERED (Xbox Series X – Game Pass)
Mmh, je ne m’attendais à rien (oui comme le jeu Disney) mais là je suis agréablement surpris. Je ne connais pas la série et les jeux japonais avec sous-titre français ne me dérangent pas (étrangement vu que je ne suis pas fan des jeux VOSTFR). Bref, un petit jeu d’aventure qui a l’air sympa mais je ne pense pas avoir le temps de m’y essayer. Foncez donc. Surtout si la série est bonne (ce que j’ignore).
Jolis graphismes, monde réaliste et détaillé, personnages attachants, menus sobres et pratiques, bruitages et musiques très corrects… Du bon je vous dis.
Ce n’est qu’en commençant le jeu qu’on peut baisser le volume hallucinant de la musique et des bruitages en général. Je vire toujours les vibrations (inutiles dans mon cas) et le reste des options est du basique.
Les séquences animées sont très chouettes.
Un article sur des jeux alors que Critikale doit revenir qu’en novembre 2022 est tout à fait étonnant non ? En fait pas du tout. Écrire me fait oublier mon inanité.
À plus, ou pas du tout.
2022
Le coup de cafard final ?
Vous le savez, Critikale est en ligne depuis 2005 (sous le nom de Killmyself, puis de Rijkaan…). Cependant mes journées étant de plus en plus complexes, il est temps de faire le point.
Critikale a toujours été présent, malgré ses constantes fermetures et ainsi ma versatilité. Présent pour qui ?
Pour ceux qui apprécient mes écrits ?
Toutes les personnes qui ont un attachement particulier à ma drôle de vie scrutent certainement les moindres infos sur ce site, à la recherche d’un paragraphe parlant de ma petite personne et de ce que je fais en ce moment. Ils ont été séduits à un moment donné par quelques textes et reviennent régulièrement.
Pour les curieux ?
Les curieux sont ceux qui ne me connaissent pas, jamais croisés, ou par hasard entre les rayons d’un supermarché, d’anciens collègues… C’est devenu une habitude, un truc qui lisent de temps en temps, en train de pousser sur leur trône, ou pendant une publicité. Un petit aller sur Critikale, on regarde, vite-fait et on se dit que notre propre vie est bien meilleure que celle de ce bouffon.
Pour les ennemis ?
Des ennemis, tout le monde en a. Ou presque. Ici ennemi est un mot vaste, complexe. Dans tous les cas, ces visiteurs réguliers attendent le moindre article pénible pour ma part afin de se satisfaire de leur haine envers moi. Qu’ils se rassurent, l’année 2022 n’est pas simple du tout.
Pour des liens ?
Non point de liens amicaux mais des liens sur d’autres sites, une recherche Google, une image qui renvoie sur l’un de mes articles foireux. Ceux-là passent, gentiment, lisent ou non ce qu’ils ont en face, et reprennent le chemin des recherches Internet ou de YouTube. Ils oublient Critikale bien vite ou, de temps en temps, cliquent sur Favori pour me suivre quelque temps.
Pour mes amis ?
Ceux-là, j’en parle de temps en temps sur mon site et il faut maintenant une explication.
Je dis souvent que je n’ai pas d’amis, ce qui n’est pas le cas mais il y a un sens tout particulier à ce mot qui m’empêche de le penser, de le reconnaître. C’est la raison pour laquelle la citation de Jules Renard « Il n’y a pas d’amis, il n’y a que des moments d’amitié » est tellement vraie. Je pense avoir des amis, en effet, des gens pour lesquels je peux compter, qui connaissent relativement ma vie, et surtout qui peuvent être certains que je serai là pour n’importe quelle raison, qu’il suffit de me demander. Ces amis là sont réels certainement mais je ne les vois pas, jamais. On vit des vies détachées, seuls de notre côté mais c’est justement là où mon coup de cafard est tellement immense.
Ces amis souhaitent savoir si tout roule, si malgré mes plaintes et mes envies suicidaires je suis toujours là, à mettre à jour cet étrange site et à débiter des conneries. On ne m’a pas appris à être heureux, en d’autres termes, on ne pas pas montrés que la vie pouvait être belle, je me suis renfermé totalement d’année en année et je ne peux plus sortir du sentier qui me mène à la fin.
C’est donc la fin de tout ?
Pas exactement. Ce n’est pas la fin de Critikale car je ne me suis pas emmerdé à remettre en ligne les images de mise en avant pour fermer ensuite mon site. Critikale reste en ligne et d’autres articles arriveront. La durée de cette pause devrait être de deux mois, le temps de réfléchir (grandement). Je pense qu’un nouvel article apparaîtra gentiment vers le 1er novembre 2022. Je ne joue à rien en ce moment (j’ai pourtant le choix) et mes soucis externes ne sont pas simples à gérer, trop complexes pour être serein. Alors je vous donne rendez-vous début novembre pour plusieurs articles (normalement) sur divers jeux vidéo (sur les supports habituels), de divers jeux de société (Counter Attack, Blood Bowl Seconde Saison, Kill Team…) et bien sûr d’actualité en général (et de dessins idiots).
