2020
Pause
Petite pause sur Critikale pour une semaine. Clap de fin ou nouveauté ce mercredi 30 septembre pour un nouvel article.
En ce 20 septembre 2020, j’ai souhaité mettre ici-même des nouvelles sur mes jeux actuels. J’ai aussi voulu parler de trucs divers sans réelle importance mais qui m’occupent l’esprit. J’ai voulu oui.
Hélas, lorsque j’ai commencé à faire cela, à rechercher les captures habituelles sur l’application Xbox et en me disant que je n’avais rien enregistré sur clef USB pour la PS4 (qu’est-ce que c’est laborieux de procéder ainsi…), et bien je me suis rendu compte que ça m’ennuyait. Mercredi prochain, deux choses peuvent se passer. Disons trois.
1. En me rendant chez ma petite mère aujourd’hui je me suis mis à voir l’évidence, évidence que je vois de plus en plus clairement. Ma vie est vraiment merdique. Je me suis rappellé que je faisais excactement la même chose il y a dix ans, 20 ans même… En fait, ce n’est pas moi qui ait une vie merdique, c’est moi qui l’ai rendu ainsi. De mauvaises décisions en mauvaises personnes. Alors puis-je continuer ainsi ?
2. Critikale fermerait ses portes pour de bon. Oui, tout ceci est marrant et je l’indique depuis 3 ans voire plus maintenant. Mais après mon compte Facebook à la con qui sera définitivement supprimé dans quelques jours, ainsi que mon compte Twitter, la fermeture de Critikale n’a jamais été aussi évidente pour moi.
3. Critikale restera ouvert pour quelque chose de nouveau, un truc sur les mots, des articles de l’esprit, un truc original que je ne trouve pas. Un recueil de citations que j’adore, un dictionnaire personnel, une encyclopédie de je ne sais quoi. Un nouveau truc, je ne sais pas.
Toujours est-il que mon chemin s’arrête bientôt et si vous lisez ces lignes récemment ou depuis longtemps, vous pouvez le constater facilement. Je suis bien trop brisé et je ne veux plus faire d’effort. Je suis seul.
2020
Quelques infos diverses pour finir l’année 2020
C’est demain, à l’heure où j’écris ces lignes, que le dernier jour sonnera la fin d’une année bien particulière et foncièrement pénible.
Une nouvelle année est toujours un moment simple pour faire le point, pour essayer de faire mieux. Certains pourraient se demander ce qu’un jour en plus dans une vie peut être considéré comme une année nouvelle, un nouvel essai, et non une continuité. Certains donc, se diraient que nous sommes bien cons à se dire que nouvelle année rime souvent avec changement et remise à zéro des compteurs. Ces gens-là sont des cons. Car une nouvelle année marque fondamentalement une nouvelle étape dans le calendrier, quelque chose de neuf, un nouveau départ qu’on aimerait plus fluide que l’an passé à galérer avec nos masques et nos médias.
L’année 2021 sur Critikale commencera mardi 5 janvier. Le site proposera une mise à jour par semaine, cette mise à jour reprendra des news en vrac. Critikale optera pour du contenu différent comme annoncé depuis longtemps. Pour le moment, et avant l’article d’ouverture, voici quelques infos sur les jeux du moment.
CYBERPUNK 2077
Après 34 heures passées à Night City, mon avis reste le même, voire meilleur. La fluidité est là (Xbox Series X), graphiquement ça tient bien la route, les missions sont intéressantes, le contenu est dense, les détails sont présents, les personnages attachants (à part la voix française du héro), en somme, c’est très bon. La conduite des voitures est bonne (celle des motos est chiante) et l’amélioration lente du personnage (équipements, armes, gadgets, mouvements…) est un plus pour savourer le jeu tranquillement. Cyberpunk 2077 est donc parfaitement réalisé et sans conteste une de mes belles suprises de l’année 2020, ouf.
WILMOT’S WAREHOUSE
Hélas, malgré l’excellence du jeu, notre ami Wilmot propose une fin de merde. Oui, tout connement. Le jeu est maintenant terminé et la fin est clairement étrange (on est viré et remplacé par des machines). Étrange ? Pas que, cette définition de notre société actuelle n’est pas la bienvenue pour ce jeu je trouve car j’aurai aimé un mode dévérouillé ou quelque chose qui propose une rejouabilité sympa. Même si les éléments à ranger dans le hangar ne sont jamais les mêmes (200 de base, et bien plus si on refait plusieurs parties), le jeu ne sera pas relancé, il est d’ailleurs supprimé. Bien dommage car le titre est franchement génial et j’aurai pu y jouer de temps en temps si seulement la fin d’était pas exécutée de cette manière.
ASSASSIN’S CREED VALHALLA
Toujours présent sur ma console, cet épisode d’Assassin’s Creed est mon préféré (pas de mal, je n’aime pas les autres et je n’ai peut-être pas joué suffisamment à Odyssey). Je dois être à presque 60 h de jeu et aucune lassitude pour ma part. Le jeu est ultra fluide, parfaitement jouable, très beau et très vaste. Bien sûr je regrette beaucoup les très mauvais dialogue (le plus souvent) mais c’est juste dommage. Je le finirai prochainement.
C’est tout… et oui.
Comme écrit plus tôt dans le mois de décembre, Critikale ne parlera plus de jeu en général (petit paragraphe dédié). Ceci s’expliquera aisément vous verrez…
À mardi 5 janvier 2021.
2020
Critikale 2021
C’est en rencontrant d’anciens amis, d’anciens collègues, qu’on se rend compte à quel point notre vie est resté figée pendant des dizaines d’années. Figée comme une merde froide.
Alors que je vais relancer la console histoire de penser à rien ou presque, laissez moi partager quelques mots avant une année 2021 qui s’annonce pour le moins chaotique. Je pense que mon site est devenu un ramassis de déchets et de stupidité infantile. Je pense cependant qu’il résume pleinement ma vie. J’ai passé mon temps à vouloir plaire aux autres, à rester dans le cadre, dans le droit chemin, en évitant les courbes et les problèmes frontaux. Hélas, cette technique que je maîtrise pleinement joue en ma défaveur car le monde change, le monde évolue et moi non. Depuis trop longtemps Critikale est le seul moment que j’apprécie.
Je pose mes mains sur mon joli clavier qui fait des clics et des clacs et je joue une mélodie de mots à défaut de maîtriser l’un de mes rêves, le piano. Encore un échec cuisant pour ma part. Je regarde le chemin des autres et je vois des enfants, une femme peut-être, des amis, des soirées, des habitudes, des sorties, des projets, des adultes qui ont réussi à passer le cap d’un blog à la con où ils ne leur viendraient pas à l’esprit de marteler au tout peuple leur vie de joyeux blaireau. Car c’est cela même que je suis. Un blaireau.
