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2020

Cyberpunk 2077, l’excellence timide

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Depuis le temps que je patientais dans la chambre noire de la curiosité, craignant que la lumière ne soit pas assez belle qu’escompter, le Cyberpunk sauce Xbox One X m’étonne autant qu’il me laisse perplexe.

Depuis le 10 décembre à minuit, je joue enfin à mon jeu le plus attendu de l’année (avec Dying Light 2 mais là c’est le drame…). Autant dire que j’ai appuyé sur le bouton A de ma manette Xbox avec une crainte multipliée à cause des articles négatifs sur le dernier-né de CD Projekt RED. Et bien, si vous le voulez bien, avant le tri des 62 captures et après une jolie sélection, voici mon opinion directe après quelques heures de jeu.

FAUT-IL CROIRE LES AVIS DU GRAND WEB ?

Non. Voilà, simple, efficace, et sincère… Les versions PS4 et Xbox One doivent être mauvaises, j’en doute aucunement. Et même si on pourrait indiquer l’âge premier de ces consoles (7 ans), certains jeux sont mieux optimisés (merci Rockstar). Je vais parler exclusivement de la version Xbox One X, que j’ai obtenu gratuitement. La version PC suivra peut-être mais j’en doute, ce serait débile.

Les bugs et autres joyeusetés

Oui, des bugs, il y en a. Pour le moment, certains personnages restent suspendus en l’air alors qu’un banc, par exemple, devrait les aider à rester assis. Ou ma voiture flotte dans l’air (à 1 m, un peu moins), alors qu’elle n’est pas sensée voler… Ce qui me dérange le plus pour le moment, ce sont les freezes, importants. J’ai eu un plantage (retour à l’accueil Xbox) et plusieurs freezes pendant n’importe quelle action. Je roulais, freeze, je marchais, freeze, je parlais à un débile, freeze. Des freezes un peu comme les chargements de Half Life² (si si souvenez-vous). Sauf que là, ce sont bien des plantages. Dommage mais facilement patchable je pense. À part ça, aucun bug gênant, en tout cas pire que ça.

La conduite

Vu que je suis un adorateur des moteurs physiques (Euphoria surtout), je porte une grande importance pour la conduite. Et lire par-ci par-là que celle-ci était désastreuse, qu’on ne ressentait pas les véhicules et qu’en gros, c’était injouable, ça m’a foutu les boules. Et bien non. Totalement faux. Si vous lisez Critikale depuis longtemps, vous savez que j’attache beaucoup d’importance au poids des véhicules, à l’inertie, au réalisme du comportement routier en général (qu’on monte un trottoir ou qu’on se tape une autre bagnole). Et bien les voitures (et motos) dans Cyberpunk se conduisent parfaitement. Certes c’est toujours à améliorer mais le gros du taf est fait. On ressent le poids du véhicule, lorsqu’il tourne, les suspensions sont excellentes, et en resumé la conduite est agréable si on n’y va pas comme un bourrin. Je n’ai conduis qu’une seule moto pour le moment, et c’était pas mal, pas fou, mais pas mal.

Les graphismes, dégueulasses ?

Sur Xbox One X avec un téléviseur Full HD, c’est tout à fait correct. On peut dire que Red Dead Redemption est mille fois plus beau, que même Valhalla fait mieux, ou… aller, que GTA V n’est pas en reste. Mais non ! Encore non. La ville fourmille de détails (certes souvent dupliqués) et je n’ai pas trouvé de textures moches ou je ne sais quoi. Notons tout de même que j’ai viré la quasi intégralité des effets (voir captures). Ce n’est pas le plus beau jeu du monde mais les effets de fumée, d’éclats, les textures en général, et l’ambiance, font que la ville de Night City est superbe (surtout de nuit évidemment).

Pour ma part, j’ai viré tous les effets sauf la profondeur de champ. Je vous conseille de faire de même sur un TV Full HD même si je vais faire des essais plus approfondis plus tard.

C’est fluide le bousin ?

