2016
Mois d’août très studieux
Ouverture rapide du mois d’août sur Critikale et place au mois de juillet dans les archives ci-contre.
Quelques petites retouches rapides sur le site pendant 1 mois (qui ne ralentiront pas les mises à jour) et certainement un gros changement de couleur dominante. Le rouge, si cher à Critikale, sera gardé mais dans une moindre mesure. Des nouvelles dès demain soir.
2016
2017, tout en préparation
Vous n’avez pas rêvé, point de « joyeux Noël » cette année sur Critikale. Celui de l’an dernier était tellement obscur qu’il fallait mieux rien écrire pour cette triste année 2016. Le grand article 2016 va être légendaire… Celui de 2015 sera vite oublié.
Alors, pourquoi diable n’avez-vous pas eu de « joyeux Noël » comme chaque année depuis 2005 ? (me semble t-il)
J’ai décidé, cette année, de fêter Noël chez moi, avec mon frère, la femme de celui-ci, son fils, et ma petite mère, bien triste ces temps-ci. Ce Noël fut pathétique pour plusieurs raisons que je n’étalerais même pas sur Critikale ayant pourtant une proportion manifeste à me répandre en mots et en maux sur mon site préféré (orgueil inside). Pas de « joyeux Noël » donc et je l’espère sincèrement, un magnifique Joyeux Noël en 2017. Ultime année où je vais resister à pas me foutre par le fenêtre de mon joli appartement. Ou me couper les veines, au choix, je ne veux pas souffrir lentement… Que faire.
Bref, vous aurez donc malgré tout l’article régulier de fin d’année (et la joyeuse année en même temps). Le 1er janvier 2017. Ce dimanche, vous l’avez bien compris.
Chose très rare je suis en arrêt de travail, ma santé vacillante a finit par avoir une raison de mon pseudo courage. Reprise ce samedi. Je ne culpabilise pas trop (rare) de ne pas être au boulot mais de toute façon, c’était impossible.
Je lance tout de même l’excellent Stardew Valley histoire de faire des parties courtes même si je reste scotché à ce jeu malgré moi. Ci-dessous, les éternelles captures made in Critikale (souvenez-vous en pour 2017) et un petit message en toute fin.
Ma petite ferme avance lentement mais toujours un minimum (l’excellence de Stardew Valley). Sur cette capture, vous voyez mes vaches (tout animal peut être nommé, voir ci-ci-ci-dessous…), mes poules, mon unique canard pour le moment n’est pas sur la capture (il doit se balader ailleurs) et une partie de mes cultures. Vous voyez aussi en bas à gauche, accroché à un arbre, un appareil servant à récolter ce qui tombe de différentes arbres (sève et autres). Actuellement, je suis à la 2e année, en automne (fall).
Un peu plus tard, mes récoltes poussent. Vous voyez aussi mes épouvantails utiles contre les corbeaux.
J’ai placé quelques paniers dans le jeu pour récolter des poissons et autres joyeusetés dans la flotte (comme des débris, des vieux journaux…).
Une de mes premières poules : Raph. Euh oui désolé ma burne mais il n’y a pas de coque, complexe pour les oeufs les coqs… Cette bonne vieille Raph (!!) a 4 mois et va bien, merci pour elle/lui. Je peux changer les animaux de bâtiments ou les vendre.
Située presque contre votre domicile, la caisse est un des objets forcément les plus importants du jeu. À chaque éléments donné pour la livraison (et donc sa vente), vous pouvez voir le détail et ainsi observé ce qui rapporte le plus.
Le level 10 est le max de chaque capacité. Vous devez choisir une profession (ou plutôt là où vous excellez) au niveau 5 et au niveau 10. Ici, j’ai choisi Artisan (pas forcément visible sur la capture…). Mes ventes de produits d’artisanat m’apporte 40 % de pognon supplémentaire. Ce qui s’est parfaitement vu au jour suivant.