La première phase a été de supprimer Facebook. Puis Instagram. Longtemps déjà, Snapchat n’était plus. Twitter est en pause avant suppression et reste mon ami Pinterest, seul réseau social que j’apprécie, que ma curiosité apprécie… Encore à me servir des autres comme une vitrine d’un bonheur que je n’ai pas su créer. Bref. Critikale cru 2021 ne sera plus. Je vais continuer quelques jours à poster des infos sur Cyberpunk 2077 et peut-être la mise à jour 1.5 de Stardew Valley version PC. Peut-être aussi je continuerai Assassin’s Creed Valhalla. Dans tous les cas, les articles se feront très rares et un Grand Article sera mis en ligne début janvier.
Je remercie chaleureusement tous les visiteurs de Killmyself (premier site), Rijkaan (modif de Kilmyself) et Critikale (remplaçant de tout ce bordel). Les artiles se feront rares mais plus réfléchi. Tout moi va disparaître mais j’annoncerai ce départ plus tard.
Joyeuses fêtes, et bonne année.
2020
Jeu vidéo : Entre coup de coeur et coup de gueule
Non, Cyberpunk 2077 n’est pas mon coup de gueule, les moutons gavés d’Internet oui, et mon coup de coeur revient au surprenant Wilmot’s Warehouse (Game Pass).
Quelques captures de Cyberpunk 2077 après 21 heures de jeu et avant un vrai article sur cet excellent titre de CD Projekt RED (Xbox One X). Les versions PS4 et Xbox One standards peuvent très bien être mauvaises mais je ne juge pas les avis sur celles-ci, car tout devient général avec Internet, les réseaux sociaux et le bouche-à-cul déplorable de ces derniers jours. Ou l’oreille-à-cul comprenne qui pourra.
Ci-dessous, des captures parlantes de Cyberpunk pour expliquer deux/trois trucs importants. Mon prochain article démontrera pourquoi Cyberpunk 2077 est un excellent jeu (!).
On commence pourtant mal par le bug du soir. Malgré le fait que je pouvais bouger difficilement sur cet écran noir, je n’avais plus d’interaction avec les ennemis. J’étais comme aveugle et immobilisé par le codage chaotique de Cyberpunk 2077. Oui le jeu comporte des bugs mais NON ils ne sont pas nombreux et restent « normaux » pour un premier run dans le monde du jeu vidéo. Les patchs qui arriveront sauront corriger le tir je n’en doute pas un seul instant. 99% du titre de CD Projekt RED reste parfaitement jouable et je ne regrette pour le moment que de rares trucs comme le moteur physique moyen.
J’ai enfin récupéré la voiture de V (oui après 20 h de jeu). Joli bolide avec une sacrée pêche ! La conduite est bonne (les motos sont spaces mais jouables). On sent les suspensions, le poids des véhicules et l’aspérité de la route, c’est bien là le principal non ? Et réellement, je suis bien pénible dans la critique sur la conduite dans les jeux (surtout pour les titres comme celui-ci).
Le stand de tir où vous pouvez gagner une arme sympa est dirigé par Wilson. Un gars qui insulte pas mal ses clients de petites bites car ça l’énerve de voir des gars tirés comme des manches mais tirer quand même… Le concours opposant 4 autres gars est facile (avec la configuration montrée dans un autre article sur Cyberpunk).
Voilà, pour le moment. Je continue mon aventure qui devient de plus en plus intéressante (et compréhensible surtout !). Sur Xbox One X le jeu est propre graphiquement, jouable, fourni, que demander de plus ? Si les bugs sont corrigés et si, pourquoi pas, le jeu gagne en fluidité (c’est déjà bien) et en technique, il sera sans nul doute un titre à posséder d’urgence… L’article contre les connards qui critiquent sans connaître arrivera dimanche ou mardi prochain.
Passons au surprenant Wilmot’s Warehouse.
Si je m’attendais à ça… J’avais regardé une vidéo vite-fait vu que le jeu allait être gratuit avec le Game Pass et j’avais trouvé ça bizarre (pourtant je suis fan de ce type de jeu décalé). C’est à son gameplay qu’on décèle un grand jeu, et Wilmot’s Warehouse n’a aucun égal dans ce domaine.
Simple, un camion arrive pour déposer des colis dans votre entrepôt. Ces colis, tous carrés et identifiés avec un symbole, doivent être ranger dans votre entrepôt pour être livré à des clients.
Les clients demandent des colis particuliers et d’une quantité précise. Vous devez ranger correctement votre entrepôt afin de satisfaire rapidement les clients. Si vous ne savez pas où vous avez placer tel ou tel « carton », vous allez perdre du temps et perdre des étoiles. Certains clients donnent 5 étoiles par exemple si vous les servez dans les temps. Vous pouvez bien sûr porter plusieurs colis en même temps afin de satisfaire un, deux, trois voire quatre clients en même temps.
Et justement, en étant organisé on peut facilement gagner des étoiles qui serviront à améliorer le personnage. Vous pouvez par exemple tourner les colis autour de vous pour vous déplacez dans certains endroits ou les ranger plus efficacement. Vous pouvez aussi activer un boost avec Y (Xbox One). Et pourquoi pas porter plus de colis qu’au début (8, 10, 12…).
Ici, grâce au bonus Rotation que j’ai acheté, je peux tourner les colis comme une pièce de Tetris (un tetriminos).
Ici, le coup de boost. Idéal pour speeder vers une zone où vous devez prendre un colis. Si vous transportez un ou plusieurs colis, impossible de speeder.
Une fois les cartons donnés aux clients, vous pouvez indiquer avoir terminé votre mission et ainsi gagner plus d’étoiles que prévu. Idéal pour acheter des améliorations.
De nombreux visuels de colis sont à collectionner et grandissent considérablement ce que vous pouvez stocker dans l’entrepôt (en augmentant forcément la difficulté !). Ci-dessous, tous les colis que je peux stocker dans mon entrepôt et surtout que le camion peut me livrer. Il faut une organisation drastique pour retrouver ces précieux…
Vous pouvez afficher les statistiques. Elles montrent le nombre de colis de chaque catégorie actuellement stocker dans l’entrepôt.
Wilmot’s Warehouse est ultra prenant. Dès que le camion arrive il faut stocker vos colis et se souvenir de là où ils sont ! Les clients, au nombre de quatre, demandent toujours différents colis et vous oblige à connaître parfaitement votre entrepôt. Le jeu est jouable à deux en coop. J’ignore comment ça se passe dans ce cas précis. Je vais essayer.