À force de résister, je vais finir par m’écrouler en silence.
2022
Fumisteries et âme en pause
En cette année étrange et terriblement stressante, je subis quelques travers qui me ronge petit à petit le moral et m’entraîne vers un vide sans fin.
En ce moment, alors que tout devrait rouler tranquillement vers la fin d’année, des mauvaises choses se passent au travail, et d’autres choses très mauvaises dans la vie privée. Au travail, ce sont des changements consécutifs, étranges, qui me pousse vers un avenir incertain, où je vais peut-être enfin changer de direction. Le chemin que je suis depuis des lustres n’a jamais été le bon et peut-être vais-je enfin me réveiller et prendre le taureau par les couilles, les cornes pardon. Dans la vie privée, sans rentrer dans tous les détails, ils sont nombreux, je subis là encore les errements de professionnels me ruinant mon planning de cette fin d’année. Planning assez rigide afin de glisser sur cette fin d’année 2022 le moins fébrilement possible. En gros, des travaux dans mon logement m’empêche totalement d’être serein et me stresse continuellement. Le mois de septembre sera décisif et j’espère qu’octobre verra mon planning revenir comme il était prévu…
Critikale continue ses mises à jour d’images de mise en avant. L’année 2008 étant affreusement longue (et 2007 aussi il me semble), je mets énormément de temps même si WordPress est simple pour ces actions. Des nouvelles j’espère bientôt avec quelques jeux (Steam, Xbox Series X ou PS5) et du jeu de société, que je m’obstine à porter un quelconque intérêt alors que je n’ai plus de joueurs, et pire plus d’amis, en face.
Les jours qui suivent seront complexes.
2022
Les jeux attendus de septembre et octobre 2022
Ci-dessous la poignée de jeux que j’attends avant début 2023, que ce soit sur Xbox, PlayStation ou PC. La liste montre surtout les jeux qui seront suceptibles d’être présentés sur Critikale. Si le jeu est dispo sur PS5 et Xbox Series X je choisi souvent cette dernière car je préfère (de loin) la manette. Même si la manette DualSense est une sacrée amélioration.
SEPTEMBRE
02/09/2022 • THE LAST OF US PART I (PS5) • Version remastérisée trop chère pour ma PS5 tout dématérialisée donc j’attendrai des prix plus doux ou l’intégration au PS+ Premium (l’un des abonnements qui sera terminé en 2023 parmi de nombreux autres).
30/09/2022 • FIFA 23 (Xbox Series X) • Je n’achète jamais de jeu de sports, et certainement pas de jeu de football. Mais je scrute toujours attentivement les sorties pour savoir si l’un d’entres eux me fera les mêmes sensations que PES 5 ou PES 6. J’en doute mais tous les ans j’y crois. La nostalgie, encore elle, n’a rien de bon.
OCTOBRE
13/10/2022 • WRC GENERATIONS (Xbox Series X) • La série WRC reste une curiosité qui soutient un certain gage de qualité à chaque version. Je vais zieuter celle-ci avec une certaine attention.
18/10/2022 • A PLAGUE TALE : REQUIEM (Xbox Series X – Game Pass) • Dispo logiquement day one dans le Game Pass, je jouerai peut-être à cette suite. Peut-être.
21/10/2022 • SCORN (Xbox Series X) • Intriguant. J’attends les premiers avis ou des vidéos plus explicites.
C’est nul, c’est clairement nul.
2022
NHL 23 (bêta fermée)
Bien sûr, aucune autorisation de EA de publier des captures d’écran de cette première bêta fermée de NHL 23 (Xbox Series X).
Vous commencez par le savoir, je joue à la série d’Electronic Arts depuis 1991 (sur Megadrive avec NHL Hockey) et à bien d’autres jeux de hockey sur glace avant cette date (Blades of Steel en 1988 sur Nes). Je suis passé par certains autres titres (Face-Off, excellent) et bien sûr l’extraordinaire série des NHL 2K (la crème des des jeux de hockey). Ce NHL 23, je l’attends, bien sûr. Mais pas autant que les opus précédents mais avec une certaine curiosité face à un NHL 22 qui reste le meilleur de cette série (il était temps). La nostalgie me fera dire le contraire et je garde mes plus beaux sentiments à NHL 95 (celui où j’ai passé le plus de temps) et au très rare NHL 98 sur Megadrive.
La bêta fermée de NHL 23, comme toutes les bêta (mot invariable) fermées de EA se déroule uniquement à l’extérieur, en 3 contre 3 le plus souvent. Et en ligne exclusivement. Je ne joue quasiment jamais en ligne, et plus en local (…) mais je me devais d’essayer cette bêta étant inscrit depuis les premiers jours au formulaire annuel habituel (un formulaire dit annuel peut-être être inhabituel ?). Bref… Que pensez de ce nouveau NHL d’EA ?
