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2016

The Division : poursuite d’une belle balade

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Actuellement au niveau 22 (16 pour la Dark Zone), je continue mes balades à New York avec un plaisir qui ne faiblit pas. Explications.

Même si The Division comporte des défauts (nombreux au regard de ce que le jeu pourrait être), il est réellement plaisant d’y jouer et de parcourir les rues de New York seul ou à plusieurs (pour l’instant, max deux). Attention, nombreuses captures à suivre.

La circulation à New York n’est pas des plus simples.

Je n’y croyais pas mais on peut bien briser l’aquarium présent dans cette salle. Joli effet d’ailleurs. C’est toujours un détail sympa.

Time Square la nuit, à une autre époque…

Là où passe les Nettoyeurs, la ville trépasse. Et pas que.

Avouez que vous l’adorez !

Se taper des petites tempêtes de neige (aléatoires) en mission est ultra pénible mais lorsque c’est lors d’une balade, ça va…

Comme indiqué précédemment, il faut tirer sur les bouteilles de gaz des Nettoyeurs pour les faire exploser. Les ennemis particuliers ont souvent des points faibles.

Là encore, déjà indiqué il y a peu, l’effet ragdoll est pénible et il sera très difficile pour Ubisoft de corriger le moteur physique. Voire impossible bien sûr. Globalement, le jeu s’en tire bien mais ne profite pas des meilleurs moteurs physiques connus.

Quoi de plus beau que de se balader à côté de l’océan Atlantique entre deux missions ?

J’en connais un très content de s’arrêter dans cette demeure champêtre. Jolies pousses.

Il faut bien prêter attention à toutes les boutiques de la ville de New York reconstitué par Ubisoft.

D’autres détails sont moins glorieux. Globalement, le jeu est plutôt noir, et ce n’est pas les vidéos qui vont me contredire.

La coopération est excellente dans le jeu.

Sauver de très nombreuses fois par l’ami Favelfoor (gamertag Xbox One), cette unité de soin est particulièrement importante.

Éternelle préparation avant l’attaque. Aucune lassitude pour l’instant même si, forcément, tout se répète.

En position défensive ici. Une fois l’hélicoptère de la Dark Zone appelé, il faut se méfier, beaucoup…

Chez un marchand • Le marchand d’armement avancé se dévérouille assez rapidement dans le jeu. Il propose peu d’arme mais souvent de bonne qualité. Un peu chères par contre, comme tout ce qui est de qualité non ? Non.

Menu récapitulatif des Intels • Les Intels sont les secrets du jeu. Vous devez trouver 24 guides de survie, 130 enregistrements téléphoniques, 40 rapports d’incident, 16 drônes écrasés, 20 agents disparus (leur carte d’identité) et 63 échos (expliqués plus bas ce mois-ci). Le jeu vous indique les lieux où ils se trouvent et vous pouvez acquérir une capacité pour les localiser.

Détail des Intels • Le détail des Intels est bien fichu et vous pouvez tout lire, écouter, ou regarder. Les vidéos sont particulièrement violentes, psychologiquement, je trouve.

Inventaire du joueur • Mon inventaire actuel. Inutile de dire que les sites Internet qui clame des menus bordeliques devraient s’acheter un cerveau. Les gens dedans aussi.

Écran du personnage • Ici, vous apercevez la fiche de votre personnage (sans statistiques, ce que je déplore…). Niveau 22, 16 dans la Dark Zone, attributs plutôt Santé suivi par le DPS secondaire (à voir sur la route en bas à gauche).

Dans la sacoche • Je n’ai pas encore saisi les subtilités de la sacoche, surtout pour les matériaux de fabrication. Je dois certainement débloquer des trucs. Ici vous voyez votre stock de grenades (différents modèles), de consommables (barres, sodas…), de munitions, de clés d’accès (coffres Dark Zone et crochets pour les portes) et de kits de soin. Dans la zone des matériaux de fabrication, j’ai par exemple 135 tissus et 95 composants électroniques. Pour les tissus, j’ai 5 tissus de haute qualité.

Personnalisation de votre personnage • Sur cet écran, vous pouvez personnaliser votre personnage. Vous pouvez enlever la veste pour un style différent (ou le chapeau, mais pas les pompes ou autre chose…). Je viens de remarquer le bouton Y pour Inspecter, j’ignore à quoi y sert ! Je regarderai ça demain… Idem, je n’ai pas remarqué que le menu Outfit Sets comportait des carrés de couleur, bizarre, je vais regarder ça aussi ! Vous pouvez débloquer un magasin de fringues avec suffisament de point de ravitaillement dans l’Aile Sécurité.

