2019
Chemins
À lire, uniquement.
Sur un chemin au centre d’une forêt noire d’arbres étranges, aux feuilles envolées et aux branches mélangées, se dressaient mille cailloux comme tombés d’un nuage en forme de rocher. Un petit garçon s’agitait là, au milieu de ce décor apaisant. Il marchait durement pour que son père soit fier de lui et qu’il voit en son fils un petit homme courageux qui ne ralentit pas malgré la cadence imposée par les adultes aux grands pas.
Il regardait le sol, jonché de ces formes solides de toutes les nuances de gris, qui, dans sa tête et dans son cœur, étaient bien plus que des objets inertes. Il prenait soigneusement chacun d’entre eux et laissait dans ses mains celui qui se rapprochait plus ou moins, selon son imagination enfantine, d’un vaisseau. C’est alors qu’il le faisait voler entre le pouce et l’index en créant de toute pièce une aventure céleste. Des lors, les kilomètres passèrent plus aisément et c’est tant mieux car l’enfantelet était bien plus fatigué que ses plaintes pourtant régulières laissaient embrasser.
Quelque fois, le jeune garçon mettait ses mains devant lui en imitant un large volant et jouait à conduire un bus en prenant les passant qui sortaient de la forêt. Comme si, sur ce long chemin, il y avait des personnes qui attendaient patiemment qu’on les transportent dans un autre recoin de cette forêt et cet unique chemin. Ce petit garçon a vécu bien des aventures le long de ce chemin, toujours au milieu de vastes forêts. La route était toujours la même dans sa tête car à chaque fois, il reprenait ses aventures imaginaires et prenait un autre chemin que celui qui se dressait devant lui. Un chemin qu’il voulait à chaque fois meilleur, pour oublier tous ses malheurs.
Hélas, l’imagination de ce petit randonneur s’est retrouvée bien tristement atténuée au fil des années. Le chemin qu’il a prit plus tard dans cette vie s’est refermé sur lui, à cause de mauvaises décisions, de personnes malhonnêtes. Dorénavant, il marche sans âme et sans musique. Sa vie d’enfant, il n’en reste rien. Sa vie d’adulte, elle n’est plus rien. S’il regarde demain avec des yeux brillants c’est qu’il espère qu’un jour, un des chemins sur lesquels ses pieds se sont posés, lui montrera une autre voie que celle qui l’a décidé à se tuer.
2019
Xbox Game Pass : Lonely Mountains Downhill
Dorénavant je présenterai vite-fait les nouveautés sur le Xbox Game Pass (et quelque fois mais plus rarement sur PC). Aujourd’hui c’est un jeu de VTT qui fait son entrée avant The Outer Worlds.
Lonely Mountains Downhill est dispo depuis ce jour sur le Xbox Game Pass. Téléchargeable gratuitement à condition d’être abonné ou à 19.99 € pour un achat permanent. Certains diront que le jeu n’est pas gratuit car on paie l’abonnement mais cette mode de tourner les choses de cette façon est ridicule. Rien est gratuit en ce monde sauf la mort, et encore.
Qu’est-ce que j’en pense ?
Sympa, voilà. Un bon petit jeu plutôt jouable, avec un moteur physique correct et une jouabilité plutôt bonne pour ce type de jeu. Les pistes sont agréables, graphiquement c’est mignon et bien foutu, les bruitages sont simples et pas lassants. En gros, un titre bien trop cher en l’état pour 20 € mais excellent je pense pour 10 €, voire 15 €. Et c’est un avis à l’arrache après une bonne poignée de minutes de jeu. Le contenu décidera de son sort et des 19.99 € demandés car c’est bien le genre de titre à devenir permanent dans ma console. Je vais y jouer un peu pour vous en dire davantage bientôt.
Oui, il faut appuyer sur RT pour accélérer, c’est indiqué. Le reste est expliqué plus bas sur la piste, au fur et à mesure de votre progression entre les arbres, les virages et les rochers plus ou moins gros. Le vélo se dirige bien (mode caméra ou gauche-droite standard) et il faut noter une bonne réactivité des commandes (pédalage, accélération, freinage), encore heureux pour ce genre de jeu. Je me suis tapé pas mal de rocher pour découvrir la première piste mais après tout roule, il y a de nombreux raccourcis d’ailleurs. Un mode Libre existe aussi à condition d’avoir fini la piste.
Personnalisation très basique mais existante c’est déjà ça ! J’ai gagné une nouvelle tenue en accomplissant un défi, c’est sympa. J’espère qu’il n’y aurai pas de personnalisation à la con à la Trials, série qui a bêtement perdu d’intérêt au fil des ans. Je regrette tellement Trials Evolution, et mêmel l’opus mobile est meilleur. Fermons la parenthèse de cette déception.
Pour le moment il y a constamment des erreurs réseau. Le jeu est bel et bien sorti alors je ne comprends pas. Pas assez de monde ou juste un mauvais netcode. Chaque portion est chronométrée et chaque chute aussi. Sur la première piste j’ai dû tomber 10 fois environ (40 au premier essai…) et j’ai réalisé le temps que vous voyez en haut à droite (ce qui est à chier comparé à ce qu’on peut réellement faire). À gauche vous pouvez décider d’activer les défis avec Y. Sachant que j’ai réalisé un chrono de 2:45.21 je peux activer le défi des 2:30 maximum, il suffit que je sois plus précis. Être en dessous des 2 minutes est largement possible.
2019
Virage
Le mois d’octobre est chiant, merdique même, faut être clair. Et à tous les niveaux, faut être global. Bref, cette semaine peu de nouvelles sauf si l’ami The Outer Worlds est bon, et ça, j’en doute, faut être réaliste.
Une semaine plutôt pénible donc, et un propriétaire de Critikale atrabilaire, d’où le peu de news et des situtations particulières. La révolte a sonné que voulez-vous. The Outer Worlds va être dispo sur le Xbox Game Pass le 25/10, et celui-ci est déjà téléchargé et prêt à être (ba)lancer. Pas de choses ludiques chez moi depuis quelques temps à part les récurrents Noita (lassitude que j’expliquerai, PC/Steam), Dead Cells (retours réguliers mais timides, Xbox One et PC), Sea of Thieves (l’étrange retour, Xbox One), Borderlands 3 (qui continue son bonhomme de chemin avec un personnage de niveau 30, Xbox One), et c’est tout. Les autres, plus anonymes auront leur unique capture bientôt pour montrer leur gueule périssable.