Très grosse crainte de ma part… Ce n’est pas du 60 FPS bien sûr mais le jeu ne rame pas. Pas de ralentissements sur Xbox One X (à part les freezes chiants) et le jeu est parfaitement jouable (après réglages, voir captures là aussi). Non, là encore, les articles négatifs à ce sujet sont étranges. La version PC doit être 100 fois meilleure bien sûr mais en l’état, et pourquoi pas après des correctifs, le jeu sur Xbox One X est stable et tout à fait praticable. Même lors des gros gunfights je n’ai pas noté de ralentissements, c’est dire… Les versions PS5 et Series X devraient être excellentes à ce niveau. Attendons… Même si je ne possède ni l’une ni l’autre (article bientôt à ce sujet), je suis curieux de voir le rendu sur ces nouveaux supports.

C’est intéressant alors ? C’est l’après The Witcher bordel !

Lorsqu’on voit un titre comme The Witcher, on pouvait facilement se dire que CD Projekt RED sont des Dieux. Et ils le sont… Pour le moment, l’histoire est sympa, les personnages sont mille fois plus charismatiques que notre ami chez Assassin’s Creed Valhalla (oui la comparaison est merdique) et sont au niveau d’un Red Dead Redemption 2. Bon, les gars de Rockstar font toujours très fort dans ce domaine (des acteurs) mais Cyberpunk 2077 n’est pas en reste. Pour le moment, à part la voix de V (le personnage principal) qui part des fois en couilles (le plus souvent c’est OK), tout roule. Les acteurs sont excellents et tout est intéressant. L’histoire est assez complexe (pour moi) mais il faut que je m’attarde aux nombreux textes (les caractères sont petits et calibrés pour des TV 4K, c’est évident. Comme les menus. Les quêtes effectuées pour le moment sont riches d’enseignement et on veut forcément en savoir plus, ce qui est un point crucial pour un jeu du genre.

Place aux captures. Résumé de mon premier avis plus bas, et deuxième avis ce dimanche (normalement, ou mardi 15 décembre, avant la pause sur Critikale.

Oui, ce n’est pas la capture idéale pour commencer. Le personnage sur la route flotte dans les airs, assis sur quelque chose d’invisible (une voiture, un banc, une caisse, que sais-je). L’autre à gauche n’est pas en reste, il flotte aussi même si cela est moins flagrant que pour le gugusse précédent. J’ai choisi l’histoire du Nomade (sur trois choix possible en début de partie).

L’infiltration est plutôt correcte. Le pirate des éléments alentour est efficace (pour distraire, pour assomer, pour tuer…). Les effets de lumière sont bons, rien à dire sur le technique pure (le réalisme).

La tronche de mon gars est space mais pas autant que ses vêtements… Un peu, destructurée comme tenue. Qu’importe, à Night City tu as la classe, ou pas. À gauche les armes en possessions (sur 3 emplacements). Pour le moment, je ne peux porter qu’une seule arme de poing. Les stats résumées en bas à gauche (et complètes en appuyant) ainsi que la tenue complète à droite. De la tête aux pieds donc. Les accès rapides aux grenades (excellentes) et au médics sont bien sûr présents. Vous pouvez aussi accéder au sac sur ce menu ainsi qu’à votre matos cybernétique. Les menus sont souvent liés ensemble pour ne pas revenir en arrière tout le temps.

Comme souvent hélas, la scène que vous voyez ci-dessus se répète sur plusieurs PNJ du jeu. Toujours un gars en train d’aider une fille à tenir debout. J’ai cru à une agression et je me suis précipité. Mais non, la fille m’a envoyé chier et le mec m’a dit bonjour tranquillement… Pas top mais c’est aussi ça les mondes ouverts actuels.

Le menu principal du personnage. Vous pouvez gérer vos fabrications, votre inventaire comprenant votre sac et votre matériel cyber, la carte du jeu bien sûr (excellente), le personnage lui-même (sa « carte), et le journal des événements. Subtilement en bas à droite, le codex (base de données). Plutôt efficace pour comprendre le jeu et ne rien perdre de l’histoire.

Pour le moment, je n’ai pas touché (et je ne peux pas) à la fabrication d’armes ou autres trucs marrants. Ni aux améliorations. Comme vous le voyez sur cette capture, les menus sont assez fins et très garnis d’infos ! Idéal sur PC je pense mais moindre sur console avec un vieux TV Full HD. Je suppose que le jeu doit être bien meilleur en 4K ou 2K

Toutes les modifications inférieures que vous effectuez sur votre personnage sont visibles (entendez par là les pompes et le futal). C’est bien foutu et d’ailleurs la marche du personnage est réaliste (le moteur physique est bon, j’y reviendrai quand même hein…). Admirez le crenalage horrible de l’ombre du bonhomme.