Écran des capacités • Sur cet écran, je peux activer trois capacités spéciales (pour le moment…). J’ai la bombe collante sur le petit stick droit, et une unité de soin sur le stick gauche. En appuyant sur les deux, j’ai… une surprise.

Menu Capacités : onglet des talents • Peu de talents pour l’instant (ha ha !). J’y reviendrai plus tard.

Menu Capacités : onglet des bonus • Les bonus octroient des effets spéciaux sur différentes capacités…

Niveau 22 et que de chemin parcouru ! AK-47 classique est mon arme principale depuis peu. Je me sers régulièrement du M44. Vous pouvez apercevoir un skin personnalisé pour le AK-47.

Avec plus de 80 captures, The Division doit être le jeu le plus photographié par ma Xbox One. Mais sur ce, salut.

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2016

2017, tout en préparation

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Vous n’avez pas rêvé, point de “joyeux Noël” cette année sur Critikale. Celui de l’an dernier était tellement obscur qu’il fallait mieux rien écrire pour cette triste année 2016. Le grand article 2016 va être légendaire… Celui de 2015 sera vite oublié.

Alors, pourquoi diable n’avez-vous pas eu de “joyeux Noël” comme chaque année depuis 2005 ? (me semble t-il)

J’ai décidé, cette année, de fêter Noël chez moi, avec mon frère, la femme de celui-ci, son fils, et ma petite mère, bien triste ces temps-ci. Ce Noël fut pathétique pour plusieurs raisons que je n’étalerais même pas sur Critikale ayant pourtant une proportion manifeste à me répandre en mots et en maux sur mon site préféré (orgueil inside). Pas de “joyeux Noël” donc et je l’espère sincèrement, un magnifique Joyeux Noël en 2017. Ultime année où je vais resister à pas me foutre par le fenêtre de mon joli appartement. Ou me couper les veines, au choix, je ne veux pas souffrir lentement… Que faire.

Bref, vous aurez donc malgré tout l’article régulier de fin d’année (et la joyeuse année en même temps). Le 1er janvier 2017. Ce dimanche, vous l’avez bien compris.

Chose très rare je suis en arrêt de travail, ma santé vacillante a finit par avoir une raison de mon pseudo courage. Reprise ce samedi. Je ne culpabilise pas trop (rare) de ne pas être au boulot mais de toute façon, c’était impossible.

Je lance tout de même l’excellent Stardew Valley histoire de faire des parties courtes même si je reste scotché à ce jeu malgré moi. Ci-dessous, les éternelles captures made in Critikale (souvenez-vous en pour 2017) et un petit message en toute fin.

Ma petite ferme avance lentement mais toujours un minimum (l’excellence de Stardew Valley). Sur cette capture, vous voyez mes vaches (tout animal peut être nommé, voir ci-ci-ci-dessous…), mes poules, mon unique canard pour le moment n’est pas sur la capture (il doit se balader ailleurs) et une partie de mes cultures. Vous voyez aussi en bas à gauche, accroché à un arbre, un appareil servant à récolter ce qui tombe de différentes arbres (sève et autres). Actuellement, je suis à la 2e année, en automne (fall).

Un peu plus tard, mes récoltes poussent. Vous voyez aussi mes épouvantails utiles contre les corbeaux.

J’ai placé quelques paniers dans le jeu pour récolter des poissons et autres joyeusetés dans la flotte (comme des débris, des vieux journaux…).

Une de mes premières poules : Raph. Euh oui désolé ma burne mais il n’y a pas de coq, complexe pour les oeufs les coqs… Cette bonne vieille Raph (!!) a 4 mois et va bien, merci pour elle/lui. Je peux changer les animaux de bâtiments ou les vendre.

Située presque contre votre domicile, la caisse est un des objets forcément les plus importants du jeu. À chaque éléments donné pour la livraison (et donc sa vente), vous pouvez voir le détail et ainsi observé ce qui rapporte le plus.

Le level 10 est le max de chaque capacité. Vous devez choisir une profession (ou plutôt là où vous excellez) au niveau 5 et au niveau 10. Ici, j’ai choisi Artisan (pas forcément visible sur la capture…). Mes ventes de produits d’artisanat m’apporte 40 % de pognon supplémentaire. Ce qui s’est parfaitement vu au jour suivant.