À part ça, en ce mois merdique d’octobre…
Notre ami Breakpoint, suite sipirtuellement fausse de Wildlands n’a toujours pas montré le bout de ses armes chez moi. Faute à de nombreux essais avec Alpha, Bêta, Cestkoicettemerdelà… Bon et je n’ai pas de pognon aussi. L’early-access bizarre et flippante de Atlas ne me dit rien, j’ai peur d’avoir peur de la qualité du jeu, ouais ouais. GRID ne passera pas dans ma console vu les tests à deux francs qu’il se tape.Bon, ça veut rien dire un test mais quand 99% de la populace est d’accord c’est suffisamment rare pour avoir les boules du titre. Children of Morta est le seul jeu qui me botte mais pas de pognon comme je l’ai dit plus haut, faut suivre. Felix the Reaper est supprimé de mon disque dur mais j’en parlerai vite-fait. Stranded Sails ne m’intéresse plus suite aux vidéos visualisées ici et là. Plants vs Zombies (le premier opus reste l’un de mes titres préférés tous supports confondus) ne m’intéresse pas non plus car le titre baigne dans une atmosphère que je n’aime pas, un atmosphère bien 2019 si vous voyez ce que je veux diiiiiiire. Dommage car l’idée n’est pas si mauvaise. La mise à jour de The Blinding of Isaac ne passera pas (forcément) par moi car je ne suis pas fan du jeu, pourtant très fan du genre. Faut voir…
En novembre, ce sera le même délire, que dalle. Le drôle de jeu nommé Jalopy m’intrigue mais je crains le résultat. Blacksad est une de mes BD préférées mais le jeu ne sera pas à sa hauteur, avec un peu de chance qui sait… Farmer’s Dynasty est un jeu qui m’intrigue mais sans plus, je vais quand même le surveiller, histoire de voir autre chose que Stardew Valley et sa mise à jour Xbox One en 2046. Sparklite est un jeu que je surveille de près, on verra. Et qui sait aussi, peut-être que le nouveau jeu Star Wars sera bon, je l’espère en tout cas.
Allez je vous laisse avec une poignée de captures histoire de mettre un peu de couleur sur Critikale en ce mois d’Halloween.
Sea of Thieves refait surface sur Critikale et par extension dans ma console. Pour le moment, pas de connards sur les mers même si nous avons croisé que très peu de bateaux pour ce grand retour. Les caisses se remplissent tranquillement et le jeu reste une tuerie graphique pour son immense océan, le reste est juste sympa. Le cell-shading employé ne peut pas rendre justice à cet océan quasi parfait. Du moins je ne pense pas. Quelques missions de réussies pour le moment et une cagnotte dans les 18000 pièces d’or. Ce qui est lamentable mais reste bien meilleur que mes premiers jets de rames.
Borderlands 3 poursuit son petit bonhomme de chemin. Mon personnage est au niveau 30 dorénavant (ou au-delà je ne sais plus) et je ne comprends toujours rien à l’aventure. Deux trois trucs bien sûr mais ça reste naze, ça ne m’intéresse pas du tout. J’exécute les missions sans passion mais le jeu reste plaisant à découvrir. Il ne restera pas dans mes pépites, loin de là.
Battle Chasers Nightwar est une bonne surprise dispo en téléchargement sur le Xbox Game Pass, ce que j’ignorais d’ailleurs car je l’ai découvert hier. Un titre à la sauce Final Fantasy (les premiers) avec une patte graphique plutôt chouette. Je vais y jouer de temps en temps mais je ne pense pas être happé par l’histoire… Dommage.
2019
Noita, pixels vivants
Ultime article de septembre 2019 avant une longue trève en octobre, voici quelques nouvelles de Noita qui sévit sur mon PC comme Hotline Miami 1 et 2 à l’époque, PixelJunk Shooter ou Downwell. Tous ces « petits jeux » réalisés avec amour…
Nouvelle fournée de captures issue de Steam pour ce bluffant Noita. Je commence à maîtriser le jeu et à faire bien moins d’erreurs, bien que je meure très souvent… Je ne connais toujours pas le but du jeu, je sais juste que la mine du début et liée à d’autres mines à gauche et à un lac de lave à droite (impossible à franchir bien que n’ayant essayé, la lévitation est trop courte pour cette distance). Je sais aussi que la partie la plus profonde de la mine comporte plusieurs téléporteurs pour se rendre à un monastère où on peut régénérer l’intégralité de notre jauge de vie ainsi que tous les sorts associés aux baguettes. Le jeu est plus facile dorénavant car je prend moins de risque et je suis plus précis. Mais Noita reste un jeu corsé où je meure régulièrement aux 2e et 3e « monde », je n’ai pas dépassé pour le moment le monde de glace. Notons que vous pouvez toujours vous rendre le plus rapidement possible dans les profondeurs de la mine pour atteindre un téléporteur et passer au monde suivant. Mais dès lors, trop peu de baguettes sympas récupérés, de fioles, et d’argent (pépites d’or).
Pas de secrets découverts pour le moment mais bien des avantages, des sorts et des ennemis. Hélas j’ai l’impression que le nombre de fois où je suis mort par un certain ennemi n’est pas juste. Les avantages récupérés ne le sont que pour la partie en cours. Le meilleur sort pour le moment est, pour ma part, celui représenté par les trois boules blanches formant un triangle à la troisième ligne des sorts. Je n’ai pas eu la flemme de l’identifier sur Photoshop mais je viens juste d’y penser… Je ferai un article fin octobre si tout se passe bien (…) sur Noita avec un espèce de codex. Une petite aide de jeu en somme, ou carrément ma première vidéo (je prépare ça dans ma tête pour le moment). Écrire c’est bien, montrer c’est mieux.
