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2018

Réouverture

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Après 7 mois d’absence, Critikale.com est de retour. L’intégralité des archives depuis 2005 sera remise en ligne d’ici la fin de semaine. Étant actuellement en vacances, studieuse et sportive, je vais m’atteler à remettre sur pied mon bon vieux site. Rien ne change, à part qu’il ne fermera plus.

Pour le moment, seules les années 2011 à 2017 sont remises en ligne. Le reste suivra dans la semaine. Un article expliquant tout ce bazar sera écrit dès que possible.

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2018

L’excellence est dans la boue

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Spintires : Mudrunner est un des rares jeux que j’ai précommandé. J’ai le jeu depuis sa date de sortie (31/10/2017) mais pourtant aucune nouvelle sur Critikale. Normal, celui-ci est fermé depuis mai 2017.

Spintires est une série sortie, à la base, en juin 2014. J’ai d’ailleurs acquis ce jeu sorti en preview à cette date (sur PC). Mon PC étant ce qu’il est, j’attendais depuis bien longtemps une sortie sur console de salon. Je n’aime pas particulièrement les camions en général, en tout cas je ne voue pas une adoration excessive… Par contre, je vénère (tout simplement) les moteurs physiques. Je l’ai souvent répété sur Critikale, je suis un très grand fan (et inconditionnel) du moteur Euphoria de Natural Motion (moteur physique présent dans GTA 4/5 et Red Dead Redemption premier du nom. Pour GTA 5, le moteur Euphoria a été remanié par le moteur maison de Rockstar (Rage). Bref, autant de mots pour en venir à quelque chose de très simple en fin de compte, Spintires : Mudrunner est une tuerie. J’adore ce jeu. Le moteur physique est absolument bluffant et même si le jeu n’a pas de graphismes sublimes, ils sont très réaliste et n’enlèvent rien à l’excellence du titre. L’animation n’est pas en reste, la fluiditié parfaite n’existe pas dans Mudrunner mais nous avons là un framerate stable, c’est déjà ça.

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2018

Un paradis bien court

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Étant Insider Xbox depuis 4 ans environ (un peu moins je pense, rien d’incroyable il suffit de s’inscrire gratuitement), j’ai profité de la closed beta de Sea of Thieves. Après maintes vidéos je n’attendais rien de ce jeu. Maintenant, c’est une de mes plus grosses attentes…

Comme quoi, certaines vidéos ne donnent pas envie. C’était en tout cas mon ressenti après avoir visionné une dizaine de celles-ci sur le futur jeu de Rare. Le jeu est simple (bien plus simple que les trailers bordeliques visualisés). Vous êtes un pirate seul ou avec 3 autres et devez récupérer des trésors sur des îles tout en faisant gaffe aux autres pirates et aux ennemis commandés par l’intelligence artificielle (sympathique). Vous commencez avec quelques très plutôt utiles : deux armes (une épée et un tromblon, une pelle (utile pour creuser et ainsi récupérer les trésors selon des indices), une longue-vue, un seau (utile pour virer la flotte de votre bateau en cas de léger problème…), une boussole (primordiale…), des planches (pour réparer d’éventuelles avaries), des instruments de musique (…), des bananes (histoire de récupérer de l’énergie) et d’autres trucs à découvrir.

Déjà, commençons par quelques captures, peu car les closed beta ne permettent pas de rendre la chose facile même avec l’option rapide de la Xbox One (hélas moins rapide que sur Switch et PS4, un seul bouton).

Je ne le pensais pas avec les vidéos (encore) mais le jeu est absolument sublime. Je dis souvent qu’il est facile de rendre un jeu joli avec des paysages tropicaux et un côté cartoon. Mais là, la claque ! L’eau évidemment est bluffante. Pas de mot pour la décrire tellement elle est réaliste. L’excellence tout bêtement. De plus, l’intégralité de Sea of Thieves est magnifique, le reste donc est tout aussi splendide. C’est un plaisir de découvrir chaque île et de naviguer sur cet océan divin, et vivant.