C’est tout pour aujourd’hui. Les temps sont dur niveau fatigue et autre alors je vous donne rendez-vous mardi 22 décembre pour la fermeture 2020 de Critikale. Avant peut-être avant l’article vérité sur l’excellent Cyberpunk 2077. Préparez-vous à un Article Noir particulier le même jour.
Salut.
2020
Cyberpunk 2077, la vérité sur le jeu
Je peux écrire un avis plus précis sur le dernier né de CD Projekt RED. Et il est positif.
Voici une nouvelle giboulée de captures tirées de la version Xbox One X. Pour la petite parenthèse, je m’habitue beaucoup au titre et il devient excellent. De nombreuses choses à découvrir et la ville de Night City (et ses environs) regorge d’activités. Petit tour d’horizon après 16 heures de jeu.
Point faible régulier des FPS (et de tout jeu vidéo en général) : le moteur physique. Il n’est pas mauvais mais trop sommaire pour être agréable. Les corps se disloquent bêtement comme des marionettes dès qu’ils ne sont plus « actifs » (que les types sont morts quoi). La localisation des dégâts est bien là mais il est regrettable qu’en 2020, même avec la faible puissance des consoles actuelles (je ne parle pas des meilleurs PC donc), on soit devant un tel moteur physique moyen. C’est là où GTA V fait exemple (et RDR2 plus récemment). Tous les autres jeux du genre sont minables à ce niveau. Et ne parlons pas du dernier Assassin’s Creed Valhalla… Les impacts se ressentent bien et les armes sont puissantes (et cela se voit), c’est donc d’autant plus chiant d’arriver à un moteur physique sommaire…
Légère erreur de mon article précédent, on peut bien se regarder dans un glace (en l’activant, malin…). Là où je n’avais pas tort, c’est dans l’absence quasi systématique des reflets sur les surfaces réfléchissantes. Là encore, un manque de puissance évident. Mais aura t-on le droit d’avoir des jeux à ce point réaliste un jour ? Vous verrez. Le boss de Rockstar annonce des jeux réalistes dans 10 ans, proche de la sortie de GTA VI ? Oui j’ai bien une tête de psychopate sur la dernière capture, calmez-vous.
Grâce à une astuce indiquée sur le Net (que je partage ici détendez-vous), la visée est dorénavant sympa, pas au top du top évidemment mais vraiment bonne pour ne pas rager contre plusieurs ennemis ou rater une cible (visée auto virée bien sûr). Les gunfights sont franchement bons et comme écrit plus haut, on ressent bien la puissance de n’importe quelle arme. Dommage que le moteur physique soit moyen.
C’est seulement après la rencontre avec Johnny Silverhand que le logo de Cyberpunk 2077 apparaît (pour ma part, après 10 heures de jeu, sachant que je suis plutôt lent) et que le jeu commence réellement… Notre ami Keanu Reeves et sa voix officielle française est impeccable comme souvent. L’acteur joue parfaitement son rôle et j’attends impatiemment de voir la suite.
La zone du Centre-Ville est bien plus aguichante que le quartier où se situe votre appartement. Plus propre, plus moderne, plus riche, cette zone de la gigantesque ville de Night City est superbe (je suis quand même curieux de voir le jeu sur PC).
Pour l’instant, je n’ai guère touché le menu FABRICATION. Je vais regarder ça de plus près à ma prochaine partie pour comprendre l’avantage de ce menu pour mon aventure.
Le menu INVENTAIRE est plutôt simple. À gauche, 3 armes à choisir en passant de l’un à l’autre avec l’éternel bouton Y (sur Xbox, X pour recharger bien sûr). En bas, le résumé des stats et l’accès au matériel cyber ainsi qu’à votre sac. À droite, la sélection de vos vêtements (tête, haut du corps, bas du corps, spécial (combinaison) et l’accès rapide aux grenades, medics et à la cyberconsole (vos implants). Menu riche mais facile à comprendre.
Dans le SAC, tous vos objets. Les babioles (habituelles dans ce genre de jeu) peuvent se vendre avec un seul bouton dans n’importe quel magasin (armes, équipements, charcudocs…). L’inventaire est tout aussi simple à comprendre mais comme je l’indiquais dans mon précédent article, cela se voit tout de suite que Cyberpunk 2077 a été programmé pour des écrans 2K ou 4K. Du moins des écrans bien plus solides que certains TV Full HD. La lisibilité reste bonne mais ça pique un peu.
Le MATÉRIEL CYBER et le menu où vous pouvez gérer vos implants (pour obtenir un double saut par exemple, voire mieux…). C’est bien foutu et intéressant de tout débloquer.
L’énorme CARTE de Cyberpunk 2077 fourmille de détails. On peut zoomer assez proche et afficher la carte en 3D (caméra peu pratique à cet instant…).
Lui aussi je l’ai montré récemment. L’arbre de compétence qui n’est autre que le menu PERSONNAGE comporte 6 aptitudes (constitution, réflexe, capacité bionique, intelligence, sang-froid et une autre que je n’ai pas débloqué). De ces 6 aptitudes, vous pouvez améliorer plus précisément certains avantages. C’est bien fait, joli et parfaitement compréhensible. Les avantages donnent toujours une petite nouveauté sympa qui augmente le gameplay assez « mou » au début. Au début…
Les STATISTIQUES du personnage sont limpides elles aussi. Idem pour le JOURNAL qui est facilement accessible.
Les ÉCLATS sont des pans d’histoire de Night City et une source importante pour la compréhension du titre de CD Projekt. Hélas, ma vue n’est plus ce qu’elle était et je ne peux pas être concentré pour tout lire (je me ferai de petites sessions lecture la semaine prochaine). Le bruit à basses fréquences de mon appartement ne joue pas non plus en ma faveur pour me concentrer alors qu’il n’y a plus le bruit de jeu… Bref, ce sont mes problèmes habituels.
Les MESSAGES sont issus du téléphone portable. Vous pouvez répondre à certains avec plusieurs choix. Je ne pense pas que vos choix sont importants dans le jeu, j’en doute. Tant pis.
La collection de cartes de TAROT est intéressante pour le superbe design des cartes. Pour info, le tarot se compose de 22 cartes (20 représentées sur la carte de Night City). Au tarot, il y a 22 arcanes majeurs et 56 arcanes mineurs (ce qui nous fait bien 78 cartes). Cyberpunk 2077 vous propose de trouver les arcanes majeurs.
Dernier menu déjà présenté, le codex (ou BASE DE DONNÉES). Je regrette que les thèmes ne restent pas fermés car c’est chiant de scroller jusqu’en bas pour rechercher quelque chose.
