2013
Dead Island Riptide : une aventure palpitante !
Je continue mon petit bonhomme de chemin à Dead Island Riptide. Peu de joutes avec les zombis depuis deux jours, ça me manquait. Je suis en vacances pendant une légère semaine alors ça va saigner.
Commençons par deux photos d’écran.
Je suis arrivé dans la ville d’Henderson. J’ai oublié de prendre une photo de la nouvelle gigantesque carte… Peu visible sur cette image, la qualité des feuilles composant les buissons de ce joli chemin est sidérante… J’exagère bien sûr mais c’est du très bon boulot, chaque feuille est détaillée et ça fait plaisir car le jeu est plus beau que le premier Dead Island car mieux fini. Les paysages sont plus diversifiés mais les copies de nombreux décors restent chiantes. En gros, une salle ou un lieu est dupliqué plusieurs fois dans le jeu (les appartements en particulier, de très nombreux lieux intérieurs). C’est franchement pénible de toujours voir les mêmes trucs. La même armoire placée au même endroit, les mêmes armes ou presque sur les mêmes tables et j’ai remarqué le pire, les mêmes dialogues pour certains personnages… Alors tout ceci ne joue pas en faveur de Dead Island Riptide mais sachez-le, le jeu est excellent. Les combats contre les zombis sont excellents, ils rappellent l’excellence de Condemned à ce niveau (surtout le 2e).
Comme vous pouvez le constater, le jeu est terminé à 46 %. J’ai joué un peu moins de 18 heures et parcouru 89 kms. J’ai accompli 70 quêtes (200 il me semble sur Dead Island) et j’ai tué 1577 zombis. Les combats étant plus fluides que dans Dead Island et donc plus jouable (ils l’étaient déjà parfaitement), les luttes avec les morts-vivants sont plus « faciles ». Pour le moment, à part les Hurleurs (des gonzesses zombifiées qui hurlent devant vous et vous immobilisent, le truc habituel), il n’y a pas de nouveaux ennemis. Les noms à droite que vous ne connaissez pas par rapport à Dead Island sont tous des copies de Bouchers ou d’Infectés.
Je m’amuse donc et je suis bien content d’avoir ce jeu car ce n’est pas la joie (à tous les niveaux…). Heureusement que je peux compter sur de rares personnes pour me remonter le moral. Mais je fais un peu plus semblant d’aller bien maintenant, j’y arrive ! Mes maux de dos sont retombés et je peux maintenant marcher convenablement plus de 20 minutes. C’est surtout mes pompes que j’ai pu reprendre, ça, c’est bien cool. Pas d’achats récents pour l’instant comme vous le voyez sur le bandeau à droite car je n’ai pas d’argent. Tout bêtement. Du moins pas pour ce genre d’écart. Je souhaitais me reprendre NHL 13 à 25 € mais je ne peux pas, même pas… Je vais profiter de mon anniversaire qui arrive pour m’acheter une centrale-vapeur et un micro-ondes. Même si la centrale est le plus important. M’y suis habitué moi.
En tout logique, Critikale devrait progresser un peu cette semaine étant en vacances. Je file, j’ai besoin de sommeil. Barrez-vous de mon site.
2013
Année de merde, réveillon de merde
Il faut croire que l’article du 29 décembre, le fameux Grand Article a fait beaucoup de dégâts. Qu’importe, il fallait que ça sorte et au moins, j’aurai la satisfaction de repartir pour 2014 en étant vide de mes maux.
Chose rigolote, le logo de Critikale a subit un lifting. Mais ça on s’en balance. C’est vrai qu’après mon 4e verre de rhum, je ne suis pas très net, déjà. Ce soir, comme vous le savez maintenant, je suis seul. Car je l’ai souhaité. Je l’ai souhaité en n’étant pas forcément un gars idéal. Je l’ai souhaité en étant pas forcément aimable à 100 %… Mais vu que l’année 2013 fut horrible au niveau du stress qu’elle a apporté, il faut bien que je sois seul ce soir pour éviter de refaire de continuelles erreurs. Je me suis donc acheté, en sortant du boulot, quelques aliments pour faire ma soirée. Or, bien sûr, le principal était périmé ! Merci Carrefour de ne pas vérifier les dates de péremption et surtout, de laisser des trucs vaseux en rayon… J’aurai dû regarder, j’en étais sûr comme on dit… Ce soir, je n’ai que du thon et du café pour me faire un petit repas. Je ne souhaitais pas rester sur une note de merde alors j’ai commandé une pizza chez Pizza Hut. Trop pathétique… Le manager m’a contacté me disant qu’ils fermaient à 21 h ce soir et que je ne pouvais pas avoir ma commande à 21 h pile comme souhaité. Je me suis excusé en disant que je n’avais pas la notion du 31 et ai bien sûr accepté que ma commande arrive plus tôt. Histoire de libérer les livreurs tant qu’à faire, logique. Il n’y a qu’un con pour commander une pizza le 31 décembre et surtout ne rien avoir dans le frigo à part du thon dans tous les placards… De toute façon, je n’ai pas de four… Ce qui n’a rien à voir mais ça mérite d’être souligné.