1er onglet du personnage
Vous voyez simplement son équipement. Les anneaux (qui apportent des capacités spéciales et permanentes au porteur, l’argent récolté depuis le début (ici 348.569g), le nom de votre chat (ou de votre chien), le matériel en main (première ligne) et dans le sac (2e et 3e ligne). Et bien sûr, la tronche de votre personnage avec son fameux chapeau…
2e onglet du personnage
Les capacités individuelles. Je suis au niveau 10 en farming, c’est à dire en récolte. Dans ma valise se trouve un livre pour apprendre la langue des nains présents dans le jeu et une clef Squelette (Skull Key) pour aller dans une grotte situé dans un desert.
3e onglet du personnage
Vos affinités avec les PNJ (Personnage-Non-Joueur). Vous voyez que j’ai 6 coeurs avec le maire de la veille (fayot) et 4 coeurs avec l’agricultrice Marnie qui est chargé de vendre les animaux (et qui possède la plus grosse ferme du village). J’offre tous les jours des bières à Pam dans le saloon du village et elle adore alors ma cote de popularité avance rapidement avec ce personnage…
4e onglet du personnage
La carte, simple ou simpliste. Mais en tout cas, elle fait le job ! Vous pouvez pointer sur les maisons pour savoir qui y habite, pratique au début.
5e onglet du personnage
Ce bon vieux crafting. Vous pouvez petit à petit créer des objets de toute sorte et ultra utile qu quotidien.
6e onglet du personnage
Le base de donnée de votre jeu se trouve dans le 6e onglet. Glissez sur un petit élément pour connaître ses statistiques.
Les menus de Stardew Valley sont ultra fonctionnels et parfaitement intuitifs. Même sur console. Je n’ai pas essayé la version PC.
Pas besoin de montrer les 7e et 8e onglets (paramètres et quitter le jeu). Ultimes captures ce soir avec une de très nombreuses quêtes. Il faut toujours apporter quelque chose à quelqu’un ou tuer des monstres particuliers.
Stardew Valley va tourner très longtemps dans ma console.
Il est 23:30, dans 30 mn, l’amour perdu de ma vie (vous choisissez l’ordre de ces mots) aura un an de plus. Comme chaque année, je vais lui envoyé un texto pour lui souhaiter. Comme elle le fait pour mon anniversaire en juin (40 ans bientôt…). Anniversaire spécial donc.
Comme toujours, peut-être, j’aurai une réponse cordiale histoire de ne pas me froisser (cela fait bien longtemps que je ne me froisse plus d’ailleurs). Pourquoi dis-je cela ? Très simple, car je me rends compte que je suis pathétique, encore amoureux d’une ombre qui ne m’aime plus depuis des lustres, depuis bien plus de 3 ans. Alors peut-être l’année 2017 sera l’année où mon cœur battera de nouveau et sera enfin ouvert.
Ou peut-être celui-ci ne battera plus. Ha ha.
2016
Entre jeux d’horreur et crafting en masse
Ah ce bon vieux mois de décembre. Je l’attendais pas celui-là. Alors que mes problèmes dentaires m’empêchent de manger fondues et raclettes et que je maigri à vue d’oeil (déjà 5 kg…), c’est une foultitude de jeux essayés que vous trouverez plus bas.
Noël approche à pas de géants et c’est parfaitement pénible car il ne neige toujours pas. Chose rare cette année, le Noël de mort de l’an denier ne sera pas renouvellé car c’est moi qui invite… Je vais mettre l’ambiance, vous verrez ! Bah non vous ne verrez pas.
Ci-dessous, sous vos yeux ébahis qui se remettent doucement de mon retour sur le Net, vous trouverez du Resident Evil 7 (démo), du Outlast (jeu gratuit ce mois-ci avec le programme Gold du Xbox LIVE) et du Stardew Valley, jeu précommandé (chose horriblement rare) deux jours avant. C’est parti pour la démo de l’excellent Resident Evil 7, qui tranche bien par rapport aux anciens, et encore heureux. Rien ne remplacera les deux premiers. Ou le premier, ou Silent Hill, bref…
Vous commencez ici. Maison ultra glauque (moi que l’asile de Outlast, vous verrez…).
Le jeu est particulièrement beau car réaliste. Tout est ultra fluide, jouabilité parfaite et on ressent parfaitement chaque mouvement.
