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2020

Cyberpunk 2077, la vérité sur le jeu

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Je peux écrire un avis plus précis sur le dernier né de CD Projekt RED. Et il est positif.

Voici une nouvelle giboulée de captures tirées de la version Xbox One X. Pour la petite parenthèse, je m’habitue beaucoup au titre et il devient excellent. De nombreuses choses à découvrir et la ville de Night City (et ses environs) regorge d’activités. Petit tour d’horizon après 16 heures de jeu.

Point faible régulier des FPS (et de tout jeu vidéo en général) : le moteur physique. Il n’est pas mauvais mais trop sommaire pour être agréable. Les corps se disloquent bêtement comme des marionettes dès qu’ils ne sont plus “actifs” (que les types sont morts quoi). La localisation des dégâts est bien là mais il est regrettable qu’en 2020, même avec la faible puissance des consoles actuelles (je ne parle pas des meilleurs PC donc), on soit devant un tel moteur physique moyen. C’est là où GTA V fait exemple (et RDR2 plus récemment). Tous les autres jeux du genre sont minables à ce niveau. Et ne parlons pas du dernier Assassin’s Creed Valhalla… Les impacts se ressentent bien et les armes sont puissantes (et cela se voit), c’est donc d’autant plus chiant d’arriver à un moteur physique sommaire…

Légère erreur de mon article précédent, on peut bien se regarder dans un glace (en l’activant, malin…). Là où je n’avais pas tort, c’est dans l’absence quasi systématique des reflets sur les surfaces réfléchissantes. Là encore, un manque de puissance évident. Mais aura t-on le droit d’avoir des jeux à ce point réaliste un jour ? Vous verrez. Le boss de Rockstar annonce des jeux réalistes dans 10 ans, proche de la sortie de GTA VI ? Oui j’ai bien une tête de psychopate sur la dernière capture, calmez-vous.

Grâce à une astuce indiquée sur le Net (que je partage ici détendez-vous), la visée est dorénavant sympa, pas au top du top évidemment mais vraiment bonne pour ne pas rager contre plusieurs ennemis ou rater une cible (visée auto virée bien sûr). Les gunfights sont franchement bons et comme écrit plus haut, on ressent bien la puissance de n’importe quelle arme. Dommage que le moteur physique soit moyen.

C’est seulement après la rencontre avec Johnny Silverhand que le logo de Cyberpunk 2077 apparaît (pour ma part, après 10 heures de jeu, sachant que je suis plutôt lent) et que le jeu commence réellement… Notre ami Keanu Reeves et sa voix officielle française est impeccable comme souvent. L’acteur joue parfaitement son rôle et j’attends impatiemment de voir la suite.

La zone du Centre-Ville est bien plus aguichante que le quartier où se situe votre appartement. Plus propre, plus moderne, plus riche, cette zone de la gigantesque ville de Night City est superbe (je suis quand même curieux de voir le jeu sur PC).

Pour l’instant, je n’ai guère touché le menu FABRICATION. Je vais regarder ça de plus près à ma prochaine partie pour comprendre l’avantage de ce menu pour mon aventure.

Le menu INVENTAIRE est plutôt simple. À gauche, 3 armes à choisir en passant de l’un à l’autre avec l’éternel bouton Y (sur Xbox, X pour recharger bien sûr). En bas, le résumé des stats et l’accès au matériel cyber ainsi qu’à votre sac. À droite, la sélection de vos vêtements (tête, haut du corps, bas du corps, spécial (combinaison) et l’accès rapide aux grenades, medics et à la cyberconsole (vos implants). Menu riche mais facile à comprendre.

Dans le SAC, tous vos objets. Les babioles (habituelles dans ce genre de jeu) peuvent se vendre avec un seul bouton dans n’importe quel magasin (armes, équipements, charcudocs…). L’inventaire est tout aussi simple à comprendre mais comme je l’indiquais dans mon précédent article, cela se voit tout de suite que Cyberpunk 2077 a été programmé pour des écrans 2K ou 4K. Du moins des écrans bien plus solides que certains TV Full HD. La lisibilité reste bonne mais ça pique un peu.

Le MATÉRIEL CYBER et le menu où vous pouvez gérer vos implants (pour obtenir un double saut par exemple, voire mieux…). C’est bien foutu et intéressant de tout débloquer.