Il arrive aléatoirement (et bêtement) de tomber sur une baguette inutilisable. Regardez bien la capture ci-dessus. La baguette à un « réservoir magique » de 170 (mana max. 170). Or, elle est équipée d’un sort (première capture) de 180 (le trou noir). Ultra efficace pour « manger » le décor. Une orbre d’environ 1 cm (sur l’écran…) mange toute matière pendant deux secondes et permet ainsi de creuser un passage souvent salvateur. Ce pouvoir drainant 180 de mana, la baguette ne peut le lancer… Le monastère est le seul lieu où il est possible de modifier ses baguettes. Sauf si un pouvoir permanent (pour la partie en cours) permet de le faire à l’envie.
Je suis mort extrêmement bêtement à cette partie alors que j’étais bien équiper avec une baguette puissante. Avec 860 morceaux d’or perdus, je suis dégoûté. 67 fois morts quand même. Notons que j’ai déjà joué 12 heures (selon Steam).
Je le précisant au-dessus, voici mon sort préféré pour le moment. Plusieurs boules d’énergie rebondissantes. Idéal non seulement pour tuer, mais aussi pour détruire la matière (les bombes c’est bien mais 3 seulement au début de partie et attention aux retours…). Chaque pixel visible sur cette image est animé. Les débris tombants légèrement à droite de la capture seront encore visible plus bas, chaque pixel.
Sur cette capture, beaucoup d’éléments ! Le sable à gauche à une densité propre et pour le moment je n’ai pas trouvé d’utilité autre qu’ensevelir les ennemis (très drôle). Un peu plus bas, du bois en train de brûler, très pratique pour se frayer des chemins dans la mine, souvent bloquée par des obstacles naturels. En haut, de l’huile avec, attention, un piège à gauche qui se déclenche une fois l’item pris sur le socle rouge. Un arc électrique est en train de mourir doucement (c’était le piège). Notons que l’huile ressemble un peu à l’alcool (présent aussi dans le jeu en tonneau mais aussi en liquide comme ici). L’alcool ne vous permettra plus de viser juste pendant un certain temps. Les ombres noires sont les zones non visitées.
2019
Mahtava Noita
Il est enfin en accès anticipé sur Steam pour seulement 16.99 €, le tant attendu Noita, ôde aux pixels, proposant un moteur physique complexe et précis.
Je l’ai lancé Noita non sans crainte étant fortement déçu des jeux que j’attendais le plus en cette année 2019. Voici une petite serie de captures de mes débuts fortement chaotiques, je meurs autant de fois que Dead Cells pour le moment. Le jeu ne pardonne pas les mauvaises stratégies avec des ennemis agressifs et plutôt doués. Je vais être clair dès maintenant, Noita est une bombe. Le genre de jeu qui va cumuler les heures sur Steam. Notons que je ne joue pas à la manette (possible en l’activant dans les options) car le jeu est forcément beaucoup moins jouable ainsi mais cela reste bien optimisé. Petite parenthèse sur Borderlands 3, actuellement au niveau 20 le jeu s’améliore légèrement mais reste un bon titre à faire, pas l’excellence attendue. Le jeu est bien plus plaisant avec un personnage dorénavant plus fort.
L’unique problème de Noita actuellement est le retour sur Steam dès que je recommence une partie, c’est très pénible de ne pas revenir directement à l’écran ci-dessous…
Autre parenthèse pendant que j’y pense pour Stardew Valley, la mise à jour est dispo sur PS4 uniquement. La certification Xbox a de nouveau échouée.
Au tout début du jeu, le premier écran que vous verrez pour débuter votre aventure et entrer dans la mine à droite. Quelques inscriptions seront écrites sur une centaine de mètre pour vous permettre d’apprendre les touches (modifiables dans le menu). Le jeu est intégralement en français. Reste quelques traductions encore en anglais (pour les livres principalement) mais tout est quasi parfait à ce niveau. Vous débutez avec deux baguettes magiques. Une « normale », avec deux jets rapides (et chargement après ces deux jets), et une autre lançant une bombe à très courte distance (attention…). 3 bombes au départ à utiliser avec parcimonie. En haut à droite, 100 points de vie (jauge à améliorer au fil des niveaux), la jauge de lévitation (pour voler et atteindre n’importe quelle zone) et la jauge de mana pour vos sorts. Pour finir, le pognon. Important pour améliorer votre personnage et votre/vos baguette(s) dans certaines zones.
Les options sont simples mais complètes. Je suis en 2K sur mon écran de PC (2560×1440). Je n’ai pas vu de différences avec l’anticrénelage du pixel art, du coup je l’ai désactiver. Dans tous les cas je n’aime pas le lissage de pixels, c’est très moche. Ma carte vidéo à deux balles affiche correctement le jeu mais j’ai de très légères saccades (rares) lorsque des grandes zones apparaissent ou lorsque c’est vraiment le bordel. Vous pouvez configurer les commandes comme indiquer plus haut (j’ai mis les mouvements avec les éternelles flèches pour ma part), oui je ne suis pas un vrai joueur PC… J’ai bien sûr activer le français et virer l’intensité des tremblements (la capture est ancienne).
Le jeu est plutôt complexe car les niveaux sont gérés de manière procédurale (aléatoire à chaque partie). Sur cette capture vous voyez que ma vie est seulement à 32 points et que j’ai $160 empochés. J’ai deux gouttes sur ma tête qui correspond à des effets de statut (humidité et huile). Humidité car je suis dans une flaque (…) et Huile car j’ai dû recevoir de l’huile de lanterne sur moi ou pateauger dans l’huile. Dangereux car inflammable très facilement… Il suffit de se baigner dans l’eau pour enlever la plupart des statuts. Pour le moment c’est surtout l’acide qui me gonfle le plus. Le jeu étant précis il faut faire attention où on met les pieds… Le feu est pénible aussi mais ne reste pas aussi longtemps que l’acide. Vous voyez aussi sur cette capture que je possède 4 baguettes magiques (en haut à gauche).
Le moindre effet ou mouvement dans le jeu est absolument magnifique. Le fait que chaque pixel soit simulté et possède son propre moteur physique est particulièrement génial. Vous devez faire attention à chaque zone, chaque grotte, chaque élément du décor. La progression est assez complexe mais gratifiante ! Sur cette capture, j’ai tout de même $280 et 4 baguettes. Le parchemin en vert est décrit en anglais (la traduction française n’apparait jamais pour les parchemins, ce sera corrigé je l’espère). Le petit icône à droite en dessous de la goutte d’eau montre que l’une de mes baguettes est équipé d’un sort de redirection sur les ennemis, pour légèrement m’aider à viser (le jeu reste ultra précis à la souris). Cet item permet de légèrement dévié le sort sur un ennemi que vous auriez loupé de peu en temps normal.