Tout d’abord, l’habillage, ce que l’on voit en premier. Fidèle aux habitudes, sélection de la langue (aucune prise en compte de la langue de la console, est-ce souhaité ?) et direction la création de votre avatar. On change quelques trucs, peu, vu qu’il faut gagner des sacs de sports bourrés de différents items, bonus et autres trucs basiques en 2022. Les menus sont fluides (pas comme les dernières versions, même NHL 22) et on peut lancer une partie vite-fait histoire de voir si le moteur Frosbite (lancé en grande pompe depuis la version précédente) est efficace et surtout mis à jour pour ce sport… Et bien oui. Les joueurs se déplacent davantage avec nervosité (plus que l’année passée) et tout est plus beau, plus fluide, plus coloré, avec des visages légèrement améliorés (pas compliqué).
C’est donc un premier essai concluant et j’attends la prochaine bêta fermée plus la bêta ouverte avec impatience, malgré tout. Si EA se reserve la même structure de démos qu’anciennement. Un NHL 23 à surveiller mais qui ne m’enveloppera pas dans une nouvelle saison où je prendrais du plaisir, je ne pense pas. Je crois, hélas, et j’y reviendrai, que prendre du plaisir avec un jeu est terminé.
Espérons que non.
2022
Des nouvelles bientôt
Quelques petites nouvelles prochainement sur Critikale. Mes vacances approchent et même si je serai fortement occupé, je posterai ici-même une poignée de trucs inutiles et ridicules comme toujours.
Le site poursuit sa pause car j’ai trop de trucs à faire à côté. Notons que les vidéos promises sur Critikale arriveront en septembre (ou fin août) mais ne seront pas les tests habituels comme tout ce qui traîne sur Internet. Pour la fin de semaine, ce sera une giboulée de jeux divers dont deux découvertes sur PS5 : Ghost of Tsushima et Returnal. Peu de news sur Xbox mais je mettrai en ligne un peu de contenu.
À plus.
PS : la grande restructuration de Critikale approche.
2022
La gentillesse comme signe de faiblesse
Je suis quelqu’un de foncièrement gentil, j’arrondi les angles, je manipule mes mots, j’essaie que toutes et tous se sentent en confort, je n’ouvre pas ma gueule de peur de blesser, d’engrendrer de la tristesse chez les gens, ces incroyables gens.
C’est terminé. J’en fais toujours trop, je ne pense jamais à moi, je n’arrive pas à m’identifier en tant que vivant dans cette vie, comme si j’étais une silhouette qui souhaite raccorder les hommes et les femmes ensemble, les serrer dans un nuage de gentillesse et dans un tourbillon d’étreintes. Cependant, cela affecte de plus en plus ma vie et ma santé.
Il faut toujours que j’aille dans le sens de tous, sans aller dans le mien, sans suivre ma voie. D’un chemin déjà bien pénible, j’arrive à des pentes sans fin et des fosses béantes que je me dois de franchir avec souvent de grandes difficultés et des bouts de vie massacrés. J’offre les plus beaux cadeaux, presque ridicules tellement c’est trop, mes belles intentions sont rarement découvertes et j’agis dans le noir le plus total, comme une ombre triste qui trace un sourire ridicule sur un visage déjà transparent.
J’ai eu 45 ans il y a peu. Le nombre risible de personne m’ayant souhaité mon anniversaire accompagne facilement ce texte de la dernière chance. Les amis, la famille, quelques collègues, tout ce beau monde, me souhaite une belle journée. Ils ne savent pas que chaque minute est une souffrance bien supérieure à celle déjà grandiose du jour passé. Je me sens inférieur à tous les niveaux, chaque personne que je croise doit certainement être mille fois supérieure à cette bonne pomme qui a perdu son énergie. Ce fruit moisi qui ne rebondi plus, non sans laisser à chaque rebond un bout de lui-même. En suintant, saignant, distillant son âme au moindre maigre choc.
Dès demain – it’s monday! – je vais essayer une autre technique pour communiquer. Un truc plus en accord avec le monde auquel je me grangrène. Quelque chose de plus familier pour mes interlocuteurs, pour tout le monde.
Critikale reviendra très bientôt 2 fois par semaine. Je pense à partir du lundi 27 juin. Je vais m’y forcer. Là encore, c’est un essai histoire de maintenir le site en ligne et d’arriver à une écriture régulière. 1 article sur les jeux vidéo et un autre sur d’autres trucs. Je parlerai de plusieurs titres (d’où l’absence maintenant de personnalisation des images en avant) et uniquement en vidéo d’un seul titre (ce qui arrivera en septembre si tout va bien…).
Sur ce, bon dimanche sur vos applaudissements.
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