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2016

2 jeux Steam pour tester l’installation

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Mes projets de rendre Critikale réellement critique… sont en cours. Et l’installation du soir (qui n’est pas finit) qui consiste simplement à virer mon ordinateur de ma chambre est une première étape.

Voici deux jeux Steam auquel je joue quelque fois. À l’instar des jeux Google Play, je mettrai ici même des sélections de titres « coup de coeur ». Plus tard dans l’année, si j’y résiste… comprenne qui pourra. Je profiterai du nom du site pour amorcer des critiques gastronomiques (phrases pompeuses, et niaises, pour dire des articles sur la consommation et les magasins en général).

Premier titre un peu warrior, Spintires, où vous devez conduire des camions pour réussir des missions plus périlleuses les unes que les autres. Vu mon installation actuelle (qui va s’améliorer pour cacher mon PC), je vous recommande le « simple » duo Microsoft : le Wireless 900. Un ensemble clavier-souris excellent. Le clavier est parfait (ultra silencieux et agréable au toucher) et la souris est sympa (pas de boutons sur la tranche attention et une réactivité pas toujours évidente). Il me fallait un duo clavier-souris pas cher. Qu’importe pour la souris car je joue avec une manette Xbox One. Très rare maintenant que j’utilise la souris pour les FPS ou autres…

Bref, voici quelques captures Steam de Spintires.

Le tutoriel vous présente d’une manière relativement simple les commandes des camions (en général). Vous pouvez activer toutes les roues, bloquer le frein à main, et utiliser l’accessoire s’il y a. Vous pouvez couper le moteur pour changer de véhicule.

Le cercle devant mon 4×4 vous montrer qu’il y a un véhicule à proximité. Entrez dans le cercle et dévérouillez le véhicule. Ces derniers sont dissimulés sur la carte. Certains véhicules (tous ?) sont très importants pour vos missions.

Le jeu est plutôt beau et le moteur physique très solide (rarement vu aussi réaliste pour un jeu de voiture). Et vous le savez, les moteurs physique et moi, ça fait un, je suis réellement fan et passionné par la physique des objets…

La carte n’est pas jolie mais montre l’essentiel. Mon curseur rouge indique que je suis proche d’un véhicule. Ma mission consite à charger des troncs à les apporter à des points précis. Il faut donc que je change de monture.

Maintenant, passons à One Finger Death Punch. Sous ce nom que j’adore (et complètement con) se cache un jeu qu’il est tout autant.

J’avais déjà parlé de One Finger Death Punch sur Critikale mais je fais une piqûre de rappel. Très simple, il suffit d’appuyer sur X ou B (clic gauche ou clic droit) pour envoyer une droite sur les ennemis se pointant de votre zone de combat (en bleu et rouge sur la capture). Un jeu pas si simple qu’il n’y paraît mais très défoulant. Sur ce, je vous donne rendez-vous plus tard car mon vide-grenier de demain est annulé et j’en suis bien triste.

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2016

2017, tout en préparation

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Vous n’avez pas rêvé, point de « joyeux Noël » cette année sur Critikale. Celui de l’an dernier était tellement obscur qu’il fallait mieux rien écrire pour cette triste année 2016. Le grand article 2016 va être légendaire… Celui de 2015 sera vite oublié.

Alors, pourquoi diable n’avez-vous pas eu de « joyeux Noël » comme chaque année depuis 2005 ? (me semble t-il)

J’ai décidé, cette année, de fêter Noël chez moi, avec mon frère, la femme de celui-ci, son fils, et ma petite mère, bien triste ces temps-ci. Ce Noël fut pathétique pour plusieurs raisons que je n’étalerais même pas sur Critikale ayant pourtant une proportion manifeste à me répandre en mots et en maux sur mon site préféré (orgueil inside). Pas de « joyeux Noël » donc et je l’espère sincèrement, un magnifique Joyeux Noël en 2017. Ultime année où je vais resister à pas me foutre par le fenêtre de mon joli appartement. Ou me couper les veines, au choix, je ne veux pas souffrir lentement… Que faire.