Ce soir, je suis donc seul avec ma pizza devant Avatar ou 300 (très gai). C’est totalement de ma faute et j’assume. Mon 5e verre de rhum va peut-être répondre à cette question, et me jeter par la fenêtre ou me poignarder avec un Laguiole ne serait-il pas mieux après tout ? Presque normal après cette année-là.
2013
Transfert de Critikale sur mon PC…
Après une sauvegarde du contenu de mon iMac, j’ai recomposé le contenu du site sur le PC. Tout ceci afin de vendre l’iMac et de clotûrer le dernier mois (janvier) où j’ai deux loyers…
Avant toute chose, saluons le retour de 3 petits élements : la zone Respect (non complète mais tout de même), le blog de Patchouli et chose épatante, le mois d’août 2013, non remis en ligne car non retrouvé depuis… Choses réparées.
Pour des raisons bien connues, j’ai déjà vendu mon MacBook Pro et je vais vendre dans peu de temps (du moins mettre l’annonce sur eBay et LeBonCoin) de mon très cher iMac. C’est rigolo, je ne me souvenais plus de la joie à utiliser mon PC avec Illustrator et Photoshop vu que celui-ci est ultra rapide ! En effet, même l’iMac équipé de 16 Go de RAM et un bel i5 n’était pas tout à fait au point pour certaines choses et le PC (toujours le Dell, i7 et 12 Go de RAM) est bien plus véloce pour un peu près tout. Bien sûr, il est toujours moins sympa d’utiliser l’interface Windows de peur qu’il y ait un plantage quelque part mais même si l’OS Mavericks de la plupart des Mac est superbe, c’est fou le bien que j’éprouve à retrouver mon bon vieux PC. Plus qu’à me dégoter un écran accédant à la résolution du 27″ chez Apple, soit 2560×1440 pixels. Ça ne va pas être simple. Pour le moment, je vais rester sur l’écran Viewsonic que j’apprécie grandement, malgré son pixel mort à la con…
Ah oui, et vous noterez que le nouveau logo est enfin là. Le header n’est pas définitif mais le logo oui.
2013
Le prochain BugBear sera une tuerie !
J’ai acheté l’alpha du prochain jeu de BugBear, sobrement titré Next Car Game pour le moment (d’où le nom alpha…). Que doit-on en penser ?
Pendant que mon chat me mange les molets et me griffe les pieds… (il est un peu collant, légèrement)… et aussi très glouton, le truc de fou… bref pendant ce temps là donc je suis en train de télécharger Trine 2 (acheté moins de 2 € et le sympathique Euro Truck Simulator 2 (7 €). Beaucoup d’achats sur Steam ces temps-ci mais c’est normal, les soldes de cette boutique en ligne sont toujours excellents. J’ai aussi acheté, pour un peu cher par contre pour une alpha, le jeu Next Car Game de BugBear, créateur de Flatout (des vrais). Pour le moment, après l’échec cuisant sur Kickstarter, BugBear a récolté presque $250.000 en ayant déboursé 1 million de leur poche. J’ai acheté l’alpha pour environ 20 € (conversion dans le bon sens oblige) et j’ai forcément installé le tout sur Steam…
Ce qui frappe dès le lancement du jeu est la ressemblance frappante avec Gas Guzzlers pour le menu. Après, c’est forcément autre chose…
Le menu principal est sobre (alpha je répète) et est d’ailleurs parfaitement au poil niveau ergonomie. Lorsqu’on clique sur une voiture (le jeu est jouable à la voiture mais les menus ne s’activent pas à 100 % à la manette), un joli menu fait d’icônes s’ouvre alors (voir photo, au dessus des miniatures des voitures). Ce menu est inaccessible pour l’instant.