1er onglet du personnage

Vous voyez simplement son équipement. Les anneaux (qui apportent des capacités spéciales et permanentes au porteur, l’argent récolté depuis le début (ici 348.569g), le nom de votre chat (ou de votre chien), le matériel en main (première ligne) et dans le sac (2e et 3e ligne). Et bien sûr, la tronche de votre personnage avec son fameux chapeau…

2e onglet du personnage

Les capacités individuelles. Je suis au niveau 10 en farming, c’est à dire en récolte. Dans ma valise se trouve un livre pour apprendre la langue des nains présents dans le jeu et une clef Squelette (Skull Key) pour aller dans une grotte situé dans un desert.

3e onglet du personnage

Vos affinités avec les PNJ (Personnage-Non-Joueur). Vous voyez que j’ai 6 coeurs avec le maire de la veille (fayot) et 4 coeurs avec l’agricultrice Marnie qui est chargé de vendre les animaux (et qui possède la plus grosse ferme du village). J’offre tous les jours des bières à Pam dans le saloon du village et elle adore alors ma cote de popularité avance rapidement avec ce personnage…

4e onglet du personnage

La carte, simple ou simpliste. Mais en tout cas, elle fait le job ! Vous pouvez pointer sur les maisons pour savoir qui y habite, pratique au début.

5e onglet du personnage

Ce bon vieux crafting. Vous pouvez petit à petit créer des objets de toute sorte et ultra utile qu quotidien.

6e onglet du personnage

Le base de donnée de votre jeu se trouve dans le 6e onglet. Glissez sur un petit élément pour connaître ses statistiques.

Les menus de Stardew Valley sont ultra fonctionnels et parfaitement intuitifs. Même sur console. Je n’ai pas essayé la version PC.

Pas besoin de montrer les 7e et 8e onglets (paramètres et quitter le jeu). Ultimes captures ce soir avec une de très nombreuses quêtes. Il faut toujours apporter quelque chose à quelqu’un ou tuer des monstres particuliers.

Stardew Valley va tourner très longtemps dans ma console.

Il est 23:30, dans 30 mn, l’amour perdu de ma vie (vous choisissez l’ordre de ces mots) aura un an de plus. Comme chaque année, je vais lui envoyé un texto pour lui souhaiter. Comme elle le fait pour mon anniversaire en juin (40 ans bientôt…). Anniversaire spécial donc.

Comme toujours, peut-être, j’aurai une réponse cordiale histoire de ne pas me froisser (cela fait bien longtemps que je ne me froisse plus d’ailleurs). Pourquoi dis-je cela ? Très simple, car je me rends compte que je suis pathétique, encore amoureux d’une ombre qui ne m’aime plus depuis des lustres, depuis bien plus de 3 ans. Alors peut-être l’année 2017 sera l’année où mon cœur battera de nouveau et sera enfin ouvert.

Ou peut-être celui-ci ne battera plus. Ha ha. 

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2016

Entre jeux d’horreur et crafting en masse

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Ah ce bon vieux mois de décembre. Je l’attendais pas celui-là. Alors que mes problèmes dentaires m’empêchent de manger fondues et raclettes et que je maigri à vue d’oeil (déjà 5 kg…), c’est une foultitude de jeux essayés que vous trouverez plus bas.

Noël approche à pas de géants et c’est parfaitement pénible car il ne neige toujours pas. Chose rare cette année, le Noël de mort de l’an denier ne sera pas renouvellé car c’est moi qui invite… Je vais mettre l’ambiance, vous verrez ! Bah non vous ne verrez pas.

Ci-dessous, sous vos yeux ébahis qui se remettent doucement de mon retour sur le Net, vous trouverez du Resident Evil 7 (démo), du Outlast (jeu gratuit ce mois-ci avec le programme Gold du Xbox LIVE) et du Stardew Valley, jeu précommandé (chose horriblement rare) deux jours avant. C’est parti pour la démo de l’excellent Resident Evil 7, qui tranche bien par rapport aux anciens, et encore heureux. Rien ne remplacera les deux premiers. Ou le premier, ou Silent Hill, bref…

Vous commencez ici. Maison ultra glauque (moins que l’asile de Outlast, vous verrez…).

Le jeu est particulièrement beau car réaliste. Tout est ultra fluide, jouabilité parfaite et on ressent parfaitement chaque mouvement.


Dans la cuisine ci-dessus, il y a des cartouches de pistolet et une action à faire…

Ce n’est pas mon frigo vide qui risque d’être ainsi. Fait-il encore du froid ? Mmmmh ?

Action simple, le bouton action sert à ouvrir des placards et autres joyeusetés. L’inventaire est sobre et apparait très vite, pas de temps de latence à la con. Vous pouvez courir (l’endurance est minime) et vous accroupir. Vous ne pouvez pas sauter il me semble, je ne sais plus.

La protection avec les mains ne sert pas à grand-chose, mais plus tard oui…

J’ai compté pour le moment 5 fins différentes. Celle-ci n’est pas glorieuse.