VERDICT CYBERPUNK 2077 (Xbox One X)
Évidemment, il est impossible de donner un avis définitif sur Cyberpunk 2077 tant le contenu est important et que le jeu se bonifie constamment. Je m’interroge quand même sur la note infâme de jeuxvideo.com (oui ce n’est pas le site idéal pour se faire un avis avant une sortie vu l’amateurisme de nombreux journalistes y sévissant).
Je me pose juste une question : comment peut-on mettre 11/20 a un tel jeu ? Avec les points négatifs ci-dessous et mes corrections en rouge…
- Framerate régulièrement en souffrance
- FAUX. Il est très rare que le jeu rame sur Xbox One X (et je suppose que cela est identique sur PS4 Pro). Certes les versions Xbox One et PS4 standard doivent être mauvaises. Mais NON, le framerate n’est que TRÈS RAREMENT en souffrance.
- Clipping prononcé, textures baveuses, qui s’affichent parfois péniblement
- FAUX. Aucun clipping pour ma part, c’est à se demander si la version testée par jeuxvideo.com était la version commerciale. Attention, même avant le patch ça ne ramait pas et il n’y avait pas de clipping. Le jeu plantait oui (freezes pénibles). Les textures sont parfaitement affichées, même si elles pourraient être plus fines sur de meilleures machines.
- Une ville désertée de sa population et de sa circulation
- FAUX, la ville n’est pas des plus active mais elle est belle et bien vivante (surtout la nuit et dans certains quartiers).
- Synchronisation sonore souvent à la traîne
- FAUX. La sychronisation labiale est certes médiocre (contrairement à l’excellente qu’est Skyrim par exemple actuellement sur le Game Pass) mais je n’ai pas vu de problème sonore. À part bien sûr les dialogues des PNJ qui tournent un peu en rond.
- Quelques freezes
- C’EST PAS FAUX. Clairement oui. Mais depuis la mise à jour récente. Mais un plantage pénible (retour en menu Xbox) sur ma dernière partie lors d’un dialogue.
- Des moments de latence en combat
- FAUX. Les combats sont dynamiques et le jeu, étrangement, ne rame pas pendant les gunfights, même intenses. On sent bien sûr la console souffrir lors des affrontements avec des gars trop penché dans le cybernétique…
- Pas vraiment vraiment joli
- FAUX. Le jeu n’est certes pas à la hauteur des ténors du genre mais il faut le comparer à quoi ? GTA V avec son monde ouvert ? Il était juste correct sur les anciennes générations de consoles et plus net sur les nouvelles. Les jeux d’Ubi ? Ils sont le plus souvent pourris du gameplay et avec des personnages cons comme des tables retournées.
11/20 par des demeurés… Ridicule. Ce jeu est excellent, rien que pour le boulet accompli bordel il ne mérite pas ça. Je ne suis pas objectif ? Bien sûr que si, et je le démontrerai pendant le mois de décembre avec un seul autre article à son sujet mardi prochain, le 22 décembre, article final de Critikale.
Pour le moment, ma note à son sujet serait de 15/20 ou 7/10. Salut, à bientôt si Dieu le veut.
2020
Cyberpunk 2077, l’excellence timide
Depuis le temps que je patientais dans la chambre noire de la curiosité, craignant que la lumière ne soit pas assez belle qu’escompter, le Cyberpunk sauce Xbox One X m’étonne autant qu’il me laisse perplexe.
Depuis le 10 décembre à minuit, je joue enfin à mon jeu le plus attendu de l’année (avec Dying Light 2 mais là c’est le drame…). Autant dire que j’ai appuyé sur le bouton A de ma manette Xbox avec une crainte multipliée à cause des articles négatifs sur le dernier-né de CD Projekt RED. Et bien, si vous le voulez bien, avant le tri des 62 captures et après une jolie sélection, voici mon opinion directe après quelques heures de jeu.
FAUT-IL CROIRE LES AVIS DU GRAND WEB ?
Non. Voilà, simple, efficace, et sincère… Les versions PS4 et Xbox One doivent être mauvaises, j’en doute aucunement. Et même si on pourrait indiquer l’âge premier de ces consoles (7 ans), certains jeux sont mieux optimisés (merci Rockstar). Je vais parler exclusivement de la version Xbox One X, que j’ai obtenu gratuitement. La version PC suivra peut-être mais j’en doute, ce serait débile.
Les bugs et autres joyeusetés
Oui, des bugs, il y en a. Pour le moment, certains personnages restent suspendus en l’air alors qu’un banc, par exemple, devrait les aider à rester assis. Ou ma voiture flotte dans l’air (à 1 m, un peu moins), alors qu’elle n’est pas sensée voler… Ce qui me dérange le plus pour le moment, ce sont les freezes, importants. J’ai eu un plantage (retour à l’accueil Xbox) et plusieurs freezes pendant n’importe quelle action. Je roulais, freeze, je marchais, freeze, je parlais à un débile, freeze. Des freezes un peu comme les chargements de Half Life² (si si souvenez-vous). Sauf que là, ce sont bien des plantages. Dommage mais facilement patchable je pense. À part ça, aucun bug gênant, en tout cas pire que ça.
La conduite
Vu que je suis un adorateur des moteurs physiques (Euphoria surtout), je porte une grande importance pour la conduite. Et lire par-ci par-là que celle-ci était désastreuse, qu’on ne ressentait pas les véhicules et qu’en gros, c’était injouable, ça m’a foutu les boules. Et bien non. Totalement faux. Si vous lisez Critikale depuis longtemps, vous savez que j’attache beaucoup d’importance au poids des véhicules, à l’inertie, au réalisme du comportement routier en général (qu’on monte un trottoir ou qu’on se tape une autre bagnole). Et bien les voitures (et motos) dans Cyberpunk se conduisent parfaitement. Certes c’est toujours à améliorer mais le gros du taf est fait. On ressent le poids du véhicule, lorsqu’il tourne, les suspensions sont excellentes, et en resumé la conduite est agréable si on n’y va pas comme un bourrin. Je n’ai conduis qu’une seule moto pour le moment, et c’était pas mal, pas fou, mais pas mal.
Les graphismes, dégueulasses ?
Sur Xbox One X avec un téléviseur Full HD, c’est tout à fait correct. On peut dire que Red Dead Redemption est mille fois plus beau, que même Valhalla fait mieux, ou… aller, que GTA V n’est pas en reste. Mais non ! Encore non. La ville fourmille de détails (certes souvent dupliqués) et je n’ai pas trouvé de textures moches ou je ne sais quoi. Notons tout de même que j’ai viré la quasi intégralité des effets (voir captures). Ce n’est pas le plus beau jeu du monde mais les effets de fumée, d’éclats, les textures en général, et l’ambiance, font que la ville de Night City est superbe (surtout de nuit évidemment).