Là où Destruction Derby (la perfection du jeu de Demo Derby avec Driven to Destruction) proposait 20 véhicules, les petits gars de BugBear balancent 24 voitures sur la piste ! 24 voitures identiques pour la plupart mais avec bien sûr une peinture originale et bien sentie.
Le jeu est magnifique, parfaitement jouable (à part la seconde voiture, chose étonnante car plus petite…). Les collisions sont bluffantes de réalisme et même si l’intérêt est pour le moment limité, BugBear tient là un vrai potentiel, capable enfin de dépasser le maître Destruction Derby et Driven to Destruction (le premier sur PSone et le second sur PS2, ça remonte !). Le titre en alpha est plus une démo technique qu’un jeu car il n’y a pas de but ou d’objectif clairement défini. Qu’importe, la beauté de Next Car Game, sa jouabilité au poil, et le moteur physique bluffant, donne réellement envie de supporter le jeu pour qu’il atteigne sa maturité. De l’excellent travail. Ce n’est pas tout ça mais j’ai du repassage à faire !
2013
Le Grand Article 2013
Nous sommes le 29 décembre et l’année 2013 s’achève bientôt. Seul pour la première fois le 31 décembre, l’année 2014 sera une année décidément pas comme les autres.
Le Grand Article brosse la totalité de l’année écoulée avec un point de vue différent, un point de vue final. Je vais donc faire de même.
Tout a commence, comme souvent, avec le Grand Article 2012 écrit le 1er janvier. Un long article qui fut compliqué à écrire car je ne me souvenais pas de grand chose et je devais lire tous mes billets passés. Chose drôle, j’y reviendrai, le 1er janvier je souhaitais aussi la nouvelle année et je remerciais ma moitié d’être encore avec moi… Je remerciais aussi Raph et mon père. Mon père, lui, ne mérite pas de mercis cette année car il a oublié de me souhaiter la Noël (sous entendu l’époque de Noël). Oh alors l’idée est toujours la même, est-ce à lui de me souhaiter Noël ou à moi ? Qu’importe, l’année 2014 se fera sans lui. Je suppose qu’il a décidé que sa fille était plus importante que ses grands fils. Pour Raph, qui avait mes premiers remerciements de l’année 2012, c’est encore autre chose car je n’ai strictement aucune nouvelle à part quelques tweets que je RT quelque fois. Bien que je comprenne que les emplois du temps sont ce qu’ils sont, j’ai quand même du mal en cette fin d’année, c’est bien une chose qui me rend très triste chaque jour. Idem, je remerciais Dimitri, Estelle et Mathieu, plus aucune nouvelle des trois (décidément, dois-je me dire que je suis un con ?). Dimitri devait me prévenir pour aller boire un coup ou manger un bout, j’attends encore. Estelle, zéro news depuis 6 mois et Mathieu, il veut mieux pas que je le croise. Tout va bien.
J’avais prévenu que le Grand Article 2013, écrit spécialement dans l’année 2013 et non début 2014, serait particulier… Continuons… Je finissais en m’attendant à une année étonnante, elle le fut, gravement. Le 2 janvier, j’avais noté des résolutions, pour la première fois d’ailleurs. En 1, j’avais inscris vouloir maigrir. Et bien bingo, c’est chose faite ! J’ai perdu 20 kg puis regagner, en cette période grasse sans footing et avec 18 tonnes de fromages par jour, 3 kg. Qu’importe, mon régime va reprendre dès demain. Je dois reperdre 5 kg et après, la première résolution sera de me muscler. La 2e résolution était de moins m’énerver, moins souvent. Et bien c’est chose faite aussi ! Je m’énerve quasiment jamais et il suffit de voir ma tronche pour calmer les ardeurs de certains. Un bon point, l’année 2014 sera tout aussi zen. La 3e résolution était de tenir mes promesses et mes projets. Mes promesses, je ne sais pas car il ne me semble pas en avoir fait. Mes projets par contre, c’est un ratage complet. Je devais passer des tests pour le Canada, raté je ne me suis même pas inscrit. Je devais trouver un autre job, raté, mes entretiens furent un échec. La 3e résolution n’est donc pas glorieuse. La 4e résolution était justement le changement de job, échec cuisant. Mon job me plait mais je suis bien trop intelligent pour être encore considéré comme une merde… Après ces résolutions, je mettais quelques captures de jeux en cours (GTA IV sur PC et Bioshock 2, acquis sur Steam). Le 3 janvier, c’est le demi-annonce de la Xbox One, des teasers avançaient sur la toile.