Cet écran est souvent apparu… Hélas, à cause du retour arrière sur Steam lors d’une nouvelle partie, je ne sauvegarde pas mes scores (d’où la mention « RECORD! » à chaque ligne de stats). Certaines fois ça sauvegarde comme par magie (…) mais ça reste trop rare. J’espère un patch bientôt. Le jeu est en accès anticipé alors il va grandir pendant de longs mois.
Derrière mon personne se trouve un ennemi un peu collant. En fait, c’est un ennemi qui m’aime… (d’où les coeurs qui virevoltent à côté de lui). Vous trouverez de temps en temps des oeufs à balancer pour faire apparaître aléatoirement un monstre qui vous aidera tant qu’il peut pendant la partie. Leur resistance est identique aux monstres ennemis. Celui-ci est un allié sympa car il est très chiant quand il attaque (boule d’acide). Les copains que vous faites apparaître avec des oeufs se font tuer assez rapidement.
Ces portails marquent la fin du niveau en cours (attention il y a plusieurs niveaux dans un seul, vous pouvez vous balader pour découvrir de nouvelles zones avant de vous téléportez avec ce machin violet). La goutte rouge montre que je suis Ensanglanté (les ennemis seront plus agressifs, là encore il faut se baigner pour virer le sang sur vous). La fiole rose en haut à gauche est une fiole de polymorphie (métamorphose).
L’inventaire est limpide. Je possède une nouvelle fois 4 baguettes sur cette capture. Dès que vous passez le curseur sur quoi que ce soit, un info-bulle apparaît vous décrivant l’objet pointé (même sur le décor pendant le jeu). Chaque baguette possède un nombre de coups indiqués grâce au nombre de cases visibles. Les sorts en haut de l’écran peuvent être pris pour les insérer dans n’importe quelle case pourvu que la baguette possède une réserve de mana suffisante.
Lorsque vous ramassez une nouvelle baguette vous devez choisir là où la placer. Si tous les emplacements sont pris, vous devez virer une de vos baguettes ou ne pas prendre la nouvelle.
C’est tout pour le moment. Je posterai de nombreuses autres captures mais plus tard fin octobre, ce mois-là étant bien pénible à de trop nombreux niveaux.
Peut-être à bientôt.
2019
Gears 5 glace la série
Quel dommage, un des jeux que j’attendais le plus de l’année 2019 va finir eradiquer du disque dur de ma Xbox One. Je n’ai pas le courage de continuer mon aventure auprès des Gears.
Je finirai par une seule image avant d’y rejouer peut-être un jour, mais Gears of War 5, directement nommé Gears 5 par le développeur The Coalition, ne m’a pas réconcilier avec une série qui s’est totalement perdue.
Adorateur de la série débutée il y a bien longtemps avec l’équipe de notre ami Cliffy jusqu’à l’épisode 3, ayant parcouru avec plaisir tous les épisodes à part l’opus Judgment, je me vois bien tristement écrire que Gears n’est plus Gears, ou trop Gears… Avec l’arrivée de bien des FPS modernes depuis la première sortie de Gears of War en 2006, Gears 5 est trop figé dans le temps, sans vie alors qu’il en déborde. Moche alors qu’il est beau. Chiant alors qu’il est intéressant…
Pour résumer mon ressenti, je vais faire court. J’en ai plus que marre de me balader dans des espèces d’arènes ou il faut buter tout le monde en se sachant derrière un muret déposé là par enchantement, sans sentiment de liberté avec l’impression très désagréable que le personnage est collé au sol. Oui, l’ami Gears 5 est plutôt chouette avec des effets bien gérés et modernes, des textures propres, une animation sans faille et une technique globale à faire pâlir certains développeurs niveau optimisation. Hélas, Gears 5 s’enfonce dès les premiers instants dans ces travers et n’apporte strictement rien. Ce qui est le plus dommage en fin de compte c’est l’excellence des gun-fights, excellents niveau impact, niveau sensation de tirs, rarement vu dans les autres FPS. On sent l’impact des balles et la précision est plutôt bonne. Je me suis arrêté de jouer alors que cet énième étape dans un chapitre me gonflait. Après 5 ou 6 affrontements clos avec la musique indiquant que tous les ennemis étaient tués, récurrente, et le commencement d’un 7e affrontement, je me suis dit que ce 5e véritable Gears of War n’apportait rien à ma vie de joueur. C’est triste, car malgré ses qualités indéniables que même les cons ne pourraient contredire, le jeu est chiant à jouer et particulièrement redondant. On peut se balader dorénavant avec un ersatz de véhicule sur la neige et certainement ailleurs mais qu’est-ce que c’est nul ! Ceux qui ont terminé le jeu ont deviné, je me suis arrêté au deuxième chapitre, au bout de la neige… Je continuerai bien sûr mais Gears 5 ne restera pas dans mes titres incontournables, il n’a même pas franchi le cap des bons titres.
Des nouvelles bientôt de Noita, acquisition certaine sur Steam le 24 septembre. Ça arrive enfin !
2019
Borderlands 3 (Xbox One X)
La série des Borderlands, c’est un peu, pour ma part, des avis complexes et irréguliers. D’un côté, un vaste monde semi-ouvert avec plein de trucs à faire ou presque, de l’autre une technique et un humour en décalage.
Voici quelques captures, éternelles rendez-vous de Critikale, pour expliquer quelques petites choses importantes sur Borderlands 3. Comme toujours sur Xbox, le jeu ne fut pas simple à trouver en magasin et j’ai dû me tourner vers nos amis d’Amazon pour mettre la galette dans le lecteur particulier de la console de Microsoft.