Pour ma part, j’ai viré tous les effets sauf la profondeur de champ. Je vous conseille de faire de même sur un TV Full HD même si je vais faire des essais plus approfondis plus tard.
C’est fluide le bousin ?
Très grosse crainte de ma part… Ce n’est pas du 60 FPS bien sûr mais le jeu ne rame pas. Pas de ralentissements sur Xbox One X (à part les freezes chiants) et le jeu est parfaitement jouable (après réglages, voir captures là aussi). Non, là encore, les articles négatifs à ce sujet sont étranges. La version PC doit être 100 fois meilleure bien sûr mais en l’état, et pourquoi pas après des correctifs, le jeu sur Xbox One X est stable et tout à fait praticable. Même lors des gros gunfights je n’ai pas noté de ralentissements, c’est dire… Les versions PS5 et Series X devraient être excellentes à ce niveau. Attendons… Même si je ne possède ni l’une ni l’autre (article bientôt à ce sujet), je suis curieux de voir le rendu sur ces nouveaux supports.
C’est intéressant alors ? C’est l’après The Witcher bordel !
Lorsqu’on voit un titre comme The Witcher, on pouvait facilement se dire que CD Projekt RED sont des Dieux. Et ils le sont… Pour le moment, l’histoire est sympa, les personnages sont mille fois plus charismatiques que notre ami chez Assassin’s Creed Valhalla (oui la comparaison est merdique) et sont au niveau d’un Red Dead Redemption 2. Bon, les gars de Rockstar font toujours très fort dans ce domaine (des acteurs) mais Cyberpunk 2077 n’est pas en reste. Pour le moment, à part la voix de V (le personnage principal) qui part des fois en couilles (le plus souvent c’est OK), tout roule. Les acteurs sont excellents et tout est intéressant. L’histoire est assez complexe (pour moi) mais il faut que je m’attarde aux nombreux textes (les caractères sont petits et calibrés pour des TV 4K, c’est évident. Comme les menus. Les quêtes effectuées pour le moment sont riches d’enseignement et on veut forcément en savoir plus, ce qui est un point crucial pour un jeu du genre.
Place aux captures. Résumé de mon premier avis plus bas, et deuxième avis ce dimanche (normalement, ou mardi 15 décembre, avant la pause sur Critikale.
Oui, ce n’est pas la capture idéale pour commencer. Le personnage sur la route flotte dans les airs, assis sur quelque chose d’invisible (une voiture, un banc, une caisse, que sais-je). L’autre à gauche n’est pas en reste, il flotte aussi même si cela est moins flagrant que pour le gugusse précédent. J’ai choisi l’histoire du Nomade (sur trois choix possible en début de partie).
L’infiltration est plutôt correcte. Le pirate des éléments alentour est efficace (pour distraire, pour assomer, pour tuer…). Les effets de lumière sont bons, rien à dire sur le technique pure (le réalisme).
La tronche de mon gars est space mais pas autant que ses vêtements… Un peu, destructurée comme tenue. Qu’importe, à Night City tu as la classe, ou pas. À gauche les armes en possessions (sur 3 emplacements). Pour le moment, je ne peux porter qu’une seule arme de poing. Les stats résumées en bas à gauche (et complètes en appuyant) ainsi que la tenue complète à droite. De la tête aux pieds donc. Les accès rapides aux grenades (excellentes) et au médics sont bien sûr présents. Vous pouvez aussi accéder au sac sur ce menu ainsi qu’à votre matos cybernétique. Les menus sont souvent liés ensemble pour ne pas revenir en arrière tout le temps.
Comme souvent hélas, la scène que vous voyez ci-dessus se répète sur plusieurs PNJ du jeu. Toujours un gars en train d’aider une fille à tenir debout. J’ai cru à une agression et je me suis précipité. Mais non, la fille m’a envoyé chier et le mec m’a dit bonjour tranquillement… Pas top mais c’est aussi ça les mondes ouverts actuels.
Le menu principal du personnage. Vous pouvez gérer vos fabrications, votre inventaire comprenant votre sac et votre matériel cyber, la carte du jeu bien sûr (excellente), le personnage lui-même (sa « carte), et le journal des événements. Subtilement en bas à droite, le codex (base de données). Plutôt efficace pour comprendre le jeu et ne rien perdre de l’histoire.
Pour le moment, je n’ai pas touché (et je ne peux pas) à la fabrication d’armes ou autres trucs marrants. Ni aux améliorations. Comme vous le voyez sur cette capture, les menus sont assez fins et très garnis d’infos ! Idéal sur PC je pense mais moindre sur console avec un vieux TV Full HD. Je suppose que le jeu doit être bien meilleur en 4K ou 2K
Toutes les modifications inférieures que vous effectuez sur votre personnage sont visibles (entendez par là les pompes et le futal). C’est bien foutu et d’ailleurs la marche du personnage est réaliste (le moteur physique est bon, j’y reviendrai quand même hein…). Admirez le crenalage horrible de l’ombre du bonhomme.
L’inventaire d’un magasin. L’interface est vraiment fine et comme dit plus haut, elle réclame une haute résolution…
La base de données est vraiment interéssante et obligatoire si on veut comprendre quelques détails importants du jeu.
ATTENTION POINT SUR LA VISÉE !
Comme toujours, j’ai viré l’aide à la visée, que j’abhorre profondément dans ce type de jeu. Dans tous d’ailleurs.
Point important de Cyberpunk 2077, ce menu ! Il faut absolument viré les rotations (mauvaise traduction française qui signifie la simple action des sticks analogiques, le turning). J’ai laissé une accélération sur le mouvement horizontal (0.20 sur cette capture). La sensibilité est réglée à 10 (maintenant 12 je crois je vérifierai). Le jeu est très jouable ainsi. Les zones mortes doivent aussi être à zéro (ou presque selon la sensibilité de votre manette). Je vous rappelle que la zone morte est le moment où le mouvement est effectué par le stick après que vous l’ayez demandé. En gros, si vous mettez le stick à droite, est-ce que vous voulez que ça parte directe ou qu’il y ait un moment de latence imperceptible mais chiant si vous êtes comme moi… Les mouvements bruts sont les meilleurs dans ce style de jeu. Surtout à la manette.
Dans tous les jeux, je fais le « coup du mirroir ». Voir si oui ou non son personnage apparait. Et bien non. C’est à cela qu’on voit les petits ajustements effectués par les programmeurs pour ne pas faire souffrir les consoles. Sur PC c’est pareil je pense…
Les personnages et dialogues sont bien plus plaisants que de nombreux jeux. Pas au niveau d’un Mass Efffect mais cela s’en rapproche. Ubi Soft et les autres devraient en prendre de la graine. Bon Rockstar est au dessus de tout dans ce domaine.