L’énorme CARTE de Cyberpunk 2077 fourmille de détails. On peut zoomer assez proche et afficher la carte en 3D (caméra peu pratique à cet instant…).

Lui aussi je l’ai montré récemment. L’arbre de compétence qui n’est autre que le menu PERSONNAGE comporte 6 aptitudes (constitution, réflexe, capacité bionique, intelligence, sang-froid et une autre que je n’ai pas débloqué). De ces 6 aptitudes, vous pouvez améliorer plus précisément certains avantages. C’est bien fait, joli et parfaitement compréhensible. Les avantages donnent toujours une petite nouveauté sympa qui augmente le gameplay assez “mou” au début. Au début…

Les STATISTIQUES du personnage sont limpides elles aussi. Idem pour le JOURNAL qui est facilement accessible.

Les ÉCLATS sont des pans d’histoire de Night City et une source importante pour la compréhension du titre de CD Projekt. Hélas, ma vue n’est plus ce qu’elle était et je ne peux pas être concentré pour tout lire (je me ferai de petites sessions lecture la semaine prochaine). Le bruit à basses fréquences de mon appartement ne joue pas non plus en ma faveur pour me concentrer alors qu’il n’y a plus le bruit de jeu… Bref, ce sont mes problèmes habituels.

Les MESSAGES sont issus du téléphone portable. Vous pouvez répondre à certains avec plusieurs choix. Je ne pense pas que vos choix sont importants dans le jeu, j’en doute. Tant pis.

La collection de cartes de TAROT est intéressante pour le superbe design des cartes. Pour info, le tarot se compose de 22 cartes (20 représentées sur la carte de Night City). Au tarot, il y a 22 arcanes majeurs et 56 arcanes mineurs (ce qui nous fait bien 78 cartes). Cyberpunk 2077 vous propose de trouver les arcanes majeurs.

Dernier menu déjà présenté, le codex (ou BASE DE DONNÉES). Je regrette que les thèmes ne restent pas fermés car c’est chiant de scroller jusqu’en bas pour rechercher quelque chose.

VERDICT CYBERPUNK 2077 (Xbox One X)

Évidemment, il est impossible de donner un avis définitif sur Cyberpunk 2077 tant le contenu est important et que le jeu se bonifie constamment. Je m’interroge quand même sur la note infâme de jeuxvideo.com (oui ce n’est pas le site idéal pour se faire un avis avant une sortie vu l’amateurisme de nombreux journalistes y sévissant).

Je me pose juste une question : comment peut-on mettre 11/20 a un tel jeu ? Avec les points négatifs ci-dessous et mes corrections en rouge…

  • Framerate régulièrement en souffrance
  • FAUX. Il est très rare que le jeu rame sur Xbox One X (et je suppose que cela est identique sur PS4 Pro). Certes les versions Xbox One et PS4 standard doivent être mauvaises. Mais NON, le framerate n’est que TRÈS RAREMENT en souffrance.
  • Clipping prononcé, textures baveuses, qui s’affichent parfois péniblement
  • FAUX. Aucun clipping pour ma part, c’est à se demander si la version testée par jeuxvideo.com était la version commerciale. Attention, même avant le patch ça ne ramait pas et il n’y avait pas de clipping. Le jeu plantait oui (freezes pénibles). Les textures sont parfaitement affichées, même si elles pourraient être plus fines sur de meilleures machines.
  • Une ville désertée de sa population et de sa circulation
  • FAUX, la ville n’est pas des plus active mais elle est belle et bien vivante (surtout la nuit et dans certains quartiers).
  • Synchronisation sonore souvent à la traîne
  • FAUX. La sychronisation labiale est certes médiocre (contrairement à l’excellente qu’est Skyrim par exemple actuellement sur le Game Pass) mais je n’ai pas vu de problème sonore. À part bien sûr les dialogues des PNJ qui tournent un peu en rond.
  • Quelques freezes
  • C’EST PAS FAUX. Clairement oui. Mais depuis la mise à jour récente. Mais un plantage pénible (retour en menu Xbox) sur ma dernière partie lors d’un dialogue.
  • Des moments de latence en combat
  • FAUX. Les combats sont dynamiques et le jeu, étrangement, ne rame pas pendant les gunfights, même intenses. On sent bien sûr la console souffrir lors des affrontements avec des gars trop penché dans le cybernétique…
  • Pas vraiment vraiment joli
  • FAUX. Le jeu n’est certes pas à la hauteur des ténors du genre mais il faut le comparer à quoi ? GTA V avec son monde ouvert ? Il était juste correct sur les anciennes générations de consoles et plus net sur les nouvelles. Les jeux d’Ubi ? Ils sont le plus souvent pourris du gameplay et avec des personnages cons comme des tables retournées.