Le 11 janvier, j’apprenais que Game (aka Score Game) allait fermer ses portes. C’est chose faite en ce 29 décembre. Le 19 janvier, je chroniquais vite-fait le jeu Mayhem sur PS3, excellent et très mal noté sur les sites spécialisés, comme d’hab. Le 27 janvier, j’écrivais un article assez triste sur Critikale que je pensais une nouvelle fois fermé et surtout je me posais mes éternelles questions existentielles… et deux jours après, ce fut le drame.
Le 29 janvier 2013, après presque 9 ans de bonheur, ma copine décidait de me quitter. De faire un break qui sera bien long… C’est deux semaines après que j’apprenais qu’elle ne souhaitait pas revenir. Après une lettre très positive que je garder et lu 1.000 fois*, ce fut un drame terrible dans ma vie et certainement la nouvelle qui m’a abattu pour des années. C’est après un repas glacial que je lui ai demandé si ça allait et là, ce fut la séparation. Maintenant, je suis seul avec mon chat vu qu’elle a prit mes chattes. Je vais me remettre à fond dans mon régime pour penser à autre chose et attaquer cette année 2014 seul et forcément bien accompagné… Tu me répètes sans cesse que tu me remercies de ne pas t’en vouloir. Bien sûr que je ne te veux pas, c’est un choix, un choix difficile que tu avais déjà depuis des lustres et tu as sauté simplement sur l’occasion. Maintenant, et comme chaque jour, tu dois bien rigoler avec tes amis et te dire qu’enfin, tu n’as plus le boulet à tes cotés. 2014 marquera l’arrêt de nos textos mais hélas pas l’arrêt de mon amour pour toi, et c’est bien le problème, impossible de démarrer une nouvelle relation avec cet amour si fort. Tu était tout pour moi, tu ne le savais pas peut-être et surtout je ne te le montrai pas, presque jamais depuis 1 an environ. Trop stressé par mon travail, trop ailleurs souvent, des erreurs, j’en ai fait des tonnes. J’aurai dû être plus présent, plus souriant, plus adulte peut-être. Aujourd’hui, tu as 30 ans et comme tu me l’avais dit dans une lettre, ça te faisait peur et maintenant tu peux être content, tu attaques une nouvelle vie avec un nombre rond comme celui-là. C’est joli 30 ans, sers t-en ! Moi je vais aller courir après ce billet car ça fait très longtemps et qu’il faut absolument que je maigrisse encore. Pendant 8 ans, saches le, tu as été tout pour moi, même si je ne te le faisais pas comprendre, je ne vivais que pour toi, que pour nous et nos amis communs. Le 1er janvier 2014, tu n’auras plus de nouvelle de moi car il faut que ma tristesse retombe et que mon amour se brise enfin. Hélas, j’en doute fort, il est gigantesque. Je ne vais pas m’étendre sur l’article de février, il résume bien tout et est de nouveau accessible à tous.
Au mois d’avril, je voyais énormément mes amis, mes proches pour me soutenir dans cette épreuve à la con. Il y a eu du Zombicide, c’est excellent jeu qui ne sors plus de sa boite, il y a eu Dead Island Ripitide, c’est autre jeu que j’ai terminé (chose rare) et qui fut excellent. Le 12 avril, je présentais une nouvelle direction au site, abandonnée depuis. Le 14 pourtant, j’améliorais cette idée mais sans avenir. Le 28 avril, je finissais le mois sur Dead Island Riptide encore et c’est bien quelque chose qui m’a fait tenir, aussi bizarre que cela puisse paraître. Le 2 mai, je pestais contre de nombreuses choses, à lire, c’est rigolo. Le 21 mai, je décidais que la Xbox One n’était pas une console pour moi, du moins sa présentation était bien à chier, faut le dire. Le 25 mai et autour, ce fut des moments de bonheur car je rejouais à Destruction Derby avec mon Raph (Anthologik sur ce site), fabuleux ! Un bon vieux link sur PlayStation. Le 26 mai, je finissais Dead Island Riptide, cette série figure parmi mes préférées du petit monde du jeu vidéo. Le mois de juin était mon anniversaire, le 14. Un anniversaire forcément triste après ce 29 janvier (ça remonte putain !). Je remerciais mon ex pour son cadeau d’anniversaire. Je lui ai donc rendu la pareille, en lui adressant depuis Amazon un présent pour son anniversaire ce jour. En ce mois de juin, j’essayais plusieurs jeux (Battelfield 3 Premium sur Xbox 3260 offert par Fav, The Last of Us et Journey sur PS3). J’étais bien content en ce mois de juin, les vacances approchaient. Pas grand chose à dire sur juillet à part d’autres essais de jeux. Je commençais tout juste mon régime et ce fut un réel bonheur ! Après le mois de juillet, ce fut le silence radio bien que Critikale était en ligne quelque fois, rarement quand même…
Rien à dire sur les mois suivants car ce fut la panique. Début août, je décidais de déposer mon préavis pour ne plus avoir le souvenir de cet appartement où j’avais été heureux un moment. J’ai donc déposé mon préavis, trouvé un appart à l’arrache, détesté cet appart, repris un autre tout en payant le précédent (!) et maintenant, avec 1.200 € de loyer par mois (toute cette merde finis le 16 janvier 2014), j’ai un appartement à moi, un chat que j’ai adopté à la SPA de Messigny (110 € tout de même…).