Dans la cuisine ci-dessus, il y a des cartouches de pistolet et une action à faire…
Ce n’est pas mon frigo vide qui risque d’être ainsi. Fait-il encore du froid ? Mmmmh ?
Action simple, le bouton action sert à ouvrir des placards et autres joyeusetés. L’inventaire est sobre et apparait très vite, pas de temps de latence à la con. Vous pouvez courir (l’endurance est minime) et vous accroupir. Vous ne pouvez pas sauter il me semble, je ne sais plus.
La protection avec les mains ne sert pas à grand-chose, mais plus tard oui…
J’ai compté pour le moment 5 fins différentes. Celle-ci n’est pas glorieuse.
Peu de captures car je mettrai ici-même une soluce complète pour avoir la bonne fin. Là où vous vous barrez de la baraque sans vous faire couper un bras ou juste tuer. J’ai été plutôt impressionné par le jeu, étrangement car je n’en attendais rien. Le 24 janvier 2017 celui-ci sera mien, sauf désagrément avant l’année prochaine.
Passons maintenant à Outlast, jeu gratuit sur Xbox LIVE actuellement et jusqu’au 31 décembre.
Petite rigolade des développeurs avec leur « bon amusement » après les « violence intense », « contenu graphique d’ordre sexuel », « langage grossier »… Ils sont mignons.
Vous débarquez avec votre Jeep et vous arrêtez au portail de l’asile. Rien qu’ici, l’ambiance est pesante et est un vrai délice avec le casque.
Délice de courte durée avec tous les bruits alentour. Vous pouvez porter votre caméra (il faut quelque fois) et regarder un peu partout. La caméra comporte aussi un mode de visée nocturne, habituel dans ce genre de jeu. Idem pour Outlast 2 d’ailleurs.
J’aime ces détails, vous voyez les pieds (et même le corps) du personnage, plus rare qu’il n’y parait. Un excellent point. Je m’attache beaucoup aux détails maintenant et j’apprécie ce genre de chose, je suis fou ? Idem pour la dernière capture…
Vous pouvez décider d’ouvrir les portes lentement ou rapidement. En tirant ou en poussant selon les portes. Excellente idée.
ls étaient vivants un jour. J’ai sursauté deux fois déjà alors que j’ai joué 30 minutes. Ce ne sont pas les têtes qui m’ont fait surpris mais le personnage juste avant. Je vous laisse découvrir…
Pas follement sympathique d’être sur un fauteuil mais il faut croire qu’une personne était là pour aider le malheureux à marcher.
Beaucoup de morts dans cet asile et souvent des têtes coupées. Le plus flippant reste le souffle apeuré de votre personnage, ambiance garantie !
Choix cornélien. Une porte entrouverte, une porte ensanglantée, une porte fermée. Toutes seront ouvertes, je vous laisse là encore découvrir…
Tout comme certain (Assassin Creed, Uncharted), le personnage se maintient aux éléments du décor. Dès que vous approcher d’une porte il pose tranquillement la main sur celle-ci pour avoir une meilleure vue d’un couloir par exemple. Sachant aussi qu’il tient toujours sa caméra de la main droite. Il pose aussi la main gauche de l’autre côté de la porte.
Détail encore sympathique, l’aguille des secondes bouge parfaitement. Je ne suis pas resté pour attendre une minute, j’avais un peu les boules.
Finissons par Stardew Valley, mon coup de cœur de ce mois de décembre même si des bugs réguliers entachent le plaisir.
Un écran-titre comme je les aime, tout en pixels ! Hélas, le jeu bug régulièrement. Il fige souvent et j’ai eu un retour sur le dashboard de la Xbox One tout à l’heure. Pénible. De plus en plus de bugs d’ailleurs au fil de ma progression.
La création de personnage est minime. Vous devez choisir les éléments basiques (coupe de cheveux, pas de chauve dispo !, les couleurs de vos habits, le nom de votre ferme, votre animal favori et ce que vous aimez le plus). Ceci est ma seconde partie, d’où mon skipage de l’intro.