L’inventaire d’un magasin. L’interface est vraiment fine et comme dit plus haut, elle réclame une haute résolution…

La base de données est vraiment interéssante et obligatoire si on veut comprendre quelques détails importants du jeu.

ATTENTION POINT SUR LA VISÉE !

Comme toujours, j’ai viré l’aide à la visée, que j’abhorre profondément dans ce type de jeu. Dans tous d’ailleurs.

Point important de Cyberpunk 2077, ce menu ! Il faut absolument viré les rotations (mauvaise traduction française qui signifie la simple action des sticks analogiques, le turning). J’ai laissé une accélération sur le mouvement horizontal (0.20 sur cette capture). La sensibilité est réglée à 10 (maintenant 12 je crois je vérifierai). Le jeu est très jouable ainsi. Les zones mortes doivent aussi être à zéro (ou presque selon la sensibilité de votre manette). Je vous rappelle que la zone morte est le moment où le mouvement est effectué par le stick après que vous l’ayez demandé. En gros, si vous mettez le stick à droite, est-ce que vous voulez que ça parte directe ou qu’il y ait un moment de latence imperceptible mais chiant si vous êtes comme moi… Les mouvements bruts sont les meilleurs dans ce style de jeu. Surtout à la manette.

Dans tous les jeux, je fais le « coup du mirroir ». Voir si oui ou non son personnage apparait. Et bien non. C’est à cela qu’on voit les petits ajustements effectués par les programmeurs pour ne pas faire souffrir les consoles. Sur PC c’est pareil je pense…

Les personnages et dialogues sont bien plus plaisants que de nombreux jeux. Pas au niveau d’un Mass Efffect mais cela s’en rapproche. Ubi Soft et les autres devraient en prendre de la graine. Bon Rockstar est au dessus de tout dans ce domaine.

Je pensais que ce rude gaillard alors suivre étrangement cette demoiselle blonde à la tenue décontracte. Et ainsi pourquoi pas débloquer une quête où je la sauvais tel le héro des temps modernes. Que nenni, le temps qu’il soit en bas des escaliers, elle n’était déjà plus là. En plus, deux secondes après il est remonté. Je pensais le retrouver à sa position initiale (comme un bon vieux script) mais non, il est parti à l’opposé. Pas mal. Mais le coup de la descente et montée d’escalier était ridicule. Et moi aussi à le suivre.

C’est lors de cette fusillade (une quête annexe ou plutôt un contrat) que j’ai visité un forum américain pour comprendre comment régler cette putain de manette. Je n’étais pas loin de la vérité et maintenat tout roule ! La visée est plus que correcte mais bien sûr pas au niveau des tenors du genre comme The Division 2.

Capture facile. C’est lors d’un affrontement (un autre) que le jeu s’est figé. Ces micro-interruptions sont pénibles et mon retour au bureau Xbox m’a refroidi et m’a inquiété. Je sauvegarde maintenant régulièrement (vous pouvez le faire quand vous voulez ou presque).

Pirater une machie permet de distraire les ennemis. Ce n’est pas fou mais c’est sympa. Pour le moment l’intelligence des ennemis est moyenne. Sauf lorsqu’ils vous voient, là, il deviennent plutôt intelligents…

La carte fourmille de détails. En 2D ou en 3D elle est superbe. Je regrette simplement que le mode 3D ne soit pas plus manipulable. Les rotations sont assez rigides.

En deux secondes, le dialogue avec cette fille passe du positif au très négatif. Étrange, et ridicule.

Plutôt réaliste, les conducteurs n’ont que faire des passages piétons prioritaires (ici le passage est en vert). Vous ne vous poussez pas et hop, c’est sur le capot que vous vous retrouverez. Marrant.

Peu de captures pour monter la beauté du jeu. Car il ne l’est pas vraiment. C’est juste correct avec une mention spéciale la nuit, évidemment.

La sélection des missions avec leur niveau de dangerosité. Sympa.

La danse sensorielle est la trouvaille originale du jeu (pour le moment). Vous regardez une vidéo passée (et enregistrée en réel) et vous pouvez retrouverez des indices visuels, thermiques, ou auditifs. C’est plutôt bien foutu.