Je pensais que ce rude gaillard alors suivre étrangement cette demoiselle blonde à la tenue décontracte. Et ainsi pourquoi pas débloquer une quête où je la sauvais tel le héro des temps modernes. Que nenni, le temps qu’il soit en bas des escaliers, elle n’était déjà plus là. En plus, deux secondes après il est remonté. Je pensais le retrouver à sa position initiale (comme un bon vieux script) mais non, il est parti à l’opposé. Pas mal. Mais le coup de la descente et montée d’escalier était ridicule. Et moi aussi à le suivre.
C’est lors de cette fusillade (une quête annexe ou plutôt un contrat) que j’ai visité un forum américain pour comprendre comment régler cette putain de manette. Je n’étais pas loin de la vérité et maintenat tout roule ! La visée est plus que correcte mais bien sûr pas au niveau des tenors du genre comme The Division 2.
Capture facile. C’est lors d’un affrontement (un autre) que le jeu s’est figé. Ces micro-interruptions sont pénibles et mon retour au bureau Xbox m’a refroidi et m’a inquiété. Je sauvegarde maintenant régulièrement (vous pouvez le faire quand vous voulez ou presque).
Pirater une machie permet de distraire les ennemis. Ce n’est pas fou mais c’est sympa. Pour le moment l’intelligence des ennemis est moyenne. Sauf lorsqu’ils vous voient, là, il deviennent plutôt intelligents…
La carte fourmille de détails. En 2D ou en 3D elle est superbe. Je regrette simplement que le mode 3D ne soit pas plus manipulable. Les rotations sont assez rigides.
En deux secondes, le dialogue avec cette fille passe du positif au très négatif. Étrange, et ridicule.
Plutôt réaliste, les conducteurs n’ont que faire des passages piétons prioritaires (ici le passage est en vert). Vous ne vous poussez pas et hop, c’est sur le capot que vous vous retrouverez. Marrant.
Peu de captures pour monter la beauté du jeu. Car il ne l’est pas vraiment. C’est juste correct avec une mention spéciale la nuit, évidemment.
La sélection des missions avec leur niveau de dangerosité. Sympa.
La danse sensorielle est la trouvaille originale du jeu (pour le moment). Vous regardez une vidéo passée (et enregistrée en réel) et vous pouvez retrouverez des indices visuels, thermiques, ou auditifs. C’est plutôt bien foutu.
L’arbre de compétence est vélu, comme celui de AC Valhalla. Je ferai un topo là-dessus dimanche ou mardi prochain.
ALORS IL EST COMMENT CE CYBERPUNK 2077 ?
Et bien après réglages de la manette, et en étant objectif, il est bon, très bon même. Cela peut paraître un peu timide comme avis mais je donnerai un résumé plus conséquent dimanche ou mardi 15 décembre. Pour le moment, le jeu est jouable, il est suffisamment joli, les personnages sont intéressants, l’histoire aussi et le jeu a l’air de proposer un gros contenu (je l’espère). Je suppose que les versions PS4 et Xbox One sont assez mauvaises vu les tests (et je peux le comprendre en voyant qu’il tourne tout juste correctement sur One X). Je n’aurai pas de Series X (ou de PS5) alors je vais me contenter de cette version et apprécier le jeu à sa juste valeur, son univers et son histoire.
À dimanche pour une petite poignée de captures et surtout à mardi pour le final de Critikale de 2020. L’article du 29 décembre n’aura pas lieu.
2020
Cette semaine sur Critikale
Demain, je lancerai enfin Cyberpunk 2077 et verrai ce qu’il donne sur Xbox One X. Si je suis déçu de cette version (à cause de la fluidité, qu’importe si les graphismes sont juste corrects), je le prendrai peut-être sur PC.
Cette semaine, je continuerai Assassin’s Creed Valhalla et lancerai donc pour la première fois ce jeu si décrié actuellement, notre ami Cyberpunk 2077. Je pense mettre quelques captures en ligne dès vendredi 11 décembre et un premier avis la semaine prochaine : mardi 15. Pour le moment, voici quelques captures de Valhalla mais aussi de Monster Sanctuary et Unto The End. Tous deux dispos sur le Game Pass depuis peu.
Critikale, juste après de belles heures je l’espère sur Cyberpunk, tirera sa révérence dans son état actuel. Le site sera en pause jusqu’au 1er janvier 2021.
ASSASSIN’S CREED VALHALLA (Xbox One)
Plus de 52 heures de jeu maintenant, Valhalla reste bien sympa malgré les quêtes annexes franchement minables et les bruitages particuliers du personnage principal… Les quêtes bonus sont un peu chiantes car les personnes rencontrées ont le charisme d’un poulpe mort grillé. Idem pour les histoires risibles accompagnant ces quêtes. Tout n’est pas mauvais mais ça reste dommage pour l’ambiance du titre. Idem pour le héro, son charisme est proche du néant, avec quelques sursauts de temps à autre.
L’arrivée à Asgard a été franchement naze mais je suis bien content d’en avoir fini avec cette partie de l’aventure. La capture ci-dessous est tirée de ce lieu magique. Assassin’s Creed Valhalla sera poursuivi malgré la sortie de Cyberpunk 2077 mais je n’aime pas faire deux « gros jeux » en même temps. Advienne que pourra.
MONSTER SANCTUARY (Xbox One, Game Pass)
Vous êtes un gardien des monstres (ce mot est répété deux mille fois lors de vos premiers pas). Vous partez à l’aventure avec le choix de votre compagnon (lui-même accompagné de ses capacités élémentaires). Pour le moment le jeu est sympa, c’est du jeu de plateformes avec la rencontre d’ennemis à la Final Fantasy / Pokémon. Dès que vous percutez un ennemi (ou un groupe), une scène apparaît et vous devez lancer des sorts au tour par tour. Efficace, le pixel art est correct mais les animations sont pauvres (pas assez d’étapes de mouvement, c’est haché). À part ça, le jeu donne envie d’aller plus loin et c’est bien là le principal. Il n’a hélas pas assez d’originalité pour prétendre à tenir sur mon disque dur. Je le lancerai vite fait une nouvelle fois et déciderai alors.