Graphiquement, le jeu est correct. L’après Borderlands 2 se voit clairement grâce à une finesse accrue et des effets supplémentaires. Les éclairages sont mieux gérés, l’eau est plus réaliste, les différentes matières se disinguent bien. Heureusement pourrait-on dire mais Borderlands 3 n’est pas pour autant un très beau jeu, il est juste tout à fait à son aise en 2019. Le cell-shading ne plait pas à tout le monde mais il est suffisamment subtil pour ma part (sans trop de contours noirs) pour rester discret et ainsi rendre le jeu simplement coloré et agréable à l’oeil. Toujours pas de pluie dans le jeu, et j’ai trouvé un éclairage particulièrement pénible lorsque le soleil et le plus haut dans le ciel. Juste chiant. Sinon les paramétrages des graphismes permettent de rendre le titre de Gearbox acceptable pour n’importe quel regard, ou une belle poignée d’yeux.
L’interface du jeu est un peu plus claire mais aucun changement notable à l’horizon. La police de caractères est plus fine et les couleurs chatoyantes. Choisir une nouvelle arme est assez aisé même si leur nombre mériterait un codex à mettre à jour et aussi un centre de tir histoire d’essayer notre découverte ailleurs que… n’importe où. Pour le moment, j’ai des armes sympas mais je ne ressens pas vraiment leur impact contrairement aux dires de nombreux tests lus. Le jeu reste intéressant au niveau des sensations de tirs mais je m’attendais à bien mieux. L’écran des armes lui est bien meilleur et c’est toujours sympa d’avoir un petit laïus orthographié sur les différentes marques des armes et des détails plutôt clairs sur celles-ci. Par contre, je n’aime pas l’arbre des compétences que je trouve brouillon et franchement, il ne donne pas envie de le compléter. À voir. Je suis actuellement au niveau 7 ou 8 je ne sais plus, j’espère qu’il sera plus compréhensible et intéressant plus tard. Là, mon personnage s’améliore uniquement par ses qualités magiques (et de classe) alors que j’aurai bien aimé des améliorations de force, d’endurance, et autres. Toutes ces améliorations sont comprises dans l’arbre de compétences mais liées à d’autres avantages. Bref, pas clair du tout, un peu comme mes phrases décrivant mon incompréhension.
Comme je l’ai souvent indiqué sur Critikale, je vire toujours cette assistance à la visée que je trouve ridicule. Si le jeu est jouable, et avec un peu d’entraînement il est tout à fait possible d’être très bon à n’importe quel FPS. Le centrage de la cible a lui aussi été viré dans mes options, complétement idiot lui aussi. Chacun dira ce qu’il veut mais je ne vois pas l’intérêt de se faire aider par la console pour viser quelque chose ou quelqu’un. Je suis en mode automatique dans les jeux de voitures pour le levier de vitesse mais pas la direction… Et encore, si j’avais la chance d’avoir une belle installation avec volant et autres, j’aurai viré le mode auto des vitesses. Bref, on s’en fout un peu, reste que les options de Borderlands 3 sont les bienvenues car elles apportent des réglages obligatoire dorénavant dans les jeux et surtout les FPS comme le calibrage des zones mortes. Ma manette étant un peu chiante à ce niveau, je vire souvent les zones mortes ou je les augmente sur certains axes.
C’est tout pour ce soir et pour quelques jours. Je posterai un autre article dans le courant du mois de septembre normalement. Très peu en octobre, très peu en novembre, et nombreux en décembre… La fin d’année niveau jeu va être un peu morose plaçant de nombreux espoirs pour le moment diminués, sur ce Borderlands 3. Idem pour Breakpoint où la Bêta fermée m’a inquiété. Plus que l’Alpha étrangement. Idem pour Gears 5 en fin de compte, et là c’est le jeu complet qui m’inquiète… Du coup, l’unique jeu qui fait vibrer ma patience est Noita que je suis depuis longtemps. L’Early Access début le 24/09, unique moment ou Critikale sera mis à jour avant quelques temps. J’attends aussi un peu la mise à jour de Stardew Valley (ha ha !), Doom Eternal, le remaster du sublime Commandos 2, la sortie étonnante de Two Point Hospital et la sortie magique de Dead Island 2, mais là, mieux espérer gagner à l’Euro Millions…
À plus vers le 24 septembre 2019.
2019
Quelques mots en plus sur Wreckfest
En attendant mon premier avis sur Borderlands que je reçois demain, quelques petits mots sur Wreckfest qui reste sympa à jouer pour peu qu’on oublie le potentiel qu’il a…
Pestant encore contre un moteur physique perfectible (les collisions aériennes étranges, dégâts plus précis, déformation mieux répartie, carrière trop basique, concurrents sans histoires, sans charisme…), j’avoue apprécier quand même mes courses et championnats sur 6 à 8 pistes. Je suis encore plus étonné lorsque je vois que le résultat final sur 8 pistes ne s’affichent pas et montre directement votre position finale… Impossible de savoir qui est arrivé derrière vous, qui a été pitoyable en arrivant 24e. Qu’importe, le nom de pilotes est inutile car les voitures ne sont aucunement différenciées par leur histoire, leur écurie. Il arrive donc régulièrement que vous rencontrez un pilote identique au vôtre car c’est le modèle de voiture ici qui fait office d’écurie. Bref, j’aurai bien des trucs à dire sur Wreckfest et ça me gonfle d’autant plus que le jeu est intéressant sur 6 tours à 24 voitures où les résultats ne sont jamais identiques. Tout peut se passer. Si je savais écrire parfaitement en anglais, j’enverrai à BugBear un long programme pour le mode Carrière et faire de Wreckfest un jeu ultra intéressant. Création d’une écurie personnalisée (avec atelier de peinture à la Forza), emblème et numéro personnels, une histoire pour une centaine de pilotes dans 4 ou 5 divisions nommées par exemple : Steel Division, Iron Division, Plumb Division, Platinum Division, bref et autres joyeusetés… Et bien sur un mode multijoueurs avec notre pilote personnalisés ayant glanés des améliorations au fil des courses. Impossible de proposer une version anglaise avec visuels à l’appui à BugBear étant trop scolaire dans la langue de Shakespeare. Si vous pouvez m’aider… !
Sinon arrêtons de rêver et passons aux éternelles captures tirées de la version Xbox One X. Pour Borderlands 3, les captures arriveront ce dimanche dans la soirée.