L’arbre de compétence est vélu, comme celui de AC Valhalla. Je ferai un topo là-dessus dimanche ou mardi prochain.

ALORS IL EST COMMENT CE CYBERPUNK 2077 ?

Et bien après réglages de la manette, et en étant objectif, il est bon, très bon même. Cela peut paraître un peu timide comme avis mais je donnerai un résumé plus conséquent dimanche ou mardi 15 décembre. Pour le moment, le jeu est jouable, il est suffisamment joli, les personnages sont intéressants, l’histoire aussi et le jeu a l’air de proposer un gros contenu (je l’espère). Je suppose que les versions PS4 et Xbox One sont assez mauvaises vu les tests (et je peux le comprendre en voyant qu’il tourne tout juste correctement sur One X). Je n’aurai pas de Series X (ou de PS5) alors je vais me contenter de cette version et apprécier le jeu à sa juste valeur, son univers et son histoire.

À dimanche pour une petite poignée de captures et surtout à mardi pour le final de Critikale de 2020. L’article du 29 décembre n’aura pas lieu.

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2020

Quelques infos diverses pour finir l’année 2020

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C’est demain, à l’heure où j’écris ces lignes, que le dernier jour sonnera la fin d’une année bien particulière et foncièrement pénible.

Une nouvelle année est toujours un moment simple pour faire le point, pour essayer de faire mieux. Certains pourraient se demander ce qu’un jour en plus dans une vie peut être considéré comme une année nouvelle, un nouvel essai, et non une continuité. Certains donc, se diraient que nous sommes bien cons à se dire que nouvelle année rime souvent avec changement et remise à zéro des compteurs. Ces gens-là sont des cons. Car une nouvelle année marque fondamentalement une nouvelle étape dans le calendrier, quelque chose de neuf, un nouveau départ qu’on aimerait plus fluide que l’an passé à galérer avec nos masques et nos médias.

L’année 2021 sur Critikale commencera mardi 5 janvier. Le site proposera une mise à jour par semaine, cette mise à jour reprendra des news en vrac. Critikale optera pour du contenu différent comme annoncé depuis longtemps. Pour le moment, et avant l’article d’ouverture, voici quelques infos sur les jeux du moment.

CYBERPUNK 2077

Après 34 heures passées à Night City, mon avis reste le même, voire meilleur. La fluidité est là (Xbox Series X), graphiquement ça tient bien la route, les missions sont intéressantes, le contenu est dense, les détails sont présents, les personnages attachants (à part la voix française du héro), en somme, c’est très bon. La conduite des voitures est bonne (celle des motos est chiante) et l’amélioration lente du personnage (équipements, armes, gadgets, mouvements…) est un plus pour savourer le jeu tranquillement. Cyberpunk 2077 est donc parfaitement réalisé et sans conteste une de mes belles suprises de l’année 2020, ouf.

WILMOT’S WAREHOUSE

Hélas, malgré l’excellence du jeu, notre ami Wilmot propose une fin de merde. Oui, tout connement. Le jeu est maintenant terminé et la fin est clairement étrange (on est viré et remplacé par des machines). Étrange ? Pas que, cette définition de notre société actuelle n’est pas la bienvenue pour ce jeu je trouve car j’aurai aimé un mode dévérouillé ou quelque chose qui propose une rejouabilité sympa. Même si les éléments à ranger dans le hangar ne sont jamais les mêmes (200 de base, et bien plus si on refait plusieurs parties), le jeu ne sera pas relancé, il est d’ailleurs supprimé. Bien dommage car le titre est franchement génial et j’aurai pu y jouer de temps en temps si seulement la fin d’était pas exécutée de cette manière.

ASSASSIN’S CREED VALHALLA

Toujours présent sur ma console, cet épisode d’Assassin’s Creed est mon préféré (pas de mal, je n’aime pas les autres et je n’ai peut-être pas joué suffisamment à Odyssey). Je dois être à presque 60 h de jeu et aucune lassitude pour ma part. Le jeu est ultra fluide, parfaitement jouable, très beau et très vaste. Bien sûr je regrette beaucoup les très mauvais dialogue (le plus souvent) mais c’est juste dommage. Je le finirai prochainement.