UNTO THE END (Xbox One, Game Pass)
Celui-là pourrait rester par contre. J’attendais Unto The End depuis son annonce car il m’intriguait. En gros, vous êtes en présence d’un Limbo et autre Inside. Deux jeux particulièrement géniaux. Il commence bien ce Unto The End avec un cachet bien à lui et des mécaniques connues de ce genre de jeu. Vous quittez votre maison pour aller je ne sais où (je suppose pour chercher de l’aide ou des vivres ou je ne sais quoi j’avoue ne pas avoir été concentré). Le gameplay est efficace car plutôt précis. Vous pouvez perdre votre épée et ainsi devoir la ramasser (ce qui n’est pas courant même si c’est très logique). Idem pour votre dague à jeter, et la torche si vous en avez une en main. Le moindre mouvement violent vous fera perdre votre équipement. Les combats sont sympas et la moteur physique est efficace (ma passion dans un jeu je vous le rappelle). Un bon titre pour le moment, avec une difficulté comme j’aime, chiant mais valorisant. Unto The End, contrairement à Monster Sanctuary, pourrait refaire parler de lui d’ici peu, entre le Valhalla et Night City.
C’est tout pour ce soir. Rendez-vous vendredi pour un premier avis sur Cyberpunk 2077, dimanche peut-être pour un deuxième et surtout, mardi 15/12 pour un article plus velu. Un autre Article Noir sera aussi mis en ligne. Le dernier marquera la fin de Critikale pour 2020, et sera certainement écrit vers le 29 décembre.
Portez-vous bien.
2020
T’es pas encore mort connard ?
Pas de Assassin’s Creed Valhalla ce soir, je poursuis tranquillement mon aventure après 42 heures de jeu. 42 heures c’est beaucoup lorsque l’on connait mes horaires et mes difficultés à dormir depuis 4 ans. Cette nuit va être encore bien pénible.
Article noir ce soir, prévu, acté, depuis déjà deux semaines. Ce soir, ou plutôt cette nuit vu qu’il est 1 h 25 sur l’horloge de Windows 10, j’ai décidé d’expliquer pourquoi je ne suis pas mort, au lieu d’indiquer mes intentions de me suicider.
Petit 1 : l’art et la manière
J’ai réfléchi à plein de trucs. Je suppose que dans l’idéal et de réitérer le découpage en bonne et dûe forme de quelque veines. Mon psy de l’époque, souvenez-vous, m’avait dit que je m’y étais mal pris, dans le mauvais sens. Rien que pour ça, je devrai y aller avec la bonne méthode et écrire dans mon testament que j’ai réussi grâce aux conseils avisés du gentil monsieur qui posait des questions connes. Cette technique est la plus évidente. Elle m’ennuie quand même car ça va traîner, j’ignore le temps que ça met pour s’évanouir ou je ne sais quoi et ne plus se réveiller. Une autre technique écartée est la pendaison. Impossible. Déjà parce que je suis bien trop maniaque et je vais devoir penser au matos et à l’endroit, mais aussi parce que ça doit être chiant de penduler ainsi. Une autre technique consiste à se balancer par la fênêtre, habitant au 3e étage ça devrait être mortel. Là encore, c’est ennuyeux car avec mon bol de ces dernières années, je vais me louper et vivre, ou vivre handicapé. Le courage d’un handicapé est quelque chose que je n’aurai pas. 4e moyen plausible est le coup de médicaments à haute dose. Facile, mais faut-il trouver quoi… Je ne pense pas qu’un coup de Doliprane ou je ne sais quel truc suffirait. Enfin j’en sais rien je vais me renseigner. Il y a aussi l’accident de voiture. De nombreuses fois j’ai voulu m’écarter de la droite route et foncer je ne sais où (seul je vous rassure). Mais connement je penserai plutôt au prix des réparations si là encore je me loupais. Bref, j’en viens donc au petit 2.
Petit 2 : le courage d’y arriver
Du courage, actuellement, j’en ai pas. Pour deux raisons distinctes. Déjà je pense que l’acte serait facile car j’y pense souvent et il suffit d’une goutte si je puis dire, mais surtout je pense au lendemain. Lorsque je me suis tranché les veines pour la première fois, j’ai eu un regret, un truc tout con me disant que j’allais faire de la peine à ma mère et mon frère. Or, j’ai immédiatement, après quelques minutes à peine, envoyer un message à mon meilleur ami (que je ne vois plus) et il est venu jusqu’à Dijon pour constater que j’avais commis un acte complexe. Ridicule car si je ne l’avais pas prévenu, je serai peut-être pas en train d’écrire mais dans tous les cas, je m’étais trompé de sens pour le tranchouillage. Il faut quand même du courage mais si de nombreuses personnes pensent surtout à la lâcheté du geste. La lâcheté n’est-elle pas un ultime acte courageux… Mais en cette fin d’année 2020, le courage est bien meilleur, c’est déjà ça et c’est justement ce petit 2 mêlé judicieusement au petit 1 qui va laisser Critikale orphelin. Mais il y a aussi le petit 3, et oui.
Petit 3 : un lendemain sans ses proches
Admettons que je me tue ce soir, cette nuit car je suis lent à écrire ce mot, il est déjà 1 h 42 (oui j’ai commencé à 1 h 25). Que se passerait t-il demain ? Ma mère réagirait comment ? Je n’ai quasi plus d’amis alors ce n’est pas la question. Mon frère serait-il triste ? Forcément mais est-ce qu’il m’en voudrait ? Ce serait moche. Au boulot, comment réagiraient-ils ? Rien à secouer ou certains seraient faussement triste ? Ces questions sur le lendemain ou les quelques heures après un suicide font parti de mon quotidien, je me demande… Quel sera le monde sans le voir dans 20 ans ? Mixons alors les petits 1, 2 et 3 pour résumer la situation.
Alors je me tue quand ?
Si la chose pourrait surprendre, si la rigolade en voyant cet article serait de mise ou si cela glisserait en vous un sourire étonné, il n’arrive pas un seul jour où je n’y pense pas. Le courage est presque là, la méthode aussi mais c’est surtout le lendemain qui pose problème. Cela pourrait être positif. En gros, je suppose que j’ai le courage de le faire, que je sais comment y parvenir sans souffrir et sans lenteur, sans témoin et sans prévenir. Mais avec succès. Mais je me demande vraiment ce que deviendront mes proches. Si ma mère trouverait un appartement sans son fils pas loin d’elle. Si mon frère reviendrait enfin à Dijon pour prendre soin de ma mère, si on se souviendrait de moi dans 2 mois, 6 mois, 1 an. Si mon site serait fermé après l’année de cotisation auprès d’OVH. Comment je ferait pour mes (faibles) crédits en cours, pour mon appartement, si ça poserait problème à mes proches. Tant de questions qui restent en suspens. Dès que le courage arrive à 100 %, que la méthode est acquise pleinement et que j’ai finalisé mon au revoir auprès de ma famille et de certains, alors oui, je me tuerai.