Bref, vous aurez donc malgré tout l’article régulier de fin d’année (et la joyeuse année en même temps). Le 1er janvier 2017. Ce dimanche, vous l’avez bien compris.

Chose très rare je suis en arrêt de travail, ma santé vacillante a finit par avoir une raison de mon pseudo courage. Reprise ce samedi. Je ne culpabilise pas trop (rare) de ne pas être au boulot mais de toute façon, c’était impossible.

Je lance tout de même l’excellent Stardew Valley histoire de faire des parties courtes même si je reste scotché à ce jeu malgré moi. Ci-dessous, les éternelles captures made in Critikale (souvenez-vous en pour 2017) et un petit message en toute fin.

Ma petite ferme avance lentement mais toujours un minimum (l’excellence de Stardew Valley). Sur cette capture, vous voyez mes vaches (tout animal peut être nommé, voir ci-ci-ci-dessous…), mes poules, mon unique canard pour le moment n’est pas sur la capture (il doit se balader ailleurs) et une partie de mes cultures. Vous voyez aussi en bas à gauche, accroché à un arbre, un appareil servant à récolter ce qui tombe de différentes arbres (sève et autres). Actuellement, je suis à la 2e année, en automne (fall).

Un peu plus tard, mes récoltes poussent. Vous voyez aussi mes épouvantails utiles contre les corbeaux.

J’ai placé quelques paniers dans le jeu pour récolter des poissons et autres joyeusetés dans la flotte (comme des débris, des vieux journaux…).

Une de mes premières poules : Raph. Euh oui désolé ma burne mais il n’y a pas de coq, complexe pour les oeufs les coqs… Cette bonne vieille Raph (!!) a 4 mois et va bien, merci pour elle/lui. Je peux changer les animaux de bâtiments ou les vendre.

Située presque contre votre domicile, la caisse est un des objets forcément les plus importants du jeu. À chaque éléments donné pour la livraison (et donc sa vente), vous pouvez voir le détail et ainsi observé ce qui rapporte le plus.

Le level 10 est le max de chaque capacité. Vous devez choisir une profession (ou plutôt là où vous excellez) au niveau 5 et au niveau 10. Ici, j’ai choisi Artisan (pas forcément visible sur la capture…). Mes ventes de produits d’artisanat m’apporte 40 % de pognon supplémentaire. Ce qui s’est parfaitement vu au jour suivant.

1er onglet du personnage

Vous voyez simplement son équipement. Les anneaux (qui apportent des capacités spéciales et permanentes au porteur, l’argent récolté depuis le début (ici 348.569g), le nom de votre chat (ou de votre chien), le matériel en main (première ligne) et dans le sac (2e et 3e ligne). Et bien sûr, la tronche de votre personnage avec son fameux chapeau…

2e onglet du personnage

Les capacités individuelles. Je suis au niveau 10 en farming, c’est à dire en récolte. Dans ma valise se trouve un livre pour apprendre la langue des nains présents dans le jeu et une clef Squelette (Skull Key) pour aller dans une grotte situé dans un desert.

3e onglet du personnage

Vos affinités avec les PNJ (Personnage-Non-Joueur). Vous voyez que j’ai 6 coeurs avec le maire de la veille (fayot) et 4 coeurs avec l’agricultrice Marnie qui est chargé de vendre les animaux (et qui possède la plus grosse ferme du village). J’offre tous les jours des bières à Pam dans le saloon du village et elle adore alors ma cote de popularité avance rapidement avec ce personnage…

4e onglet du personnage

La carte, simple ou simpliste. Mais en tout cas, elle fait le job ! Vous pouvez pointer sur les maisons pour savoir qui y habite, pratique au début.

5e onglet du personnage

Ce bon vieux crafting. Vous pouvez petit à petit créer des objets de toute sorte et ultra utile qu quotidien.

6e onglet du personnage

Le base de donnée de votre jeu se trouve dans le 6e onglet. Glissez sur un petit élément pour connaître ses statistiques.

Les menus de Stardew Valley sont ultra fonctionnels et parfaitement intuitifs. Même sur console. Je n’ai pas essayé la version PC.