La ferme que vous lègue votre grand-père n’est pas en glorieux état. Un peu d’outillage par ci par là et le tour est presque joué.
Idem pour l’intérieur, très petit (vous pouvez l’améliorer). Le personnage se fatigue très vite, il est 14 h et je dois aller me coucher. Vous remarquez la jauge d’énergie en bas à droite…
Des petites quêtes vous font progresser un peu. Ici, je dois me présenter aux 28 villageois.
Je commence par celle qui me semblait la plus sympa… Notons que celle-ci est d’ailleurs le plus souvent très chiante. Là, elle vous dit que si vous ne portiez pas ces horribles habits, vous seriez mignon. Tellement vrai…
Le calendrier vous montre les fêtes locales (de Pelican Town, là où vous êtes) et les anniversaires, bloqués au début du jeu.
Vous gagnez la canne à pêche assez rapidement et l’épée plus tard. Je posterai d’autres captures bientôt. Je suis maintenant en Été (j’ai passé les 28 jours du Printemps). Difficile d’avoir de l’argent « facilement » pour le moment.
C’est tout pour ce soir. J’ignore si je posterai quelque chose d’autres avant le 25 décembre, le 29 ou le 1er janvier 2017.
2016
Survivre à New York
Je pourrais commencer ce petit article dédié à The Division par un magnifique « jouer est le seul truc qui me tienne en vie pour le moment ». Mais je n’en ferais rien, je suis bien trop positif pour cela. En plus, tant que les raclettes/fondues existent, je serai là.
Je pourrai aussi continuer en écrivant que je vais envoyer dans un mois l’annuel texto-anniversaire à ma très chère Lili, mon amour perdu, celle qui m’a retiré le coeur, qui me l’a envoyer valdinguer à 4983593439 km puis l’a repris et l’a reenvoyé à 839487394873 km, puis l’a repris et l’a écrasé joyeusement en chantant des chansons de Adèle tout en regardant avec ses copines haineuses un film de Tim Burton… Bref. Je pourrai. Mais j’en ferai rien car je m’en fous. Enfin non, je ne m’en fous pas, mais après tout, quand on ne supporte plus quelqu’un, on l’expédie. C’est ce que je fais maintenant. Un écart, je broie. Plus simple, et ça évite les malheurs du cœur le lendemain. Alors oui, je n’ai pas d’amertume, juste des regrets qui s’évaporeront lorsque j’aurai trouvé un amour fantastiquement démentiel. Je l’avais trouvé, mais il a filé le bougre de gland. Faut dire aussi que je suis particulièrement fermé. Je ne vais plus faire l’huître mais briller comme une perle.
Bref, je papote mais vous ne m’arrêtez pas, il faut dans ces cas présents.
J’ai téléchargé, grâce au Season Pass de The Division (première fois que je prends un Season Pass), l’extension Survie. Place aux captures donc pour présenter la bête (l’extension Survie et moi-même).
Personnage principal à date, le bonhomme progresse doucement.
Progression douce donc et ce n’est pas avec mon accolyte de toujours (visible en bas dans la rue sur le trottoir de gauche) qu’elle va être plus rapide. À deux, les missions les plus difficiles restent difficiles… Qu’importe, nous irons au bout de certaines bientôt.
Petite précision, peut-être que cela vous arrivera ou c’est déjà arrivé, même après téléchargement de Survie, il faut réactiver l’extension sinon elle est indiquée « hors ligne » à côté de l’escalier qui mène à la première extension (Souterrain).
Continuons par cette fameuse extension…
Attente comme des cons devant la porte de Survie. Chose incroyable, à cette partie nous étions 3.
Favelfoor que vous voyez sur ma droite (le gars en face n’est pas moi), et Kusanagisaya, qui nous fait grâce de sa présence.
Vous arrivez dans une planque (bien différente des planques habituelles). Vous devez récupérer les antivirus dans la Dark Zone. Mais avant cela, il faut fabriquer un filtre basique pour y aller.