Article noir mais évident. Car celui-ci, contrairement aux nombreux autres où j’étais bien con d’écrire sur mon suicide en cours, est un article construit, où je parle des difficultés d’une personne pour en arriver à cette extrémité. Et j’espère, si un jour il n’y a plus d’article sur Critikale, que vous ferez attention à vos proches et à vos connaissances, même lointaine. Personne ne sait et se doute de la souffrance de quelqu’un, cette souffrance silencieuse qui dure depuis tellement longtemps.
On peut se poser la question sur ma volonté d’attendre certains jeux, de parler d’un éventuel changement de TV, de réparations dans mon appartement, de toutes ces conversations que le tout commun peut avoir, et bien c’est un leurre, un simple vent.
Rendez-vous mardi 8 décembre, après mon deuxième dimanche travaillé et ma fatigué mortelle, pour un nouvel article, non pas noir, mais rouge du sang des Vikings du Valhalla.
2020
Assassin’s Creed Valhalla, après 35 h de jeu
L’aventure viking se poursuit et malgré les tares régulières du jeu (mauvaise IA, petits bugs, quêtes ridicules parfois, arbre de compétence inintéressant…), notre ami Valhalla continue d’avoir mes faveurs.
Petite poignée de captures ci-dessous avant l’article sur la Xbox One Series X et la PS5. La semaine prochaine, l’article prévu hier sera bien là… Le mardi 1er décembre donc, une belle date.
Les quêtes sont bien sûr indiquées par le jeu (ou on peut toujours mettre des marqueurs). Se balader dans cette Angleterre est franchement excellent. Le jeu ne rame pas, les paysages sont magnifiques et réalistes. Les petits détails sont nombreux et vous devez quelque fois aller bien profond pour découvrir des trésors. Des grottes sont présentes et les portes fermées vous obligent à découvrir sans cesse des moyens d’entrer dans divers endroits. Pas mal du tout.
Les quêtes sont aussi terriblement crétines. Ici, un certain Degolas est tellement sale qu’il empeste l’intérieur de sa maison en laissant un nuage toxique qui déplait fortement à sa femme et son fils (ou sa fille je ne sais plus on s’en cogne). Vous devez l’aider à se laver par des moyens radicaux. On ne peut pas dire que les quêtes soient « Fedex » (ramener bidule à machin en passant par chose) mais j’aurai aimé plus de sérieux. Là, c’est quasiment aucune. Je veux bien rigoler (ce que je fais en ce moment une fois par mois au moins…) mais des quêtes sérieuses en plus de la principale m’aurait pas déplu.
Le jeu est franchement superbe. Autant cela n’était pas flagrant dans les premières heures (en Norvège) mais l’Angleterre est divine et se promener à la recherche de trésors, de quêtes, de mystères ou de secrets en général est absolument grisant.
Les adversaires ont une intelligence toute relative. Sur la deuxième capture, un garde somnole gentiment dans sa tente alors que je viens de dévaster son campement et ses 20 collègues (inutile de dire que le bruit était présent, d’autant plus que le jeu ne brille pas par son excellence dans le domaine). J’ai coupé les musiques pour infos comme je le fais quasi tout le temps donc je ne me prononcerai pas sur ces dernières.
C’est tout pour aujourd’hui. Rendez-vous mardi 1er décembre pour l’Article Noir. pas d’article sur la Series X ou la PS5 d’ailleurs, pas envie.
2020
Tetris Effect Connected (Xbox One/PC)
Encore lui, alors que je n’arrive pas à boucler le mode Normal, je me suis lancé vite-fait dans une partie multijoueurs, chose rare.
Tetris Effect Connected poursuit ces petits lancements sur Xbox One mais aussi sur PC grâce au Game Pass déjà, et bien sûr à la sauvegarde du profil en ligne.
Je viens de finir une longue partie avec un américain et un anglais (je ne sais plus qui est qui). 38 % de contribution pour ma part ce qui signifie que j’ai validé 176 lignes sur les 486 que nous avons réussi en commun. Le mode Connected est simple à comprendre. On affronte un boss (un joueur contrôlé par l’IA) et on doit enchaîner les lignes pour les faire apparaître dans la zone de l’ennemi. Quelque fois, le joueur contrôlé par l’IA vous balance un pouvoir empêchant la chute rapide par exemple ou faisant apparaître des blocs aléatoires. Pourquoi Connected ? Parce que il arrive de temps en temps que le jeu des trois joueurs soit imbriqué pour ne faire qu’une grande zone où faire chuter les tetriminos. C’est alors que nous pouvons balancer en commun de nombreuses lignes pour faire perdre l’IA. Il faut s’entendre car on peut parfaitement mettre un tetriminos dans la zone des autres joueurs vu que tout est relié. Mode super sympa et bien foutu. Je n’ai pas compris combien de boss il fallait affronter car nous en étions au 3e (je crois) et nous avons perdu.
Comme dit précédemment, je lance Tetris Effect Connected de temps en temps car même si les vitesses 12 et 13 me gavent (je n’y arrive pas), ça reste un jeu top pour passer le temps. Je rejouerai au mode multijoueurs très bientôt histoire de gagner quelques points et des avatars. Pour le mode principal, je suis bloqué au niveau Normal (et au dernier niveau du monde) car la vitesse 13 me pose problème. Et au dernier niveau il faut faire 90 lignes (36 normalement). Chose bien pénible…
Rendez-vous mardi 24 novembre, vers minuit je suppose.
2020
Assassin’s Creed Valhalla, après 25 h en Angleterre
Presque 25 heures passées sur Valhalla et malgré les bugs et autres extravagances propre aux jeux Ubi Soft (et peut-être même aux jeux actuels), il faut bien avouer que ce nouvel Assassin’s Creed est bon…
Deux captures ce jour car comme indiqué mardi ou mercredi, Critikale changera bientôt sa manière de présenter les jeux. Plus autant de capture, + de texte, rarement des vidéos et moins de jeux en général…
Ce personnage indique avoir mal à la tête après une soirée arrosée, on le comprend. Inutile de dire que cela finira mal.
Cet horrible chat vous sera d’une bonne aide pour une quête (accompagné d’autres chats tout aussi laids). Aux dires d’Ubi Soft, la race représentée dans AC Valhalla est la Scottish Wildcat. Dommage pour eux, cette race est très belle et leur résultat à l’écran est juste horrible. Ce sont de très grands chats mais plutôt normaux en temps normal… Il faut voir cette horreur à l’écran et en mouvement en plus.
C’est tout pour les captures. L’Article Noir du mardi 24 novembre parlera beaucoup de l’avenir de Critikale et de quelques trucs.
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