Peu de captures car je mettrai ici-même une soluce complète pour avoir la bonne fin. Là où vous vous barrez de la baraque sans vous faire couper un bras ou juste tuer. J’ai été plutôt impressionné par le jeu, étrangement car je n’en attendais rien. Le 24 janvier 2017 celui-ci sera mien, sauf désagrément avant l’année prochaine.

Passons maintenant à Outlast, jeu gratuit sur Xbox LIVE actuellement et jusqu’au 31 décembre.

Petite rigolade des développeurs avec leur “bon amusement” après les “violence intense”, “contenu graphique d’ordre sexuel”, “langage grossier”… Ils sont mignons.

Vous débarquez avec votre Jeep et vous arrêtez au portail de l’asile. Rien qu’ici, l’ambiance est pesante et est un vrai délice avec le casque.

Délice de courte durée avec tous les bruits alentour. Vous pouvez porter votre caméra (il faut quelque fois) et regarder un peu partout. La caméra comporte aussi un mode de visée nocturne, habituel dans ce genre de jeu. Idem pour Outlast 2 d’ailleurs.

J’aime ces détails, vous voyez les pieds (et même le corps) du personnage, plus rare qu’il n’y parait. Un excellent point. Je m’attache beaucoup aux détails maintenant et j’apprécie ce genre de chose, je suis fou ? Idem pour la dernière capture…

Vous pouvez décider d’ouvrir les portes lentement ou rapidement. En tirant ou en poussant selon les portes. Excellente idée.

Ils étaient vivants un jour. J’ai sursauté deux fois déjà alors que j’ai joué 30 minutes. Ce ne sont pas les têtes qui m’ont fait surpris mais le personnage juste avant. Je vous laisse découvrir…

Pas follement sympathique d’être sur un fauteuil mais il faut croire qu’une personne était là pour aider le malheureux à marcher.

Beaucoup de morts dans cet asile et souvent des têtes coupées. Le plus flippant reste le souffle apeuré de votre personnage, ambiance garantie !

Choix cornélien. Une porte entrouverte, une porte ensanglantée, une porte fermée. Toutes seront ouvertes, je vous laisse là encore découvrir…

Tout comme certain (Assassin Creed, Uncharted), le personnage se maintient aux éléments du décor. Dès que vous approcher d’une porte il pose tranquillement la main sur celle-ci pour avoir une meilleure vue d’un couloir par exemple. Sachant aussi qu’il tient toujours sa caméra de la main droite. Il pose aussi la main gauche de l’autre côté de la porte.

Détail encore sympathique, l’aguille des secondes bouge parfaitement. Je ne suis pas resté pour attendre une minute, j’avais un peu les boules.

Finissons par Stardew Valley, mon coup de cœur de ce mois de décembre même si des bugs réguliers entachent le plaisir.

Un écran-titre comme je les aime, tout en pixels ! Hélas, le jeu bug régulièrement. Il fige souvent et j’ai eu un retour sur le dashboard de la Xbox One tout à l’heure. Pénible. De plus en plus de bugs d’ailleurs au fil de ma progression.

La création de personnage est minime. Vous devez choisir les éléments basiques (coupe de cheveux, pas de chauve dispo !, les couleurs de vos habits, le nom de votre ferme, votre animal favori et ce que vous aimez le plus). Ceci est ma seconde partie, d’où mon skipage de l’intro.

La ferme que vous lègue votre grand-père n’est pas en glorieux état. Un peu d’outillage par ci par là et le tour est presque joué.

Idem pour l’intérieur, très petit (vous pouvez l’améliorer). Le personnage se fatigue très vite, il est 14 h et je dois aller me coucher. Vous remarquez la jauge d’énergie en bas à droite…

Des petites quêtes vous font progresser un peu. Ici, je dois me présenter aux 28 villageois.

*

Je commence par celle qui me semblait la plus sympa… Notons que celle-ci est d’ailleurs le plus souvent très chiante. Là, elle vous dit que si vous ne portiez pas ces horribles habits, vous seriez mignon. Tellement vrai…

Le calendrier vous montre les fêtes locales (de Pelican Town, là où vous êtes) et les anniversaires, bloqués au début du jeu.

Vous gagnez la canne à pêche assez rapidement et l’épée plus tard. Je posterai d’autres captures bientôt. Je suis maintenant en Été (j’ai passé les 28 jours du Printemps). Difficile d’avoir de l’argent “facilement” pour le moment.

C’est tout pour ce soir. J’ignore si je posterai quelque chose d’autres avant le 25 décembre, le 29 ou le 1er janvier 2017.