Comme sous entendu plus haut, le mode Carrière est franchement chiant. Vous sélectionnez le niveau de départ (obligatoirement Regional Juniors au début du jeu) et c’est parti pour des épreuves consistant à finir en bonne place d’une succession de courses, finir en bonne place (souvent 1er ou dans le Top 3) avec une voiture particulière prêté pour l’occasion et gagnée si vous réussissez, finir en bonne place lors d’une arène de destruction…). Bref, des trucs bien basiques qui s’enchaînent un peu péniblement. Surtout pour ma part pour les épreuves où le véhicule est étrange (tondeuse à gazon ou moissonneuse-batteuse par exemple). Pourquoi ? Car ces véhicules particuliers sont injouables ou en tout cas leur moteur physique est souvent chaotique. Pour participer à une épreuve il faut un véhicule de même catégorie ou presque (A, B ou C) et d’un pays identifié sur la gauche de l’écran. Un synopsis bidon justifiant l’épreuve est présent en bas à gauche. Ici, un nabab (personne qui fait étalage de sa richesse, souvent démesurée) veut découvrir le derby de démolition (le sens général de Wreckfest et de la compétition, à ne pas confondre avec l’arène de destruction qui est un épreuve dans le derby de démolition). Vous remarquez peut-etre, pour les plus connaisseurs, que l’épreuve ci-dessus mise en surbrillance s’appelle « Driven To Destruction« , l’un de meilleurs jeu de derby de démolition sorti il y a longtemps sur PS2 (2004). J’en avais parlé sur Critikale.
Pour moi, un des gros problèmes de Wreckfest (mise à part sa carrière à deux balles et son manque de vie pour les pilotes et l’histoire en général), c’est bien l’absence de classement final, entre autres. La première image montre ma première place à l’avant dernière course avec 565 points. Assez loin du deuxième ayant 395 points. Le classement montre aussi mes positions à chaque fin de course. On peut voir par exemple que je suis arrivé 8e et 9e aux 4e et 5e courses respectivement. Tout ceci est sympa et surveiller sa position par rapport aux autres est le minimum syndical pour un long championnat de 8 pistes. Hélas, je ne vois pas ma position finale après la fin de la huitième piste. Je sais, sur l’écran de fin de compétition, que j’ai obtenu 645 points et j’ai bel et bien terminé le championnat premier, avec d’ailleurs seulement 2 étoiles pour 8 souhaitées (ce sont les objectifs). Même si cela peut paraître con, j’aime les classements et savoir qui est arrivé à telle ou telle position. Même si les pilotes n’ont aucune vie et ce sont juste des noms au dessus de voitures sans âme.
C’est sur ces deux images que je vous laisse… Elles montrent toute l’excellence du jeu, la compétition, l’adrénaline qu’à chaque virage il puisse se passer n’importe quoi. C’est franchement pitoyable qu’avec un tel potentiel, BugBear n’arrive pas à faire de Wreckfest le maître étalon des jeux de Demolition Derby. Je dois être trop vieux jeu ou trop nostalgique mais il y a TELLEMENT à faire avec ce jeu…
2019
Point ludique de septembre
Malgré une certaine tempête actuellement sur ma gueule (et surtout dans mon dos), Critikale continue d’être ouvert et évite la phrase habituelle de la fermeture définitive… Tout arrive.
Petit point rapide sur les jeux de septembre. D’horribles (et récurrentes) réparations sur ma bagnole cauchemardesque m’empêchent d’acquérir certains titres ce mois-ci (et les deux siècles suivants) mais qu’importe, le Game Pass Ultimate est là au moins pour m’apporter Gears 5 sur Xbox One et Dead Cells sur PC. Tout pour rester relativement assis et soulager mon dos en ruine.
Je continue timidement Wreckfest, j’ai dû passer deux ou trois championnats je ne sais plus. Le jeu reste marrant à jouer même si moteur physique et IA restent perfectibles. Tout est assez différent à chaque tour et être premier demande suffisamment de dextérité pour que les courses demeurent intéressantes. Je me répète sans fin sur Critikale mais j’imagine aisément les 19 pilotes de Destruction Derby 1er du nom sur l’image ci-dessus avec leur couleur, leur emblème et leur tronche dans chaque bagnole. Quel dommage. Les gars de Monster Games qui avaient pondu l’excellent Driven to Destruction sur PS2 (et Xbox 360) restent sur Nascar HEAT (nouvelle version qui arrive cette semaine d’ailleurs). Vont-ils un jour se réveiller et nous sortir un incroyable mais presque Destruction Derby 3, licence trop oubliée maintenant.
Pendant l’Alpha fermée, je n’avais pas eu l’occasion de mettre à dispo des captures de Breakpoint sur Critikale à cause de la clause de non-divulgation d’UbiSoft. Et je me demande aussi si j’en avais au moins parlé d’ailleurs. Voici seulement deux images de la Bêta fermée qui se déroule jusqu’au 9 septembre. Je n’y ai joué que quelques minutes mais demain soir, j’en dirai plus. Identique dans le contenu que l’Alpha, ce Breakpoint finira sans nul doute dans ma console. J’ai énormément apprécié l’excellent Wildlands (à deux) et celui-ci devrait être au moins pareil, en espérant bien meilleur. J’ai étrangement un peu plus de mal dans la jouabilité que dans l’Alpha mais ce soit être un réglage à la con. J’ai quand même mis en troisième capture (ci-dessus), un bug habituel des productions Ubisoft, le bug du corps avec une position débile. Le mort veut me serrer la main, et une fois sur deux c’est ainsi.
Impossible de mettre en ligne d’autres captures de Kingdom Come Delivrance. Pourquoi ? Car il ne fait plus partie de mon disque dur. Pourquoi ? Car il est excellent. Oui, mais c’est d’une excellence dont il souffre car le contenu intelligent et tellement vivant de ce titre peut faire oublier les heures sombres d’une vie réelle. Le codex, riche et puissant, nous plonge dans un époque dangereuse et chaque article écrit par les passionnés de Warhorse se lit avec curiosité et un cerveau devenu bouillonnant. Impossible de garder ce titre pourtant téléchargeable gratuitement avec le Game Pass (qui n’en finit pas de m’étonner), car le temps qu’il demanderait est incompatible avec mon emploi du temps, sinistre. Un jour peut-être le reverrai-je et là, j’y jouerai de bout en bout malgré bien des lacunes il faut bien sûr l’avouer. Qu’importe, le maître se la raconte, à nous et à notre combo tête et cœur. Je vous ai laissé en capture un simple article sur les aliments en ce temps, de quoi éveiller vos neurones endormis par les riches médias.