Ce Grand Article est terminé et clos une page bien malheureux en 2013. Je vais aller courir et penser à tout, à ceux qui m’ont abandonné, à ceux qui m’ont aimé, à ceux qui me manquent, à toutes les personnes disparues en 2013. Le 31 décembre, je souhaite être seul pour faire un point, pour réfléchir à l’avenir que je vais donner à ma vie, si je lui en donne un. Je vous donne rendez-vous dans quelques jours pour la nouvelle année et surtout pour les habituels articles dont vous aviez l’habitude sur Critikale. Portez vous bien.
2013
Toutes les archives sont disponibles !
Après toute une journée de repos passé sur Critikale, la totalité des archives de 2005 à 2013 est de nouveau accessible. Il est déjà minuit passé de nombreuses minutes et je suis crevé…
Je me lève tout à l’heure vers 6 h alors je vais vous laisser ici et vous donne rendez-vous ce dimanche 29 décembre pour le Grand Article 2013 qui finalisera cette année merdique et commencera une nouvelle année avec les éternelles résolutions. Bonnes ou mauvaises d’ailleurs. Quelques pages d’autres années peuvent encore éprouver quelques difficultés à s’afficher (des photos manquantes peut-être). Mais me voilà, je suis de retour…
2013
Un peu de jeu avant le Grand Article
Une si longue attente de mises à jour et il y a forcément des choses à dire niveau jeu ! Voici quelques achats sur Steam ces derniers jours. Pour la plupart des petits-prix.
Pendant que ma connexion à deux balles dans ce nouvel appart télécharge l’early access de Next Car Game, commençons par l’étonnant mais moyen Shufflepuck Cantina Deluxe. Shufflepuck Café (1988) était sans nul doute possible un des jeux Atari ST qui tournait le plus régulièrement dans cette brique grise. Ce nouvel épisode qui n’est pas la suite du « café » est plutôt sympa mais sans plus. Je n’ai toujours pas trouvé comment modifier la résolution même si je doute que cela soit possible.
Pour le moment, peu de temps de jeu (environ 1 heure). Le fonctionne fonctionne simplement. Vous atterissez sur une planète inconnue et vous devez vous repartir… mais avant cela, acheter des pièces pour votre vaisseau. C’est ainsi que vous rentrez dans le premier et seul, bar venu et là commence la compétition. Les musiques de Shufflepuck Cantina Deluxe (pourquoi Deluxe ?) sont réellement bonnes et certaines ressemblent à s’y méprendre au vieux Shufflepuck Café. Peut-être que ce sont les mêmes d’ailleurs mais n’y a t-il pas des droits ? Où ont-ils été accordé pour cet épisode particulier ? Je ne me suis pas renseigner. Dans la capture ci-dessus, on peut voir différentes choses. J’ai 4 jetons que je peux dépenser dans les machines à sous (une par étage du bar). J’ai 13.100 points d’expérience. J’ai aussi 1.047 credz, la monnaie du jeu. Le niveau 7 (actuellement) est facile à atteindre mais je me lasse déjà du jeu. Je ne le trouve pas ultra jouable comme son illustre ancêtre. Où j’ai simplement perdu mon ancien niveau.