En haut à droite vous voyez la température que mon personnage peut supporter (-2°C) et la température actuelle (-21°C). Vous l’avez compris, il y a comme un problème… Vous devez ainsi trouver très rapidement des vêtements plus chauds ou…
… ou des barils de feu. Il faut quelque fois les allumer. Comme l’excellent Destruction Derby (aucun rapport), l’effectif du début (environ 30 agents) bat de l’aile et vous verrez en temps réel le nombre d’agents restants…
Enfin, les boissons, barres de céréales et autres joyeusetés sont utiles ! Elles ne sert plus à donner de la bouffe aux civils qui vous donnent généralement de la daube en échange mais à survivre dans ce bordel… Vous pouvez aussi trouver des vêtements (ou les fabriquer) et des armes (sur les ennemis ou autres). Si un ennemi lâche quelque chose c’est pour votre gueule, un agent passant par là peut le prendre sans problème… Y compris les coffres si vous jouez à plusieurs… Tout est unique. Mais vous pouvez parfaitement partager vos vivres et vêtements à tout instant.
Mon espérance de vie n’était plus que de 29 secondes (c’est peu). De toute façon je me suis fais buter par un PNJ (personnage non joueur). Un petit Lukas de niveau 30 (un gros con).
Voilou pour ce soir. Pour le moment, le mode Survie me plait bien mais si comme toujours, cela pourrait être plus poussé. Encore tout à l’heure, je me suis fait tuer stupidement et je n’ai pas encore pu réaliser plusieurs missions demandées. Je conseille d’ailleurs le jeu à deux minimum. Tout seul cela reste excellent mais difficile, ou je n’étais pas concentré.
Vendredi, article sur les racailles comme annoncé il ya peu. Demain, retour à Cultura pour me faire échanger (ou par avoir) un vinyle voilé. Les joies des nouveaux pressages…
2016
Tu ne le supportais plus
Soirée Noël au boulot ce soir et il est bien tard lorsque je rentre chez moi en ouvrant directement Critikale sans me poser directement dans mon lit vide de vie.
C’est avec quelques grammes dans le sang et un cerveau certainement diminué que je me suis décidé à écrire ces quelques lignes. En roulant avec ma vieille voiture (une Xantia, ma Polo a rendu l’âme) car j’ai eu comme un déclic. J’ignorais pourquoi j’étais si triste depuis 3 ans, pourquoi ma vie s’était si brutalement arrêté. Bien sûr j’avais une raison claire, perdre l’amour de ma vie, la voir partir pour autre chose, quelqu’un d’autre, d’autres lieu, d’autres activités, d’autres amis, mais aussi les mêmes, identiques, mais bien différents de ce que je connaissais…
Mais non. Non, ce n’était pas exactement ça. Il y a 3 ans, j’étais devenu une merde, quelqu’un d’odieux, de mou, d’agressif, d’abjecte, quelqu’un que je détestais, une personne parmi tant d’autres personnes infectes. C’est en lisant un mail, non par hasard, que j’ai découvert qu’on ne me supportais plus. Depuis combien de temps, certainement des mois, des années même. Oui, que j’étais devenu insupportable. Un être qu’on ne peut plus supporter, quelqu’un de tellement mauvais, tellement monstrueux, qu’il était impossible de regarder, de serrer dans ces bras, d’embrasser, de lui dire qu’on l’aimait, qu’on ne le laissait pas tout seul, qu’on comprenait ses souffrances actuelles, qu’on arrivait à déceler en lui ce grand coeur, positif, et non cette personne devenu transparente, cette même personne qu’on ne supportais plus.
J’ai découvert ce soir, en passant tous les feux verts sur un route déserte qui menait à mon domicile, que cette phrase « mais tu ne le supportais plus » m’avait parfaitement anéanti. Depuis tout ce temps, j’essaie d’être la plus belle personne qui soit et oui, je pense y arriver, j’essaie de ne pas refaire les mêmes erreurs, je repousse quiconque me demande un verre, un café, de me connaître. Car autrefois j’étais une mauvaise personne, celle qu’on en supporte plus, celle qu’on quitte, qu’on lâche, qu’on trouve différent, comme métamorphosé après tant d’années fragiles. J’ai mal agi, j’ai mal parlé, dit des choses qui ne fallait pas, commis l’erreur de fatiguer mon amour, l’amour de ma vie, celle avec qui tout était possible, celle qui était si parfaite, si merveilleuse.