C’est tout… et oui.

Comme écrit plus tôt dans le mois de décembre, Critikale ne parlera plus de jeu en général (petit paragraphe dédié). Ceci s’expliquera aisément vous verrez…

À mardi 5 janvier 2021.

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2020

Critikale 2021

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C’est en rencontrant d’anciens amis, d’anciens collègues, qu’on se rend compte à quel point notre vie est resté figée pendant des dizaines d’années. Figée comme une merde froide.

Alors que je vais relancer la console histoire de penser à rien ou presque, laissez moi partager quelques mots avant une année 2021 qui s’annonce pour le moins chaotique. Je pense que mon site est devenu un ramassis de déchets et de stupidité infantile. Je pense cependant qu’il résume pleinement ma vie. J’ai passé mon temps à vouloir plaire aux autres, à rester dans le cadre, dans le droit chemin, en évitant les courbes et les problèmes frontaux. Hélas, cette technique que je maîtrise pleinement joue en ma défaveur car le monde change, le monde évolue et moi non. Depuis trop longtemps Critikale est le seul moment que j’apprécie.

Je pose mes mains sur mon joli clavier qui fait des clics et des clacs et je joue une mélodie de mots à défaut de maîtriser l’un de mes rêves, le piano. Encore un échec cuisant pour ma part. Je regarde le chemin des autres et je vois des enfants, une femme peut-être, des amis, des soirées, des habitudes, des sorties, des projets, des adultes qui ont réussi à passer le cap d’un blog à la con où ils ne leur viendraient pas à l’esprit de marteler au tout peuple leur vie de joyeux blaireau. Car c’est cela même que je suis. Un blaireau.

La première phase a été de supprimer Facebook. Puis Instagram. Longtemps déjà, Snapchat n’était plus. Twitter est en pause avant suppression et reste mon ami Pinterest, seul réseau social que j’apprécie, que ma curiosité apprécie… Encore à me servir des autres comme une vitrine d’un bonheur que je n’ai pas su créer. Bref. Critikale cru 2021 ne sera plus. Je vais continuer quelques jours à poster des infos sur Cyberpunk 2077 et peut-être la mise à jour 1.5 de Stardew Valley version PC. Peut-être aussi je continuerai Assassin’s Creed Valhalla. Dans tous les cas, les articles se feront très rares et un Grand Article sera mis en ligne début janvier.

Je remercie chaleureusement tous les visiteurs de Killmyself (premier site), Rijkaan (modif de Kilmyself) et Critikale (remplaçant de tout ce bordel). Les artiles se feront rares mais plus réfléchi. Tout moi va disparaître mais j’annoncerai ce départ plus tard.

Joyeuses fêtes, et bonne année.

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2020

Jeu vidéo : Entre coup de coeur et coup de gueule

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Non, Cyberpunk 2077 n’est pas mon coup de gueule, les moutons gavés d’Internet oui, et mon coup de coeur revient au surprenant Wilmot’s Warehouse (Game Pass).

Quelques captures de Cyberpunk 2077 après 21 heures de jeu et avant un vrai article sur cet excellent titre de CD Projekt RED (Xbox One X). Les versions PS4 et Xbox One standards peuvent très bien être mauvaises mais je ne juge pas les avis sur celles-ci, car tout devient général avec Internet, les réseaux sociaux et le bouche-à-cul déplorable de ces derniers jours. Ou l’oreille-à-cul comprenne qui pourra.

Ci-dessous, des captures parlantes de Cyberpunk pour expliquer deux/trois trucs importants. Mon prochain article démontrera pourquoi Cyberpunk 2077 est un excellent jeu (!).

On commence pourtant mal par le bug du soir. Malgré le fait que je pouvais bouger difficilement sur cet écran noir, je n’avais plus d’interaction avec les ennemis. J’étais comme aveugle et immobilisé par le codage chaotique de Cyberpunk 2077. Oui le jeu comporte des bugs mais NON ils ne sont pas nombreux et restent « normaux » pour un premier run dans le monde du jeu vidéo. Les patchs qui arriveront sauront corriger le tir je n’en doute pas un seul instant. 99% du titre de CD Projekt RED reste parfaitement jouable et je ne regrette pour le moment que de rares trucs comme le moteur physique moyen.