Les matchs sont très limpides. Chaque adversaire à un coup spécial et quelque fois un point faible. Ici, je suis contre Ayato, un adversaire moins moyen que le laisse paraître le score (4-0 pour moi). Le jeu reste très plaisant à jouer mais est vraiment lassant comme indiqué plus haut. Et j’avoue que cette légère inertie pour le déplacement du palet est vraiment chiante. J’y reviendra de temps en temps et reposterai des captures.
Continons par un titre étonnant, je n’ai téléchargé que la démo, j’attendrai un peu pour me décider pour le jeu complet. Gas Guzzlers Extreme et un jeu de bagnoles débarqué sur Steam au mois d’octobre 2013. J’ai téléchargé la démo pour simplement jouer à un jeu de caisses.
Les menus sont propres, rapides et agréables. Tout est facile d’accès et donne envie d’avancer.
Très jouable et vraiment beau (la capture ne rend pas justice au jeu), Gas Guzzlers ne sera cependant point acquis. La raison est ultra simple : le jeu doit être horriblement lassant en solo et je ne joue pas en réseau sur PC. Mine de rien, une réelle bonne surprise qui sera lancée quelque fois depuis ma bibliothèque Steam comportant maintenant quelques 60 jeux.
3e jeu de ce billet, Speedball 2 HD. Un jeu que j’attendais avec une très grande impatience lorsque j’ai su qu’il arrivait sur PC. J’avais bien aimé la version iPhone du temps où j’en possédais un et je me disais, stupidement, que cette version allait être boostée à la sauce PC. Rien de tout ça.
Autrefois, il n’était pas étonnant de perdre un match à Speedball (versions Megadrive, Atari et autres vieux trucs) car les matchs étaient très serrés et on devait batailler ferme pour remporter une rencontre et ainsi, atteindre la division 1. Comme vous le voyez ci-dessus, sur le papier les Super Nashwan étaient bien plus forts (mais aussi très offensifs), hélas pour eux, j’ai gagné par 278 à rien. Le jeu est vraiment très facile et il suffit d’avoir quelques stars dans l’équipe ou de piétiner le gardien pour marquer. Sur les autres supports, plus anciens, la défense était plutôt difficile à passer avant le portier.
L’argument était facile (plus de 300 joueurs uniques dans cette version HD). Ce sont bien sûr des personnages quasiment identiques qui sont proposés avec bien sûr des stats différentes. J’aurai aimé une vraie création d’équipe et une gestion bien plus poussée de l’effectif. Là, franchement, je suis ultra déçu même si cette version n’est pas mauvaise en soi. Comme Shufflepuck Cantina, le jeu est très lassant.
Finissons par mon coup de cœur ! Ceux qui me connaissent savent que je suis particulièrement friand des jeux où il faut taper le plus vite possible sur son clavier (je joue quelque fois à Type Racer et mon jeu PopCap préféré, celui où j’attends toujours la suite et la version française est l’incroyable mais vrai Typer Shark). Ce dernier est d’ailleurs introuvable en passant directement par le site officiel de PopCap. Je l’avais acheté il y a bien longtemps. Bref, l’étonnant The Typing of The dead fut directement dans ma collection Steam dès qu’il fut dispo. Et en plus, j’ai loupé de peu la promo à 8.99 €. Je l’ai donc acheté 13.99 €…
Un nouveau niveau terminé avec 91 % de précision (pas mal mais sans plus) et 1705 lettres saisies. Quelques mots restent difficiles en anglais car je réfléchis un peu trop quelque fois avant d’écrire…
Les dialogues de Typing of the Dead sont fidèles à ceux de House of the Dead. Touchants…
Ce bosse particulièrement laid me rappelle étrangement quelqu’un. Etant plus jeune, j’avais d’ailleurs la même coup, les seins en moins.
Hop, plus de tête. Les graphismes ne sont pas glorieux mais restent agréables et le jeu propose un bon moteur physique.
Pour le moment, aucun civil tué. Les premiers niveaux sont assez faciles.
Plus le cadre est rouge, plus il faut s’occuper de ce zombi particulièrement. On peut annuler une frappe en tapant la touche « retour arrière ». Idéal pour annuler un mot pour frapper une lettre afin d’éviter un couteau par exemple.
Pas besoin de mettre des majuscules mais les tirets et espaces oui.
Un jeu que j’adore ! Je vais en refaire une petite partie dès demain car enfin, je ne travaille pas. À très bientôt pour le Grand Article qui sera mis en ligne dans la journée de dimanche…
2013
Les archives de 2005 disponibles !