11/20 par des demeurés… Ridicule. Ce jeu est excellent, rien que pour le boulet accompli bordel il ne mérite pas ça. Je ne suis pas objectif ? Bien sûr que si, et je le démontrerai pendant le mois de décembre avec un seul autre article à son sujet mardi prochain, le 22 décembre, article final de Critikale.

Pour le moment, ma note à son sujet serait de 15/20 ou 7/10. Salut, à bientôt si Dieu le veut.

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2020

Quelques infos diverses pour finir l’année 2020

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C’est demain, à l’heure où j’écris ces lignes, que le dernier jour sonnera la fin d’une année bien particulière et foncièrement pénible.

Une nouvelle année est toujours un moment simple pour faire le point, pour essayer de faire mieux. Certains pourraient se demander ce qu’un jour en plus dans une vie peut être considéré comme une année nouvelle, un nouvel essai, et non une continuité. Certains donc, se diraient que nous sommes bien cons à se dire que nouvelle année rime souvent avec changement et remise à zéro des compteurs. Ces gens-là sont des cons. Car une nouvelle année marque fondamentalement une nouvelle étape dans le calendrier, quelque chose de neuf, un nouveau départ qu’on aimerait plus fluide que l’an passé à galérer avec nos masques et nos médias.

L’année 2021 sur Critikale commencera mardi 5 janvier. Le site proposera une mise à jour par semaine, cette mise à jour reprendra des news en vrac. Critikale optera pour du contenu différent comme annoncé depuis longtemps. Pour le moment, et avant l’article d’ouverture, voici quelques infos sur les jeux du moment.

CYBERPUNK 2077

Après 34 heures passées à Night City, mon avis reste le même, voire meilleur. La fluidité est là (Xbox Series X), graphiquement ça tient bien la route, les missions sont intéressantes, le contenu est dense, les détails sont présents, les personnages attachants (à part la voix française du héro), en somme, c’est très bon. La conduite des voitures est bonne (celle des motos est chiante) et l’amélioration lente du personnage (équipements, armes, gadgets, mouvements…) est un plus pour savourer le jeu tranquillement. Cyberpunk 2077 est donc parfaitement réalisé et sans conteste une de mes belles suprises de l’année 2020, ouf.

WILMOT’S WAREHOUSE

Hélas, malgré l’excellence du jeu, notre ami Wilmot propose une fin de merde. Oui, tout connement. Le jeu est maintenant terminé et la fin est clairement étrange (on est viré et remplacé par des machines). Étrange ? Pas que, cette définition de notre société actuelle n’est pas la bienvenue pour ce jeu je trouve car j’aurai aimé un mode dévérouillé ou quelque chose qui propose une rejouabilité sympa. Même si les éléments à ranger dans le hangar ne sont jamais les mêmes (200 de base, et bien plus si on refait plusieurs parties), le jeu ne sera pas relancé, il est d’ailleurs supprimé. Bien dommage car le titre est franchement génial et j’aurai pu y jouer de temps en temps si seulement la fin d’était pas exécutée de cette manière.

ASSASSIN’S CREED VALHALLA

Toujours présent sur ma console, cet épisode d’Assassin’s Creed est mon préféré (pas de mal, je n’aime pas les autres et je n’ai peut-être pas joué suffisamment à Odyssey). Je dois être à presque 60 h de jeu et aucune lassitude pour ma part. Le jeu est ultra fluide, parfaitement jouable, très beau et très vaste. Bien sûr je regrette beaucoup les très mauvais dialogue (le plus souvent) mais c’est juste dommage. Je le finirai prochainement.

C’est tout… et oui.