Encore un jeu qui n’est pas resté longtemps sur mon disque dur… Blair Witch est intéressant et n’ayant pas vu le film, je posais mes mains sur une toute nouvelle aventure à vivre, chose toujours sympa à faire n’est-ce pas ? Hélas, ces incroyables tares techniques sont tellement affligeantes que je n’ai pas pu continuer, même si l’ambiance était là. D’une animation catastrophique sur One X, le jeu était devenu injouable. Il devait tourner en 15 images par secondes… À oublier avant un patch, qui n’arrivera peut-être jamais.
Enfin… il est là, le tant attendu Gears of War nouveau. Avant tout chose, c’est juste bluffant de beauté. Impossible à décrire un jeu qui affichage ça, tout en étant d’une fluidité exemplaire. Comme répété sur Critikale, j’ai certes une One X (pour la fluidité des jeux et une certaine finesse des textures et des effets) mais un vieux téléviseur Full HD Philips (j’adore l’Ambilight). Donc pas de 4K, ni de HDR pour le moment (et pas avant longtemps…). Gears reste Gears et je n’aime plus trop ces zones à vider, j’avoue. Et pour le moment, à l’acte II, je n’ai pas vu de changement par rapport aux anciens Gears (je n’ai pas fait le Judgement, c’est tout). J’ai fini tous les autres, en bonne difficulté d’ailleurs. La jouabilité doit être réglée parfaitement dans les options, mais j’en encore étrangement du mal alors que les anciens GeOW étaient parfaits à ce niveau. Il y a un léger flottement que je n’arrive pas à comprendre, même avec les zones mortes à zéro. Bref, à voir. J’attaque l’acte II depuis peu et l’histoire est quand même sympa à suivre, et les personnages attachants. Pour l’instant, j’avance tranquillement en espérant un petit truc en plus. D’un autre côté, j’ai Gears 5 avec le Game Pass et j’espère surtout me remettre sur le mode Horde, que j’adorais dans le deuxième opus. Mais les temps, et les amis surtout, ont changé depuis.
Étonnante capture de Stardew Valley. Pourquoi étonnante ? Parce que j’en suis à l’Hiver de la 6e année et plus de 10 millions de pognon (11 millions maintenant je crois). Étonnante car malgré le silence radio ou les messages laconiques du créateur Éric Barone sur Twitter et sur le blog officiel de Stardew Valley, je continue à y jouer… J’attends surtout la mise à jour multijoueurs et pourquoi pas la langue française dispo sur Android, iOS et Switch (il me semble pour cette dernière). La langue anglaise ne me dérange pas mais c’est toujours plus fluide de lire ce qu’on a à l’écran dans notre propre langue. Ici, en Hiver, je ne récolte que les graines hivernales, rien ne pousse sinon, à part dans ma serre évidemment. Une très grosse page sur Stardew Valley est toujours en cours de préparation (pour comprendre le jeu et faire un wiki français, et complet surtout). Mais cela me prendre un temps infini…
C’est tout pour aujourd’hui. Des nouvelles selon mes possibilités de Borderlands 3, NHL 20, Nascar HEAT 4, The Surge 2, Contra Rogue Corps et FIFA 20, tout ceci ce mois-ci !
2019
Wreckfest, premier avis complexe
Précommandé depuis qu’il est apparu sur le Store de la Xbox One, Wreckfest tourne un peu plus régulièrement maintenant mais pas autant que prévu. Explications.
Éternelles captures ci-dessous, uniquement cinq, qui montre plusieurs aspects de notre ami Wreckfest. Le jeu n’est pas très beau par rapport à une superbe version PC mais reste correct. Peu de ralentissements, à part lorsqu’il y a vraiment des carambolages particulièrement véloces… Et encore, ça reste fluide la plupart du temps. Jouabilité sympathique (j’ai pas mal d’aide à la direction faut dire…) et contenu… ben contenu basique quoi… Allez, plus de détails ci-après.
Menu principal à la mode. Ce genre de présentation en tuiles et quasi identique sur de très nombreuses productions actuelles). Une Carrière, des Épreuves Personnalisées (chiantes pour la plupart à cause d’un moteur physique bizarre), une section DLC indiquée en portugais (et certaines phrases du jeu aussi…) et le mode Multijoueurs (non essayé). Plus loin, un onglet Garage pour personnaliser et acheter des voitures et un onglet Divers pour les réglages habituels.
La Carrière est ultra basique, comme cela était prévu en somme. Des compétitions venues de nulle-part, des objections idiots et aucun charisme des pilotes aux noms presque débiles, aucune âme quoi. Mes souvenirs de Destruction Derby sont trop vifs peut-être malgré mon grand âge mais rien ne me fera changer d’avis, des pilotes comme The General, Suicide Squad, Learner Driver, The Bouncer ou encore Pyromaniac seront largement plus parlant et plus « humain » que ces bagnoles de Wreckfest qui roulent avec un pantin comme chef d’orchestre.
Dans les épreuves proposées dans le mode Carrière, il y a bien évidemment le fameux « bowl » de Destruction Derby. Un joyeux bazar qui reste sympa à jouer, même si les véhicules s’âbiment très rapidement et qu’aucun réel talent n’est solicité.
Pour pratiquer la caméra libre dans le menu Photo, il faut virer le dashboard et commencer ainsi à bouger la caméra avec les deux sticks. Je vous conseille bien sûr de virer le noms, pas comme sur cette capture. Sur cette photo, je suis en bataille pour une ridicule 9e place (sur 24, et quelque fois 16 véhicules, incompréhensible). Ma voiture (la bleue et noir) à eu quelques désagréments… mais elle roule. La mienne dans la vraie vie est plutôt « propre » mais ne roule pas, elle.
Première version du jeu avant un patch salvateur. Vous voyez ci-dessus que le pilote à une drôle, très drôle posture. C’est sans compter les bugs d’affichage des menus (glitch) et les phrases en portugais. Vous voyez aussi sur cette capture que le « carrer rewards » est en anglais. Va falloir que BugBear peaufine son jeu.