Nous sommes en novembre, un mois difficile pour moi, mais bien moins que ce mois merdique de décembre où je vais encore écrire des articles fâcheux, des articles certainement triste mais rédempteurs. J’ai été une mauvaise personne, à moi de me cacher maintenant pour être dans mon cœur celui qui aide en silence, celui qui aime la vie des autres car la sienne est terminée.
J’ai enfin compris ce que j’avais, on ne me supporte pas, on m’a détesté, on m’a fait du mal à moi aussi car je fus mauvais. Pardonnez-moi vous tous, pardonnez moi car je n’étais pas un monstre, j’étais simplement triste. Maintenant, je le suis bien plus encore mais au moins, je fais de mal à personne car je ne suis rien pour tout le monde, et dans mon cœur je ne suis plus rien.
Je souhaite un merveilleux anniversaire à ma mère née le 25 novembre, elle aussi je l’ai déçu en brisant ce couple qu’elle aimait tant…
2016
Pas de racailles en ligne pour le moment
Mon très cher smartphone adoré étant mort hier soir, je n’ai plus accès à mes photos. Bien sûr je pourrais mettre ma Micro SD dans un petit lecteur (je dois en avoir douze) mais ça me fait chier, simplement.
Point d’accès à mes photos et donc point d’article sur les racailles nauséabondes qui sévissent à Talant (en Bourgogne). Utile de préciser que « racaille » est un « ensemble de gens malhonnêtes ». Là aussi simplement. L’article en question risque d’être sympathique et fort rigolo, comme je le suis ces temps-ci.
Je retourne à mes occupations. À bientôt.
2016
Noël sans ailes
Le mois tant redouté approche. Avec lui ma peine, avec lui les heures sombres du soir, lorsque je suis devant un océan de larmes qu coulent sur ma table basse comme de la neige par temps chaud.
Les fins d’année sont toujours des moments parfaitement pénibles pour moi. Stupidement, je pourrais une nouvelle fois mettre un article négatif comme celui de Noël 2012, à ce moment précis où, certainement, mon ex Amour a tranché en ma défaveur. Chaque jour mon moral se cassait en plusieurs morceaux qui baignaient dans un sang noir. J’ai voulu trop en faire, trop mettre mes pensées sur ce bon vieux site qui me suit depuis 2005 (2004 pour les intimes…). Je vais ainsi me concentrer sur de bons moments histoire de ne pas mettre des articles malheureux en décembre 2016. Pour l’instant, ce mois de novembre n’est pas fameux mais reste dans la moyenne… Je vais essayer de poster de la joie et de la bonne humeur la semaine prochaine. Semaine qui amorce la fatigue de l’année.
Heureusement, il y a toujours une solution.
2016
Un peu de jeux sur Xbox One
Bravant le froid et la tempête pour rentrer (à pied) du boulot, quoi de mieux que de se réchauffer devant de bons petits jeux après une non moins bonne petite douche…
Reprise il y a peu de The Division grâce à la mise à jour 1.4, histoire de « voir ce que ça peut donner bordel de nom de diou ». Mais aussi, reprise d’une nouvelle carte à Minecraft, avec une graine sélectionnée sur le Net américain.
Commençons par des maigres captures de The Division.
Jolie protection par l’ami Favelfoor (gamertag) pour une mission assez tranquille où il faut récupérer des caisses.
Mon ancien personnage était au niveau 30 mais nous avons décidé de recommencer le jeu pour profiter pleinement de la mise à jour 1.4. J’aimais bien mon premier (et la fille que j’avais créé à la sortie du jeu) mais bon, il faut changer des fois. Nous poursuivons notre quête du niveau 30 à The Division et je pense que nous y serons à la fin de la semaine, histoire d’attaquer enfin de grosses missions qui piquent.
Rapidement, quelques captures de Minecraft.
Ce bon vieux Favelfoor s’est pris quelques flêches. Ces squelettes sont des plaies.