Vous commencez ici. Cette dame vous explique deux ou trois trucs et que sa bière n’est pas très fraîche…

Un des villages du jeu. Vous pouvez y acheter des éléments avec des pièces d’or et récupérer vos missions.

Je laisse maintenant mon bateau loin du port, plus ou moins. J’ai tendance à ralentir pas suffisamment et ma coque est souvent endommagée. Je m’améliore régulièrement dans la navigation, c’est déjà ça.

C’est vers ce personnage présent dans chaque village que vous pouvez prendre vos missions. Une enigme relativement simple vous donne des indications sur le lieu où le ou les trésors sont enfouis. Pour quelques pièces d’or, il vous file une mission et une carte. Vous avez aussi une carte gratuite histoire d’essayer.

Au loin brille une bouteille. Une mission quelconque est à l’intérieur, comme des quêtes annexes.

La lanterne est importante pour éclairer certains détails. Notons que vous pouvez la lever plus haut. À l’identique de cette seconde option pour la lanterne, vous pouvez aussi retourner tout ce que vous portez pour que les éventuels autres joueurs le voit. En gros, si vous tenez une carte, vous pouvez la retourner pour la montrer aux autres. Idem pour la montre, la boussole…

Ces ennemis sont dirigés par la console. Ils sont quelque fois pénibles mais reste simple(t)s.

Wouala… Je suis dégoûté que la closed beta soit terminée, je n’ai pas eu le temps d’y jouer énormément. Profitant d’un abonnement d’un mois gratuit au Xbox Game Pass, je pourrai avoir Sea of Thieves gratuitement pendant cet abonnement. Cest déjà ça. Mais attendre jusqu’au 20 mars me gonfle un peu. J’espère une démo d’ici-là. Le jeu est ultra beau, ultra jouable et plus intéressant que je le pensais. Une valeur sûre, si l’intérêt ne se limite pas à affronter des autres pour des trésors. J’espère quelque chose de plus consistant mais je l’attend maintenant avec une grande impatience ! C’était pas gagné.

Petite parenthèse pour Critikale, mon site subira une légère refonte graphique (plus sobre) et surtout un contenu affiné…

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2018

Zelda, le jeu qui rend la Switch obligatoire

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Plus trop de nouvelles sur Critikale à partir de la semaine prochaine, reprise du boulot oblige. Deux semaines relativement reposantes grâce à Link. Ou pas.

Il n’y aura pas de très nombreuses captures de Zelda Breath of the Wild sur Switch faute à une technique foireuse de la part de Nintendo. Enregistrement limpide des captures avec un seul bouton sur une Micro SD très basique mais pas de partage sur One Drive ou iCloud pour les photos… Super, juste les réseaux sociaux habituels. Naze en 2018 mais Nintendo débute dans le social visiblement. Voici quand même quelques clichés de mon aventure, qui va être longue, très longue.

Mon avis est tout en bas des screens.

4 niveaux de zoom pour la carte de Zelda. Il faut bien ça vu toutes les zones à explorer, et exploiter. Je me suis promené pour le moment et activer quelques tours pour voir les cartes détaillées. J’arrête de m’égarer dorénavant car les monstres présentes dans certaines régions sont bien trop complexes à appréhender…

Les tours non activées sont entourées d’un halo orange. Dès leur activation, elles deviennent bleues. Elles sont le plus souvent protégées par des ennemis. Et leur accès n’est pas foncièrement simple.

Escalader des montagnes n’est pas difficile pour Link. Ma jauge d’endurance actuelle ne me permet pas trop d’erreur par contre. Et une chute est souvent mortelle, à moins de se rattraper je ne sais où avec je ne sais quoi…

Même si les cheveux et les relais (écuries) sont idéalement présents dans le jeu, je marche beaucoup. Pour le moment, je n’ai pas trouvé d’utilité incroyable aux chevaux. Et j’adore découvrir en marchant…

La pluie est régulière dans le jeu, tout dépend des régions mais la plupart du temps il pleut au moins une fois dans la journée. Ici c’est un orage qui s’abat sur ma gueule… Notons le réalisme du jeu qui n’accepte pas d’objet métalliques pendant un orage (vous allez griller sinon). Là, je viens de ranger mon bouclier en acier ainsi que mon épée pour mettre deux trucs en bois…

Tout comme les tours, les sanctuaires non actifs (non terminés) sont oranges. La réflexion n’est pas incroyable dans chacun des sanctuaires mais reste complexe par moment (il faut comprendre la logique du bordel). Il y en a 120. J’en suis à 14 pour le moment…

Un bullet-time est dispo dans le jeu à l’instar de Max Payne (il y a plus récent je sais). C’est plutôt bien fait et très jouable mais consomme un max d’énergie…

Locker un ennemi est ultra simple, basique (© Orelsan). Les combats sont souvent intéressants.