Pas besoin de montrer les 7e et 8e onglets (paramètres et quitter le jeu). Ultimes captures ce soir avec une de très nombreuses quêtes. Il faut toujours apporter quelque chose à quelqu’un ou tuer des monstres particuliers.

Stardew Valley va tourner très longtemps dans ma console.

Il est 23:30, dans 30 mn, l’amour perdu de ma vie (vous choisissez l’ordre de ces mots) aura un an de plus. Comme chaque année, je vais lui envoyé un texto pour lui souhaiter. Comme elle le fait pour mon anniversaire en juin (40 ans bientôt…). Anniversaire spécial donc.

Comme toujours, peut-être, j’aurai une réponse cordiale histoire de ne pas me froisser (cela fait bien longtemps que je ne me froisse plus d’ailleurs). Pourquoi dis-je cela ? Très simple, car je me rends compte que je suis pathétique, encore amoureux d’une ombre qui ne m’aime plus depuis des lustres, depuis bien plus de 3 ans. Alors peut-être l’année 2017 sera l’année où mon cœur battera de nouveau et sera enfin ouvert.

Ou peut-être celui-ci ne battera plus. Ha ha. 

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2016

Entre jeux d’horreur et crafting en masse

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Ah ce bon vieux mois de décembre. Je l’attendais pas celui-là. Alors que mes problèmes dentaires m’empêchent de manger fondues et raclettes et que je maigri à vue d’oeil (déjà 5 kg…), c’est une foultitude de jeux essayés que vous trouverez plus bas.

Noël approche à pas de géants et c’est parfaitement pénible car il ne neige toujours pas. Chose rare cette année, le Noël de mort de l’an denier ne sera pas renouvellé car c’est moi qui invite… Je vais mettre l’ambiance, vous verrez ! Bah non vous ne verrez pas.

Ci-dessous, sous vos yeux ébahis qui se remettent doucement de mon retour sur le Net, vous trouverez du Resident Evil 7 (démo), du Outlast (jeu gratuit ce mois-ci avec le programme Gold du Xbox LIVE) et du Stardew Valley, jeu précommandé (chose horriblement rare) deux jours avant. C’est parti pour la démo de l’excellent Resident Evil 7, qui tranche bien par rapport aux anciens, et encore heureux. Rien ne remplacera les deux premiers. Ou le premier, ou Silent Hill, bref…

Vous commencez ici. Maison ultra glauque (moins que l’asile de Outlast, vous verrez…).

Le jeu est particulièrement beau car réaliste. Tout est ultra fluide, jouabilité parfaite et on ressent parfaitement chaque mouvement.


Dans la cuisine ci-dessus, il y a des cartouches de pistolet et une action à faire…

Ce n’est pas mon frigo vide qui risque d’être ainsi. Fait-il encore du froid ? Mmmmh ?

Action simple, le bouton action sert à ouvrir des placards et autres joyeusetés. L’inventaire est sobre et apparait très vite, pas de temps de latence à la con. Vous pouvez courir (l’endurance est minime) et vous accroupir. Vous ne pouvez pas sauter il me semble, je ne sais plus.

La protection avec les mains ne sert pas à grand-chose, mais plus tard oui…

J’ai compté pour le moment 5 fins différentes. Celle-ci n’est pas glorieuse.

Peu de captures car je mettrai ici-même une soluce complète pour avoir la bonne fin. Là où vous vous barrez de la baraque sans vous faire couper un bras ou juste tuer. J’ai été plutôt impressionné par le jeu, étrangement car je n’en attendais rien. Le 24 janvier 2017 celui-ci sera mien, sauf désagrément avant l’année prochaine.

Passons maintenant à Outlast, jeu gratuit sur Xbox LIVE actuellement et jusqu’au 31 décembre.

Petite rigolade des développeurs avec leur « bon amusement » après les « violence intense », « contenu graphique d’ordre sexuel », « langage grossier »… Ils sont mignons.

Vous débarquez avec votre Jeep et vous arrêtez au portail de l’asile. Rien qu’ici, l’ambiance est pesante et est un vrai délice avec le casque.