La carte de mon monde actuelle (avec une graine spéciale pour les océans). L’île où j’ai installé ma maison est tout à droite. Là, vous voyez mon curseur tout à gauche… Normal, j’avais un bout de la carte qui manquait.
Le soleil se lève enfin après bien des combats pénibles. Première fois que j’ai vu un ours polaire (je montrerai une capture si j’y pense). Notons que j’ai désactiver la sauvegarde automatique (une plaie ça aussi)/
Ce genre de trou béant est assez courant (au moins 1 dans une carte).
Minecraft me sert surtout à ne penser à rien, et ça marche plutôt bien… Et je découvre toujours un nouveau truc !
Peu de news cette semaine, l’article rigolo promis le 6 novembre arrive, certainement vendredi.
2016
Des archives douloureuses
Il est presque 2 heures du matin et je n’arrive pas à dormir, et pourtant je vais me réveiller à 7 heures comme, presque toujours, après un cauchemar. Je suis actuellement en train de remettre les archives de Critikale sous la « nouvelle » interface. Mal m’en prend.
Vu que je ne sais quasiment pas écrire en HTML, je suis obligé de me taper toutes les années d’archives de Critikale pour le remettre au goût du jour, avec le nouvel header, la nouvelle police (même si elle ne change que d’1 point de taille), et de nombreuses autres petits éléments comme les titres des articles qui changent constamment de tronche. Bref, lorsque j’arrive à l’année la plus cauchemardesque du monde, c’est à dire 2013 (mais celle-ci n’est pas la plus horrible de toute…), je verse toujours ma petite larme. Bon pas ce soir car je suis crevé.
Préparez vous pour un petit article rigolo dans la journée de dimanche, soit aujourd’hui.
2016
Les jeux de novembre
Rendez-vous devenus régulier sur Critikale, voici les jeux de novembre (Xbox One). La PS4 Slim 500 Go sera vendue dans peu de temps alors inutile de continuer à mettre des jeux sur cette console. L’annonce sera bientôt mise sur le BonCoin et eBay.
Trêve de bavardages, voici les jeux de novembre, rapidement… Mais avant cela, petit rappel des commentaires rapides à côté des titres des jeux et du mois d’octobre.
achat peu probable sur Xbox One >> l’achat est impossible sauf avis généraux exceptionnels ou vidéos avatageuses.. Le jeu figure dans la liste car il m’intrigue ou est juste important dans le mois, une sortie mine de rien, majeure.
achat plausible sur Xbox One >> l’achat reste possible si le jeu se révèle bien meilleur que le laissait présager les previews.
achat possible sur Xbox One >> l’achat est possible si je trouve une bonne offre, un jeu important à mes yeux.
achat certain sur Xbox One >> l’achat est assuré sauf si le jeu s’avère être un peu en dessous de mes attentes…
SUPER DUNGEON BROS | 1er novembre | achat peu probable sur Xbox One
Ça commence mal avec un petit jeu sympathique que je suivais du côté de l’oeil droit. Je suis hélas tombé sur des vidéos de gameplay. Hasardeux au possible, pas très beau et visiblement très chaotique, simplement brouillon. Poubelle… l’achat reste possible uniquement si je sens un réel potentiel à quatre joueurs.
MOTO RACER 4 | 3 novembre | achat peu probable sur Xbox One
Des souvenirs, uniquement des souvenirs de l’excellent Moto Racer premier du nom, sur PSone me semble t-il. Un jeu vendu pas cher certainement pour cacher la misère mais qui doit être suivi si il est suffisamment drôle à joueur et intéressant pour des petites sessions. Je vais certainement regarder 3 vidéos et vomir. On verra.
HANDBALL 17 | 4 novembre | achat peu probable sur Xbox One
L’ancien bien nommé Handball 16 était juste merdique. J’ai regardé des vidéos de celui-ci qui m’a l’air un peu mieux fait. Eko Software étant toujours derrière avec les vieux de chez BigBen Interactive, j’ai nul doute de sa qualité à finir dans le top daube de novembre. Malgré tout, il m’intrigue car ce sport est agréable et intéressant.