Surprendre un ennemi peut le tuer en un coup. L’intelligence artificielle reste correcte mais la discrétion est trop permissive.

Et quelques fois ne pas être discret est aussi efficace. Les combats contre plusieurs ennemis restent difficiles.

Préparer de bonnes petites recettes est facile. Même si quelques aides à ce niveau sont disponibles, cela reste compliqués de mixer de bons aliments entre eux. Du moins connaître par avance le résultat s’apprend petit à petit. Même si c’est relativement logique.

La sacoche peut contenir des tonnes d’aliments et d’objets, contrairement aux emplacements restreints d’armes, de boucliers et d’arcs. Même si cela s’améliore au fil du temps, lentement.

Deux emplacements d’armes supplémentaires « achetés » il y a peu. Très chiant au début de choisir celles qu’on garde.

Un seul emplacement supplémentaire acquis pour les arcs (arme primordiale dans le jeu, pas que pour combattre…).

Contrairement à un The Division (à part le fabuleux mode Survie), les habits ont un rôle important. Une doudoune bien chaude sera parfaite pour gravir les monts enneigés.

Les « pouvoirs » (appelés « modules ») sont tous efficaces. Deux sortes de bombes (une roulante, l’autre non, plus stable…). Un autre pour le maniement des objets lourds (métallique uniquement). Le quatrième en partant de la gauche bien sûr sert à vider de leur poids certains objets (annulation de la gravité). Un autre sert à geler l’eau en construisant un pilier de glace. Le dernier à prendre des photos, important pour une certaine quête (une des plus importantes d’ailleurs pour les souvenirs de Link).

Les quêtes sont clairement indiquées en laissant pas mal de liberté dans leur accomplissement.

Alors, que penser de ce Zelda ? Déjà, il faut savoir que j’apprécie énormément la série même si, avouons-le, je n’ai pas énormément jouer aux nouveaux. Aux épisodes récents en somme. Énormément à l’opus Super Nintendo et beaucoup aussi aux titres sur Nintendo 64. Peu sur Gamecube donc. Bref… Un Zelda ça se savoure c’est évident. Celui-ci ne déroge pas à la règle et je prends beaucoup de plaisir à marcher dans ce monde énorme et très ouvert. Je peste souvent à cause du manque de progression du personnage, du fait qu’ont ne ressent aucune montée en puissance de Link. De nouvelles armes certes, des nouveaux pouvoirs, mais peu de choses en fin de compte, pas d’arbre de compétence  ou un quelconque niveau. Mais après tout ce n’est pas important pour cette aventure. Les combats sont tactiques par moment et il faut juste être préparé. Prendre les bons équipements, les bonnes potions, les bons aliments, le bon chemin… Le jeu reste exceptionnel, car il est ultra jouable, beau (même sur un TV, où je joue à 99 % du temps). La fluidité est mise à mal en de rares occasions mais reste impeccable. L’aventure se suite agréablement même si tout reste trop enfantin, après tout c’est plutôt normal non ? Mon avis sera plus précis dans une poignée de semaines mais pour le moment, oui, Zelda est un jeu à posséder absolument pour tout acquéreur et futur acquéreur d’une Nintendo Switch. Console qui sera utilisée en mode nomade que lorsque Stardew Valley FR arrivera (la mise à jour). Même si ma 6e année en anglais sur Xbox One ne me pose aucun soucis. Et aussi Skyforce Reloaded, jouer à cette perle en mode portatif sera une joie !

Et de la joie, il m’en faut en ces temps troubles.

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