Délice de courte durée avec tous les bruits alentour. Vous pouvez porter votre caméra (il faut quelque fois) et regarder un peu partout. La caméra comporte aussi un mode de visée nocturne, habituel dans ce genre de jeu. Idem pour Outlast 2 d’ailleurs.

J’aime ces détails, vous voyez les pieds (et même le corps) du personnage, plus rare qu’il n’y parait. Un excellent point. Je m’attache beaucoup aux détails maintenant et j’apprécie ce genre de chose, je suis fou ? Idem pour la dernière capture…

Vous pouvez décider d’ouvrir les portes lentement ou rapidement. En tirant ou en poussant selon les portes. Excellente idée.

Ils étaient vivants un jour. J’ai sursauté deux fois déjà alors que j’ai joué 30 minutes. Ce ne sont pas les têtes qui m’ont fait surpris mais le personnage juste avant. Je vous laisse découvrir…

Pas follement sympathique d’être sur un fauteuil mais il faut croire qu’une personne était là pour aider le malheureux à marcher.

Beaucoup de morts dans cet asile et souvent des têtes coupées. Le plus flippant reste le souffle apeuré de votre personnage, ambiance garantie !

Choix cornélien. Une porte entrouverte, une porte ensanglantée, une porte fermée. Toutes seront ouvertes, je vous laisse là encore découvrir…

Tout comme certain (Assassin Creed, Uncharted), le personnage se maintient aux éléments du décor. Dès que vous approcher d’une porte il pose tranquillement la main sur celle-ci pour avoir une meilleure vue d’un couloir par exemple. Sachant aussi qu’il tient toujours sa caméra de la main droite. Il pose aussi la main gauche de l’autre côté de la porte.

Détail encore sympathique, l’aguille des secondes bouge parfaitement. Je ne suis pas resté pour attendre une minute, j’avais un peu les boules.

Finissons par Stardew Valley, mon coup de cœur de ce mois de décembre même si des bugs réguliers entachent le plaisir.

Un écran-titre comme je les aime, tout en pixels ! Hélas, le jeu bug régulièrement. Il fige souvent et j’ai eu un retour sur le dashboard de la Xbox One tout à l’heure. Pénible. De plus en plus de bugs d’ailleurs au fil de ma progression.

La création de personnage est minime. Vous devez choisir les éléments basiques (coupe de cheveux, pas de chauve dispo !, les couleurs de vos habits, le nom de votre ferme, votre animal favori et ce que vous aimez le plus). Ceci est ma seconde partie, d’où mon skipage de l’intro.

La ferme que vous lègue votre grand-père n’est pas en glorieux état. Un peu d’outillage par ci par là et le tour est presque joué.

Idem pour l’intérieur, très petit (vous pouvez l’améliorer). Le personnage se fatigue très vite, il est 14 h et je dois aller me coucher. Vous remarquez la jauge d’énergie en bas à droite…

Des petites quêtes vous font progresser un peu. Ici, je dois me présenter aux 28 villageois.

*

Je commence par celle qui me semblait la plus sympa… Notons que celle-ci est d’ailleurs le plus souvent très chiante. Là, elle vous dit que si vous ne portiez pas ces horribles habits, vous seriez mignon. Tellement vrai…

Le calendrier vous montre les fêtes locales (de Pelican Town, là où vous êtes) et les anniversaires, bloqués au début du jeu.

Vous gagnez la canne à pêche assez rapidement et l’épée plus tard. Je posterai d’autres captures bientôt. Je suis maintenant en Été (j’ai passé les 28 jours du Printemps). Difficile d’avoir de l’argent « facilement » pour le moment.

C’est tout pour ce soir. J’ignore si je posterai quelque chose d’autres avant le 25 décembre, le 29 ou le 1er janvier 2017.

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2016

Survivre à New York

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Je pourrais commencer ce petit article dédié à The Division par un magnifique « jouer est le seul truc qui me tienne en vie pour le moment ». Mais je n’en ferais rien, je suis bien trop positif pour cela. En plus, tant que les raclettes/fondues existent, je serai là.