CALL OF DUTY INFINITE WARFARE | 4 novembre | achat peu probable sur Xbox One
Battelfield 1, malgré ses diverses qualités visiblement, n’est pas passé par moi (surtout par mon portefeuille), le nouveau Call of Duty suivra le même chemin. Malgré tout, je reste curieux de voir ce qu’il donne.
DISHONORED 2 | 11 novembre | achat peu probable sur Xbox One
Pas fait le premier et je suis parfaitement sûr que celui-ci sera mauvais. Il reste dans cette liste car c’est un jeu important.
WATCH DOGS 2 | 15 novembre | achat peu probable sur Xbox One
Une de mes plus grosses déceptions sur les consoles new-gen. Je pense que l’instar de Mafia III, même si ce n’est pas la même équipe, ce Watch Dogs 2 va être terriblement baclé. Curieux quand même.
FINAL FANTASY XV | 29 novembre | achat possible sur Xbox One
Ouf, le mois de novembre se finit avec un achat possible… Final Fantasy XV m’intrigue beaucoup ! Un monde ouvert à la Final Fantasy, une durée de vie certainement grande, putôt joli vu les vidéos, à voir donc ! Verdict dans un mois !
En parlant de mois (…), le mois d’octobre ne fut pas glorieux même dans les jeux que j’avais identifié en achat possible voir certain. Citons rapidement Mafia III et WRC 6 (le premier est une honte et le second est merdique comme il devait l’être…), continuons par Dragon Quest Builders sur PS4 (que je n’ai simplement pas trouvé dans ma ville !), et Battelfield 1 et Skyrim (Battlefield 1 doit être bon mais trop cher maintenant et Skyrim est moyen vu les vidéos, nombreuses, de gameplay). Reste Gears of War 4 que j’ai acheté et fini en 8 h 30. Très bon jeu mais je n’y reviendrai pas.
Du très moyen donc pour cette fin d’année et décembre s’annonce ridicule. Reste à espérer que Steep soit bon et là j’attends ma réponse pour la béta fermée. Mais bon, elle sera ouverte juste après, c’est comme tout…
2016
Triberg et Titesee (Allemagne)
Chose très rare, je suis parti en week-end. Un week-end lointain dirions-nous car en Allemagne, bon ce n’est pas le Canada encore mais ça viendra un jour.
Avant les photos, deux ou trois points. Demain, 1er novembre, rendez-vous habituel maintenant des « jeux de… novembre ». Octobre ne fut pas glorieux (pas comme espéré) et novembre filera dans la même direction, nul doute.
Place aux photos de la ville de Triberg (connue pour l’horlogerie (coucous) et ses cascades situées dans la Forêt-Noire) et Titisee (connue pour son lac, entre autres).
Rappel important : les photos sont capturées avec un Samsung Galaxy S7. Même si ce smartphone obtient des clichés propres, il ne vaut aucunement mes anciens appareils, normal. Certains photos sont retouchées pour le cadrage hasardeux, rien à d’autres niveaux.
La vue de l’hôtel où j’ai passé quelques nuits un peu chiante… L’hôtel Central Garni est un hôtel bon marché. Il ne faut surtout pas s’attendre à quelque chose de bien, juste pour passer la nuit en somme, quoi demander de plus ? Un peu d’amabilité peut-être (le strict minimum hélas, pas d’effet Whaou)… Petit-déjeuner sommaire mais suffisant. Le site Internet de l’hôtel témoigne de l’austérité de la demeure…
La Forêt-Noire est magnifique (une infime partie découverte). La photo présentée ci-dessus est nulle comparé à la féérie du lieu.
La ville de Triberg est connue pour ses cascades (et la fabrication de coucous).
Avez-vous remarqué comme moi le détail sur la photo ? Regardez ci-dessous !
L’hôtel est tout en bas…
En vrac…
À côté et autour du lac de Titisee.
C’est tout pour ce soir, enfin ce matin très tôt vu l’heure… Cliquez sur les deux photos ci-dessous.
Les jeux vidéo du mois de novembre seront présenté ce soir (2 novembre) si j’ai le temps.
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