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2016

Survivre à New York

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Je pourrais commencer ce petit article dédié à The Division par un magnifique “jouer est le seul truc qui me tienne en vie pour le moment”. Mais je n’en ferais rien, je suis bien trop positif pour cela. En plus, tant que les raclettes/fondues existent, je serai là.

Je pourrai aussi continuer en écrivant que je vais envoyer dans un mois l’annuel texto-anniversaire à ma très chère Lili, mon amour perdu, celle qui m’a retiré le coeur, qui me l’a envoyer valdinguer à 4983593439 km puis l’a repris et l’a reenvoyé à 839487394873 km, puis l’a repris et l’a écrasé joyeusement en chantant des chansons de Adèle tout en regardant avec ses copines haineuses un film de Tim Burton… Bref. Je pourrai. Mais j’en ferai rien car je m’en fous. Enfin non, je ne m’en fous pas, mais après tout, quand on ne supporte plus quelqu’un, on l’expédie. C’est ce que je fais maintenant. Un écart, je broie. Plus simple, et ça évite les malheurs du cœur le lendemain. Alors oui, je n’ai pas d’amertume, juste des regrets qui s’évaporeront lorsque j’aurai trouvé un amour fantastiquement démentiel. Je l’avais trouvé, mais il a filé le bougre de gland. Faut dire aussi que je suis particulièrement fermé. Je ne vais plus faire l’huître mais briller comme une perle.

Bref, je papote mais vous ne m’arrêtez pas, il faut dans ces cas présents.

J’ai téléchargé, grâce au Season Pass de The Division (première fois que je prends un Season Pass), l’extension Survie. Place aux captures donc pour présenter la bête (l’extension Survie et moi-même).

Personnage principal à date, le bonhomme progresse doucement.

Progression douce donc et ce n’est pas avec mon accolyte de toujours (visible en bas dans la rue sur le trottoir de gauche) qu’elle va être plus rapide. À deux, les missions les plus difficiles restent difficiles… Qu’importe, nous irons au bout de certaines bientôt.

Petite précision, peut-être que cela vous arrivera ou c’est déjà arrivé, même après téléchargement de Survie, il faut réactiver l’extension sinon elle est indiquée “hors ligne” à côté de l’escalier qui mène à la première extension (Souterrain).

Continuons par cette fameuse extension…

Attente comme des cons devant la porte de Survie. Chose incroyable, à cette partie nous étions 3. Favelfoor que vous voyez sur ma droite (le gars en face n’est pas moi), et Kusanagisaya, qui nous fait grâce de sa présence.

Vous arrivez dans une planque (bien différente des planques habituelles). Vous devez récupérer les antivirus dans la Dark Zone. Mais avant cela, il faut fabriquer un filtre basique pour y aller.

En haut à droite vous voyez la température que mon personnage peut supporter (-2°C) et la température actuelle (-21°C). Vous l’avez compris, il y a comme un problème… Vous devez ainsi trouver très rapidement des vêtements plus chauds ou…

… ou des barils de feu. Il faut quelque fois les allumer. Comme l’excellent Destruction Derby (aucun rapport), l’effectif du début (environ 30 agents) bat de l’aile et vous verrez en temps réel le nombre d’agents restants…

Enfin, les boissons, barres de céréales et autres joyeusetés sont utiles ! Elles ne sert plus à donner de la bouffe aux civils qui vous donnent généralement de la daube en échange mais à survivre dans ce bordel… Vous pouvez aussi trouver des vêtements (ou les fabriquer) et des armes (sur les ennemis ou autres). Si un ennemi lâche quelque chose c’est pour votre gueule, un agent passant par là peut le prendre sans problème… Y compris les coffres si vous jouez à plusieurs… Tout est unique. Mais vous pouvez parfaitement partager vos vivres et vêtements à tout instant.

Mon espérance de vie n’était plus que de 29 secondes (c’est peu). De toute façon je me suis fais buter par un PNJ (personnage non joueur). Un petit Lukas de niveau 30 (un gros con).

Voilou pour ce soir. Pour le moment, le mode Survie me plait bien mais si comme toujours, cela pourrait être plus poussé. Encore tout à l’heure, je me suis fait tuer stupidement et je n’ai pas encore pu réaliser plusieurs missions demandées. Je conseille d’ailleurs le jeu à deux minimum. Tout seul cela reste excellent mais difficile, ou je n’étais pas concentré.

Vendredi, article sur les racailles comme annoncé il ya peu. Demain, retour à Cultura pour me faire échanger (ou par avoir) un vinyle voilé. Les joies des nouveaux pressages…

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