Je suis actuellement au niveau 15. Je me fais quelques courses de temps en temps, et j’aime bien ce Wreckfest mais il reste en dessous de Destruction Derby pour moi, le premier. Cela peut paraître nostalgique mais ce n’est pas vraiement le cas. J’aimerai bien qu’un jeu avec le potentiel énorme de Wreckfest propose un vrai mode Championnat et des écuries charismatiques. Lorsque je croisais Suicide Squad ou The Skum sur un des pistes de Destruction Derby, je savais qu’ils devaient être bien classés et qu’il fallait s’en méfier. Les toits de couleur pour chaque division étaient aussi une super idée.
2019
No Man’s Sky : carnet de voyage n° 2
Toujours sur No Man’s Sky que j’apprécie tout particulièrement en ce mois d’août 2019. Je pense y rester bien longtemps mais Critikale ne sera plus mis à jour aussi régulièrement à partir de la semaine prochaine. Uniquement les mercredis soir.
Ci-dessous de nouvelles captures explicatives de mon périple galactique. Toujours plus compréhensible, No Man’s Sky devient tout simplement incontournable sur Xbox One X (et forcément sur les autres supports bien que je vous conseille les versions aux hormones, One X, PC et PS4 Pro donc).
Pour rappel, les photos sont enregistrées au format JPEG à 60% de qualité. En gros, c’est de la merde pour un affichage basique sur un écran 1920×1080 mais reste mauvais par rapport à la qualité du jeu. Pour couronner le tout, elles sont en 750 pixels de large, ce qui est petit mais je m’en cogne. Critkale n’a pas vocation d’attirer les foules…
Que ce soit du Cuivre, du Sodium, de l’Argent, du Cobalt, du Sel ou bien des matières présentes sur les très nombreuses planètes de No Man’s Sky, vous devrez utiliser un Opérateur de Terrain. Celui-ci sert à extraire de la matière sur n’importe quelle surface meuble. L’Opérateur de terrain peut être amélioré de bien des manières, il peut aussi créer en ajoutant plusieurs types de terrain (type base, caverne ou autre) avec une forme arrondie ou carrée. Dans ce mode, il n’est pas super simple de l’utiliser mais demeure efficace si on ne fait pas n’importe quoi. Je vous conseille fortement de récupérer le maximum de matière avec l’Opérateur de Terrain…
Comme je l’avais indiqué sur mon dernier article sur NMS, certaines créatures n’hésiteront pas à vous attaquer. Elles seront signalées par un symbole rouge d’empreinte de patte griffue… La bestiole ci-dessus est l’une qui attaque régulièrement, ne souhaitant pas établir un contact autre que la destruction pure et simple de l’agresseur, j’ai utilisé mon Lance Foudre, arme à projectiles relativement efficace mais suffisante. Vous pourrez ramasser les vestiges de la bête qui vous serviront à fabriquer des aliments nutritifs. Cool.
Votre vaisseau est votre meilleur ami, ainsi que votre multi-outil. Sur la première capture vous voyez mon 9e vaisseau et celui que j’ai gardé le plus longtemps, qui est toujours d’actualité. Les autres sont le plus souvent vendus ou en stand by dans mon « inventaire de vaisseau ». Je dois avoir 3 vaisseaux actifs (des nazes) et celui que j’ai actuellement (le vert donc en première capture) est très bien malgré sa lourdeur du fait qu’il est classé dans les Transporteurs (d’où la gueule du machin). Vous pouvez acheter n’importe quel vaisseau que vous croisez (en station spaciale ou sur des bâtiments sur les planètes). Il suffit de parler au pilote. Celui-ci présenté ici, plutôt sympa, est un vaisseau qui me coûterait 37 millions de crédits pour un échange avec le mien… (il vaut 43.500.000 crédits). Le mien à une valeur de 5.650.000 crédits. Le pilote me rachète donc mon vaisseau à sa valeur et repart avec mon pognon. J’ai actuellement 6.252.629 crédits (en haut à gauche), je ne peux donc rien faire. J’ai trouvé ce vaisseau plutôt joli c’est dommage, mais une classe A contre une classe B (pour le mien) coûte de toute façon un bras, voire deux, ou plus tout dépend ce que vous êtes.
Le multi-outil porte bien son nom, il sera à tout. C’est lui qui vous servira à extraire n’importe quel matériau, à tirer, à détruire ou créer du terrain. Ses modes sont nombreux. Il peut bien sûr être améliorer mais ne doit pas comporter trop d’améliorations sur un seul point car il risque la surchauffe (comme l’exocombinaison attention). Ci-dessus vous voyez que je possède pas mal d’amélioration S (ultime). Vous pouvez en porter plusieurs mais il faut être prudent avec les associations. Trop et c’est une arme brûlante que vous aurez dans les mains… Les associations d’amélioration ou de technologie sont encadrées de la même couleur. Ici, verte pour le Rayon d’Extraction par exemple. Blanc pour le scanneur.
Regardez bien cette capture. Je me suis arrêté à côté de ce bâtiment pour l’identifier (principe de base de No Man’s Sky) et cette planète était franchement hostile. Les sentienelles (j’en parlerai dans mon carnet de voyage n°3 sont dangeureuses et très agressives, idem pour les créatures). Vous voyez un drone particulier en bas à gauche de l’image qui me tire dessus, tir arrêté miraculeusement par un poteau… Vous apercevez ma silouette à côté de mon vaisseau, qui fuit lamentablement. En haut à droite, une autre histoire. Une énorme créature qui voulait ma peau la minute d’avant (de l’autre côté car il y en avait 4 dans les parages. Sympa comme planète, je n’y metterai plus les pieds à moins de trouver des trucs rares.
C’est tout pour ce soir, cette nuit, enfin pour aujourd’hui. Des nouvelles peut-être dans la semaine mais j’en doute. Mercredi soir prochain donc, mais j’en doute aussi, on verra. Peut-être un carnet de voyage n°3 le 28 août. Dans tous les cas, je parlerai de Wreckfest, acquisition en précommande depuis des lustres, sortie le 27/08.
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