J’ai enfin récupéré la voiture de V (oui après 20 h de jeu). Joli bolide avec une sacrée pêche ! La conduite est bonne (les motos sont spaces mais jouables). On sent les suspensions, le poids des véhicules et l’aspérité de la route, c’est bien là le principal non ? Et réellement, je suis bien pénible dans la critique sur la conduite dans les jeux (surtout pour les titres comme celui-ci).

Le stand de tir où vous pouvez gagner une arme sympa est dirigé par Wilson. Un gars qui insulte pas mal ses clients de petites bites car ça l’énerve de voir des gars tirés comme des manches mais tirer quand même… Le concours opposant 4 autres gars est facile (avec la configuration montrée dans un autre article sur Cyberpunk).

Voilà, pour le moment. Je continue mon aventure qui devient de plus en plus intéressante (et compréhensible surtout !). Sur Xbox One X le jeu est propre graphiquement, jouable, fourni, que demander de plus ? Si les bugs sont corrigés et si, pourquoi pas, le jeu gagne en fluidité (c’est déjà bien) et en technique, il sera sans nul doute un titre à posséder d’urgence… L’article contre les connards qui critiquent sans connaître arrivera dimanche ou mardi prochain.

Passons au surprenant Wilmot’s Warehouse.

Si je m’attendais à ça… J’avais regardé une vidéo vite-fait vu que le jeu allait être gratuit avec le Game Pass et j’avais trouvé ça bizarre (pourtant je suis fan de ce type de jeu décalé). C’est à son gameplay qu’on décèle un grand jeu, et Wilmot’s Warehouse n’a aucun égal dans ce domaine.

Simple, un camion arrive pour déposer des colis dans votre entrepôt. Ces colis, tous carrés et identifiés avec un symbole, doivent être ranger dans votre entrepôt pour être livré à des clients.

Les clients demandent des colis particuliers et d’une quantité précise. Vous devez ranger correctement votre entrepôt afin de satisfaire rapidement les clients. Si vous ne savez pas où vous avez placer tel ou tel « carton », vous allez perdre du temps et perdre des étoiles. Certains clients donnent 5 étoiles par exemple si vous les servez dans les temps. Vous pouvez bien sûr porter plusieurs colis en même temps afin de satisfaire un, deux, trois voire quatre clients en même temps.

Et justement, en étant organisé on peut facilement gagner des étoiles qui serviront à améliorer le personnage. Vous pouvez par exemple tourner les colis autour de vous pour vous déplacez dans certains endroits ou les ranger plus efficacement. Vous pouvez aussi activer un boost avec Y (Xbox One). Et pourquoi pas porter plus de colis qu’au début (8, 10, 12…).

Ici, grâce au bonus Rotation que j’ai acheté, je peux tourner les colis comme une pièce de Tetris (un tetriminos).

Ici, le coup de boost. Idéal pour speeder vers une zone où vous devez prendre un colis. Si vous transportez un ou plusieurs colis, impossible de speeder.

Une fois les cartons donnés aux clients, vous pouvez indiquer avoir terminé votre mission et ainsi gagner plus d’étoiles que prévu. Idéal pour acheter des améliorations.

De nombreux visuels de colis sont à collectionner et grandissent considérablement ce que vous pouvez stocker dans l’entrepôt (en augmentant forcément la difficulté !). Ci-dessous, tous les colis que je peux stocker dans mon entrepôt et surtout que le camion peut me livrer. Il faut une organisation drastique pour retrouver ces précieux…

Vous pouvez afficher les statistiques. Elles montrent le nombre de colis de chaque catégorie actuellement stocker dans l’entrepôt.

Wilmot’s Warehouse est ultra prenant. Dès que le camion arrive il faut stocker vos colis et se souvenir de là où ils sont ! Les clients, au nombre de quatre, demandent toujours différents colis et vous oblige à connaître parfaitement votre entrepôt. Le jeu est jouable à deux en coop. J’ignore comment ça se passe dans ce cas précis. Je vais essayer.

C’est tout pour aujourd’hui. Les temps sont dur niveau fatigue et autre alors je vous donne rendez-vous mardi 22 décembre pour la fermeture 2020 de Critikale. Avant peut-être avant l’article vérité sur l’excellent Cyberpunk 2077. Préparez-vous à un Article Noir particulier le même jour.

Salut.

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