C’est lorsque les archives refont leur apparition que Critikale revient petit à petit. En cette fin d’année 2013 et en attendant le Grand Article 2013 le 29 décembre, les archives de l’année 2005 sont enfin en ligne.
Dans peu de temps, Critikale va revenir sur la toile pour votre plus grand plaisir. C’est une année bien triste qui s’achève dans quelques jours et le Grand Article qui sera publié dans peu de temps témoignera de cette tristesse accumulée pendant tous ces mois maudits. Malgré que j’ai un appartement pas mal bien à moi, que j’ai un chat plutôt câlin qui me suit partout, que j’ai un boulot, la vie n’est pas rose. Elle n’est pas aussi triste que de nombreuses personnes en ce monde mais je pense que 2014 sera réellement une année qui devra marquer un changement radical. Le 29 décembre, le Grand Article sera donc publié et j’espère qu’il vous plaira. Ce dimanche donc, sera aussi un compte à rebours plutôt malheureux car je sera seul, pour la première année, ce 31 décembre. Qu’importe, je vais me faire une petite bouffe en solo avec mon chat (Oxo) et me reposer car je suis lessivé après toutes ces heures de boulot. Dès janvier 2014, je vais reprendre un régime drastique et je vais commence en achetant demain, jour de repos, quelques denrées diététiques. Pourquoi reprendre un régime après 17 kilos perdus (20 – 3 gagnés ce mois-ci…) ? Simple, je souhaite être parfaitement en dessous des 80 kg et gagner en force, j’y reviendrai plus tard.
En toute logique, demain, sera la mise en ligne des années 2006 à 2008, samedi soir 2009 à 2011 et le Grand Article sera écrit ou plutôt « déployé » en même temps que les années 2012 et 2013. Programme logique mais difficile vu la masse de travail que j’ai en ce moment et presque toujours.
Sur ce, je vous donne rendez-vous demain pour la news habituelle des archives en ligne.
2013
Le rouge et le noir, le sang et l’inconnu
Une belle page avec la mention « novembre 2013 » pendait comme il se doit au bout des lignes Internet. C’est pourtant bien avant que Critikale pointe le bout de sa caboche. Pour le plaisir de tous, mais surtout du mien.
Mon père sera ravi, la taille de la police est augmentée. Ah si tout pouvais augmenter ainsi. Que se passe t-il dans ma tête depuis ce démentiel 27 juillet où je n’ai plus donner signe de vie ? Ni à mes proches, ni à mes faux proches, ni à mes visiteurs sans cesse plus nombreux depuis janvier mais qui, visiblement, ont eu ras-le-caisson de mes fermetures intempestives. Qu’importe !
Et bien il ne s’est rien passé. En fait, pour dire vrai, je me suis fait gravement chier mais sévèrement. Cependant, vu qu’il est de coutume que je parle de moi et de ma vie rigolote sur Critikale, j’ai décidé de remettre le couvert. Tout d’abord, je déménage bientôt, exit donc cet appartement et ses tristes souvenirs qui lui colle à la peau, et aux murs qui tombent. Pour le moment, rien à l’horizon et je serai donc dehors, sur le trottoir fin octobre. Si vous avez une chambre, faites-moi signe ! Ma recherche est difficile car je recherche l’impossible, un havre de paix. Je fais mon petit bonhomme de chemin, je travaille dur, gagne de l’argent et peux me permettre des achats sympas (comme une pizza par mois…). Mon régime drastique tient le coup (enfin surtout moi) et me voilà avec 12 kilos perdus. Exit les 97 kg, place aux 85 kg (petite note de moi à vous, notez que kg ne porte jamais de « s », c’est un mot invariable). Je vise entre 78 et 80 kg max. Je devrais y arriver avec mon 2e régime (le pire) qui commence en septembre. Mois de septembre compliqué avec mes recherches d’appartements qui vont s’intensifier et l’arrivée de GTA V et de NHL 14 qui vont occuper mes soirées (enfin !, j’aurai un truc à faire à part mon footing, faire chier mes chattes, et lire des bouquins d’auteurs idiots).
2013
Le régime de la mort continue
Je suis au 10e jour de régime strict. Entendez par là que je ne m’accorde aucun plaisir. Le plaisir de la chair, je me suis assis dessus il y a bien longtemps et celui du bide depuis peu.