Je pourrai aussi continuer en écrivant que je vais envoyer dans un mois l’annuel texto-anniversaire à ma très chère Lili, mon amour perdu, celle qui m’a retiré le coeur, qui me l’a envoyer valdinguer à 4983593439 km puis l’a repris et l’a reenvoyé à 839487394873 km, puis l’a repris et l’a écrasé joyeusement en chantant des chansons de Adèle tout en regardant avec ses copines haineuses un film de Tim Burton… Bref. Je pourrai. Mais j’en ferai rien car je m’en fous. Enfin non, je ne m’en fous pas, mais après tout, quand on ne supporte plus quelqu’un, on l’expédie. C’est ce que je fais maintenant. Un écart, je broie. Plus simple, et ça évite les malheurs du cœur le lendemain. Alors oui, je n’ai pas d’amertume, juste des regrets qui s’évaporeront lorsque j’aurai trouvé un amour fantastiquement démentiel. Je l’avais trouvé, mais il a filé le bougre de gland. Faut dire aussi que je suis particulièrement fermé. Je ne vais plus faire l’huître mais briller comme une perle.

Bref, je papote mais vous ne m’arrêtez pas, il faut dans ces cas présents.

J’ai téléchargé, grâce au Season Pass de The Division (première fois que je prends un Season Pass), l’extension Survie. Place aux captures donc pour présenter la bête (l’extension Survie et moi-même).

Personnage principal à date, le bonhomme progresse doucement.

Progression douce donc et ce n’est pas avec mon accolyte de toujours (visible en bas dans la rue sur le trottoir de gauche) qu’elle va être plus rapide. À deux, les missions les plus difficiles restent difficiles… Qu’importe, nous irons au bout de certaines bientôt.

Petite précision, peut-être que cela vous arrivera ou c’est déjà arrivé, même après téléchargement de Survie, il faut réactiver l’extension sinon elle est indiquée « hors ligne » à côté de l’escalier qui mène à la première extension (Souterrain).

Continuons par cette fameuse extension…

Attente comme des cons devant la porte de Survie. Chose incroyable, à cette partie nous étions 3. Favelfoor que vous voyez sur ma droite (le gars en face n’est pas moi), et Kusanagisaya, qui nous fait grâce de sa présence.

Vous arrivez dans une planque (bien différente des planques habituelles). Vous devez récupérer les antivirus dans la Dark Zone. Mais avant cela, il faut fabriquer un filtre basique pour y aller.

En haut à droite vous voyez la température que mon personnage peut supporter (-2°C) et la température actuelle (-21°C). Vous l’avez compris, il y a comme un problème… Vous devez ainsi trouver très rapidement des vêtements plus chauds ou…

… ou des barils de feu. Il faut quelque fois les allumer. Comme l’excellent Destruction Derby (aucun rapport), l’effectif du début (environ 30 agents) bat de l’aile et vous verrez en temps réel le nombre d’agents restants…

Enfin, les boissons, barres de céréales et autres joyeusetés sont utiles ! Elles ne sert plus à donner de la bouffe aux civils qui vous donnent généralement de la daube en échange mais à survivre dans ce bordel… Vous pouvez aussi trouver des vêtements (ou les fabriquer) et des armes (sur les ennemis ou autres). Si un ennemi lâche quelque chose c’est pour votre gueule, un agent passant par là peut le prendre sans problème… Y compris les coffres si vous jouez à plusieurs… Tout est unique. Mais vous pouvez parfaitement partager vos vivres et vêtements à tout instant.

Mon espérance de vie n’était plus que de 29 secondes (c’est peu). De toute façon je me suis fais buter par un PNJ (personnage non joueur). Un petit Lukas de niveau 30 (un gros con).

Voilou pour ce soir. Pour le moment, le mode Survie me plait bien mais si comme toujours, cela pourrait être plus poussé. Encore tout à l’heure, je me suis fait tuer stupidement et je n’ai pas encore pu réaliser plusieurs missions demandées. Je conseille d’ailleurs le jeu à deux minimum. Tout seul cela reste excellent mais difficile, ou je n’étais pas concentré.

Vendredi, article sur les racailles comme annoncé il ya peu. Demain, retour à Cultura pour me faire échanger (ou par avoir) un vinyle voilé. Les joies des nouveaux pressages…

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