Comme écrit plus tôt dans le mois de décembre, Critikale ne parlera plus de jeu en général (petit paragraphe dédié). Ceci s’expliquera aisément vous verrez…

À mardi 5 janvier 2021.

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2020

Critikale 2021

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C’est en rencontrant d’anciens amis, d’anciens collègues, qu’on se rend compte à quel point notre vie est resté figée pendant des dizaines d’années. Figée comme une merde froide.

Alors que je vais relancer la console histoire de penser à rien ou presque, laissez moi partager quelques mots avant une année 2021 qui s’annonce pour le moins chaotique. Je pense que mon site est devenu un ramassis de déchets et de stupidité infantile. Je pense cependant qu’il résume pleinement ma vie. J’ai passé mon temps à vouloir plaire aux autres, à rester dans le cadre, dans le droit chemin, en évitant les courbes et les problèmes frontaux. Hélas, cette technique que je maîtrise pleinement joue en ma défaveur car le monde change, le monde évolue et moi non. Depuis trop longtemps Critikale est le seul moment que j’apprécie.

Je pose mes mains sur mon joli clavier qui fait des clics et des clacs et je joue une mélodie de mots à défaut de maîtriser l’un de mes rêves, le piano. Encore un échec cuisant pour ma part. Je regarde le chemin des autres et je vois des enfants, une femme peut-être, des amis, des soirées, des habitudes, des sorties, des projets, des adultes qui ont réussi à passer le cap d’un blog à la con où ils ne leur viendraient pas à l’esprit de marteler au tout peuple leur vie de joyeux blaireau. Car c’est cela même que je suis. Un blaireau.

La première phase a été de supprimer Facebook. Puis Instagram. Longtemps déjà, Snapchat n’était plus. Twitter est en pause avant suppression et reste mon ami Pinterest, seul réseau social que j’apprécie, que ma curiosité apprécie… Encore à me servir des autres comme une vitrine d’un bonheur que je n’ai pas su créer. Bref. Critikale cru 2021 ne sera plus. Je vais continuer quelques jours à poster des infos sur Cyberpunk 2077 et peut-être la mise à jour 1.5 de Stardew Valley version PC. Peut-être aussi je continuerai Assassin’s Creed Valhalla. Dans tous les cas, les articles se feront très rares et un Grand Article sera mis en ligne début janvier.

Je remercie chaleureusement tous les visiteurs de Killmyself (premier site), Rijkaan (modif de Kilmyself) et Critikale (remplaçant de tout ce bordel). Les artiles se feront rares mais plus réfléchi. Tout moi va disparaître mais j’annoncerai ce départ plus tard.

Joyeuses fêtes, et bonne année.

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2020

Jeu vidéo : Entre coup de coeur et coup de gueule

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Non, Cyberpunk 2077 n’est pas mon coup de gueule, les moutons gavés d’Internet oui, et mon coup de coeur revient au surprenant Wilmot’s Warehouse (Game Pass).

Quelques captures de Cyberpunk 2077 après 21 heures de jeu et avant un vrai article sur cet excellent titre de CD Projekt RED (Xbox One X). Les versions PS4 et Xbox One standards peuvent très bien être mauvaises mais je ne juge pas les avis sur celles-ci, car tout devient général avec Internet, les réseaux sociaux et le bouche-à-cul déplorable de ces derniers jours. Ou l’oreille-à-cul comprenne qui pourra.

Ci-dessous, des captures parlantes de Cyberpunk pour expliquer deux/trois trucs importants. Mon prochain article démontrera pourquoi Cyberpunk 2077 est un excellent jeu (!).

On commence pourtant mal par le bug du soir. Malgré le fait que je pouvais bouger difficilement sur cet écran noir, je n’avais plus d’interaction avec les ennemis. J’étais comme aveugle et immobilisé par le codage chaotique de Cyberpunk 2077. Oui le jeu comporte des bugs mais NON ils ne sont pas nombreux et restent “normaux” pour un premier run dans le monde du jeu vidéo. Les patchs qui arriveront sauront corriger le tir je n’en doute pas un seul instant. 99% du titre de CD Projekt RED reste parfaitement jouable et je ne regrette pour le moment que de rares trucs comme le moteur physique moyen.