Que de bonnes choses achetées chez Grand Frais. Mes courses de la semaine d’ailleurs. De belles tomates, une bel ananas à condition de ne pas faire l’erreur habituelle (attendre pour le consommer) et le perdre rapidement, de jolis raisins, des cerises, un melon, des pommes bien sûr, des bananes comment peut-il en être autrement et des nectarines espagnoles. Banane le matin avant mon footing ou juste après, ça dépend. J’avoue que la première semaine les kilos superflus se sont envolés mais il reste de bien vilaines choses à se débarasser.
2013
Ma conscience est-elle pleinement satisfaite ?
Ce soir sur M6 passe un excellent film, Nos Jours Heureux. Le coktail cinématographique idéal : bons acteurs, scénario limpide, belle fin. Mais c’est quoi le bonheur en fn de compte ?
Si certains peuvent juger un tel film un peu niais, mauvais ou franco-français (quoi que l’acteur canadien est parfait), qu’importe, le film donne le sourire et c’est bien là le principal. Surtout qu’il rappelle de beaux souvenirs. Mais la question du bonheur a déjà été maintes fois posées (je pense même en philo). Car après tout, c’est quoi le bonheur ? Comme à mon habitude j’ai donc rechercher sur mon dictionnaire tout neuf estampillé 2014 à quoi diable pouvait correspondre le bonheur. C’est plutôt comique car la définition inscrite sur cette belle page 276 est impressionnante, niveau taille j’attends. En gros, difficile d’expliquer un tel mot avec plusieurs sens, tout dépend du contexte. Le définition la plus logique est celle que vous voyez en titre de ce billet, à savoir État de la conscience pleinement satisfaite, le bien-être, l’enchantement, l’euphorie, l’extase, le ravissement, la satisfaction quoi. Si on regarde de plus près la définition de l’euphorie (page 956 du fameux dictionnaire), on peut lire Impression intense de bien-être général ou encore Sentiment de parfait bien-être et de joie. C’est donc ça, le bonheur est un sentiment où l’on a l’impression d’un bien-être… Il est donc impossible d’être heureux tout le temps. Mais être heureux c’est quoi ? Et bien page 1234 du même dictionnaire (sans blague), après la définition énorme du mot heure, nous arrivons à un nombre incalculable de phrase en italique, ce qui signifie en autre terme qu’il faut donne plein d’exemple pour que le lecteur se fasse sa propre opinion de l’être heureux. Une personne qui éprouve du plaisir, de la satisfaction. Et si on regarde toutes ces définitions de plus près et si vous n’avez pas lâcher mon article… toutes proposent la satisfaction, très simplement, en définition. Et là, vous m’avez compris, c’est quoi la satisfaction ? Et bien la satisfaction (page 2312), qui arrive juste après le mot satirisme (marrant…) est un contentement de sa conduite, un plaisir, une occasion de plaisir, et à nouveau un sentiment de bien-être.
Mon Dieu ! Nous avons là de la satisfaction, du bien-être et nous tournons en rond devant toutes ces définitions des mêmes mots ! Par hasard, nous prendrait-on pas un peu pour des cons ? Le bonheur est-il l’euphorie d’un instant, est-ce un bien-être devant une satisfaction… Je pense surtout que le bonheur tel qu’il est décrit n’existe pas, ou le mot est une espèce de sac où l’on fourre tous les mots positifs de notre langue française. Si vous lisez un article avec tous ces mots synonymes de bonheur, vous n’atteindrez peut-être pas l’extase mais un léger bonheur, un bonheur passant, un petit bonheur que la vie apporte souvent mais c’est à nous, et à nous seuls, de créer ce ravissement constant.
Je me suis poser cette question mille fois. Et on peut se poser mille fois la question, mille réponse… non, on peut se poser cette question mille fois… non… Vous avez cliquer et avez cru que j’allais lier vers la Cité de la Peur ? Et bien non, en fait, je n’ai pas trouvé de bonne vidéo. La citation officielle de Alain Berberian est bien mieux de toute façon. Mince, où en étais-je ? Ah oui, cette question du bonheur ne sera jamais résolue ou il faudrait en débattre de longs moments, ce qui serait intéressant. Mais on préfère débattre d’autres sujets bien plus politique et surtout, complètement idiots. Certes importants pour l’avenir, mais les bonnes personnes ne sont pas dans le gouvernement. Non. Elles n’existent tout simplement pas.
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