J’ai enfin récupéré la voiture de V (oui après 20 h de jeu). Joli bolide avec une sacrée pêche ! La conduite est bonne (les motos sont spaces mais jouables). On sent les suspensions, le poids des véhicules et l’aspérité de la route, c’est bien là le principal non ? Et réellement, je suis bien pénible dans la critique sur la conduite dans les jeux (surtout pour les titres comme celui-ci).

Le stand de tir où vous pouvez gagner une arme sympa est dirigé par Wilson. Un gars qui insulte pas mal ses clients de petites bites car ça l’énerve de voir des gars tirés comme des manches mais tirer quand même… Le concours opposant 4 autres gars est facile (avec la configuration montrée dans un autre article sur Cyberpunk).

Voilà, pour le moment. Je continue mon aventure qui devient de plus en plus intéressante (et compréhensible surtout !). Sur Xbox One X le jeu est propre graphiquement, jouable, fourni, que demander de plus ? Si les bugs sont corrigés et si, pourquoi pas, le jeu gagne en fluidité (c’est déjà bien) et en technique, il sera sans nul doute un titre à posséder d’urgence… L’article contre les connards qui critiquent sans connaître arrivera dimanche ou mardi prochain.

Passons au surprenant Wilmot’s Warehouse.

Si je m’attendais à ça… J’avais regardé une vidéo vite-fait vu que le jeu allait être gratuit avec le Game Pass et j’avais trouvé ça bizarre (pourtant je suis fan de ce type de jeu décalé). C’est à son gameplay qu’on décèle un grand jeu, et Wilmot’s Warehouse n’a aucun égal dans ce domaine.

Simple, un camion arrive pour déposer des colis dans votre entrepôt. Ces colis, tous carrés et identifiés avec un symbole, doivent être ranger dans votre entrepôt pour être livré à des clients.

Les clients demandent des colis particuliers et d’une quantité précise. Vous devez ranger correctement votre entrepôt afin de satisfaire rapidement les clients. Si vous ne savez pas où vous avez placer tel ou tel “carton”, vous allez perdre du temps et perdre des étoiles. Certains clients donnent 5 étoiles par exemple si vous les servez dans les temps. Vous pouvez bien sûr porter plusieurs colis en même temps afin de satisfaire un, deux, trois voire quatre clients en même temps.

Et justement, en étant organisé on peut facilement gagner des étoiles qui serviront à améliorer le personnage. Vous pouvez par exemple tourner les colis autour de vous pour vous déplacez dans certains endroits ou les ranger plus efficacement. Vous pouvez aussi activer un boost avec Y (Xbox One). Et pourquoi pas porter plus de colis qu’au début (8, 10, 12…).

Ici, grâce au bonus Rotation que j’ai acheté, je peux tourner les colis comme une pièce de Tetris (un tetriminos).

Ici, le coup de boost. Idéal pour speeder vers une zone où vous devez prendre un colis. Si vous transportez un ou plusieurs colis, impossible de speeder.

Une fois les cartons donnés aux clients, vous pouvez indiquer avoir terminé votre mission et ainsi gagner plus d’étoiles que prévu. Idéal pour acheter des améliorations.

De nombreux visuels de colis sont à collectionner et grandissent considérablement ce que vous pouvez stocker dans l’entrepôt (en augmentant forcément la difficulté !). Ci-dessous, tous les colis que je peux stocker dans mon entrepôt et surtout que le camion peut me livrer. Il faut une organisation drastique pour retrouver ces précieux…

Vous pouvez afficher les statistiques. Elles montrent le nombre de colis de chaque catégorie actuellement stocker dans l’entrepôt.

Wilmot’s Warehouse est ultra prenant. Dès que le camion arrive il faut stocker vos colis et se souvenir de là où ils sont ! Les clients, au nombre de quatre, demandent toujours différents colis et vous oblige à connaître parfaitement votre entrepôt. Le jeu est jouable à deux en coop. J’ignore comment ça se passe dans ce cas précis. Je vais essayer.

C’est tout pour aujourd’hui. Les temps sont dur niveau fatigue et autre alors je vous donne rendez-vous mardi 22 décembre pour la fermeture 2020 de Critikale. Avant peut-être avant l’article vérité sur l’excellent Cyberpunk 2077. Préparez-vous à un Article Noir particulier le même jour.

Salut.

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