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2022

Dying Light 2, grands bonds et molles morsures

Dying Light 2 est là, depuis le 9 février et mes vacances se terminent bientôt avec plusieurs sentiments à son égard et à l’égard d’autres trucs d’ailleurs. Suite ci-dessous.

Attention, long article chiant

Parlons statistiques !

Quelques petites stats de Critikale pour commencer puisque OVH m’a gentiment prévenu que je dépassais dans peu de temps mes options d’hébergement… Les vidéos + textes (j’y tiens) ne vont rien arrangé, je l’espère.

88102 pages vues du 1er janvier au 11 février 2022. Critikale reprend un peu d’énergie depuis des 10.000 fermetures mais je dois encore corriger les très nombreux liens en erreur du site (les 28120 pages en erreur). N’ayant pas encore relu les années passées, une foultitude de liens repose sur l’ancien site réalisé sous NamoWeb Editor. Évidemment, les pages reviennent en erreur et c’est 90% des liens vers d’autres pages de Critikale, n’oubliez pas la Recherche !. Sur les 28120 erreurs enregistrées par OVH, 26000 environ sont des liens en défaut. Normalement, ma page 404 fonctionne pas rien n’est sûr, va falloir que j’essaie. Je l’avais déjà indiqué il y a fort longtemps, les stats de Critikale seront mises en ligne bientôt. Les visiteurs proviennent de 78% en France et de 16% du Canada. Le stats de Critikale seront mises en ligne dès que j’ai un moment.

DYING LIGHT 2, grands bonds et molles morsures

Il est là, après un premier opus excellent, cette excellente licence tourne enfin dans ma Series X, et en Full HD 60 FPS s’il vous plait. Oui c’est naze et oui c’est n’importe quoi. Pas de vidéos pour le moment sur Critikale car j’ai quelques soucis de logement comme vous le savez et je ne suis pas confortablement installé dans un bureau pour une installation pro. Ça attendra pour le moment, les idées sont là, reste à déployer tout ça quand tout sera en place.

Passons directement aux captures puis à un premier avis plus bas, au fond du puits.

Petit tour habituel dans les OPTIONS. Difficulté normale pour ma part (comme toujours, jamais Facile et jamais Difficile, le gars moyen quoi). Je coupe les musiques (sympas mais particulières) et je ne n’active pas le mode streaming car j’ignore à quoi il sert. Enfin si vu le nom je ne suis pas totalement crétin mais aucune utilité. Sortie audio TV (hélas le plus souvent maintenant…) et volume des effets et des voix à fond (bizarrement à 40, pourquoi cet étrange maximum ? Pas 100, pas 10 ??). Rigolo. Et j’aime ce qui est rigolo vous le savez.

On passe à l’habituel menu des COMMANDES et à la suppression tout aussi habituelle des vibrations et de la visée automatique. De toutes les visées automatiques ici… Je ne touche quasi jamais la sensibilité quand le jeu est bien calibré et c’est le cas ici, comme souvent avec Techland. Idem pour la zone morte, c’est appréciable lorsqu’elle est paramètrable, et toujours à zéro pour ma part. Je rappelle comme à chaque article ou je parle de la zone morte que c’est le délai entre le mouvement que vous donnez aux sticks analogiques et leur réaction. Si la zone morte est à zéro, le mouvement sera instantané dès que le stick bouge. Si la zone morte est à 2 par exemple, le mouvement sera en léger décalage dès que vous bougez le stick. Cela peut-être pratique pour des manettes mal calibrées ou des habitudes de jeu.

Le facheux menu VIDÉO très apprécié de nos jeux actuels. J’ai mis le mode Performance car les modes Qualité et Résolution sont parfaitement injouables. 30 FPS irréguliers et jeu certes plus joli mais on ne peut apprécier un jeu plus beau avec une animation aussi déplorable. Je rappelle que je suis sur Series X… Mon PC serait bien plus puissant que cette console d’ailleurs mais j’aime jouer sur une TV et mon gros derche sur un canapé.

Menu JOURNAL habituel là encore. Liste des quêtes et petit briefing (plutôt bien fait). D’ailleurs, en règle générale, les menus de Dying Light 2 sont bien foutus. Navigation impeccable et contenus compréhensibles. Petit bémol pour la rapidité des onglets, un peu mou du cul. On sent que l’interface n’est pas optimisée. Le curseur est mieux exploité du coup, les joies de la programmation PC/consoles certainement.

Sur ce menu, à gauche les différentes familles de missions, la liste avec les niveaux recommandés de chaque quêtes, au centre le briefing complet avec les récompenses à gagner et à droite un truc inutile je trouve, le récap des quêtes principales précédentes. Pas mal quelque part mais pas forcément bien amené.

Menu INVENTAIRE. Les armes, les accessoires et les consommables. Puis l’équipement (à droite) et les outils (en bas). Le sac à dos (icône sur la gauche) comprend les objets de crafting (fabrication) et les collectibles.

Menu FABRICATION. Un objet fini = son nombre exact de consommables. Basique mais évident dans un jeu, surtout en 2022.

Menu des COMPÉTENCES, l’arbre des compétences devrai-je dire. Pas mal de choses à débloquer. Le personnage ci-dessus est bien moins avancé que celui actuel (je posterai un autre mini article avant dimanche). D’ailleurs, en dessous du menu principal, on peut apercevoir de gauche à droite : le pognon, le nombre de crochets, les stats de vie, de force et d’énergie, ainsi que le niveau général du personnage (ici 2, actuellement… 3). En bas de ce menu, les améliorations de santé et d’énergie grâce à des piquouzes bien placées.

L’affreuse carte. Pas si mauvaise au fil de l’eau mais franchement moyenne à utiliser. Le zoom est presque inutile car la carte est imprécise. Lors du mini article prévu avant dimanche, je posterai une nouvelle capture de la carte.

Dommage que les développeurs n’ont pas plutôt exploité cette carte-ci pour améliorer la navigation dans la ville de Villedor.

DYING LIGHT 2 ET SON MOTEUR PHYSIQUE

Je me répète constamment mais un bon moteur physique, c’est la vie ! C’est d’ailleurs précisément ici que Dying Light (la série en général) excelle. Bien sûr des reproches sont à faire mais par rapport aux productions actuelles (FarCry 6 par exemple), le moteur physique de Techland assure parfaitement et rend le jeu bien plus intéressant et addictif. Chaque mouvement des zombis ou des ennemis humains sont parfaitement retranscrits et c’est un plaisir à chaque affrontement. Un exemple basique mais tellement joussif : si vous donnez un coup de pied à un zombi il reculera évidemment mais fera aussi reculer le zombi derrière lui avec un mouvement toujours aussi réaliste. Idem s’il se cogne contre un mur ou un meuble. Lorsque humains et zombis meurent, leur corps épouse le plus souvent le décor avec justesse. Je me focalise depuis très longtemps sur les moteurs physiques, celui de Dying Light 2 est un des meilleurs avec Red Dead Redemption 2 et GTA IV (Euphoria mixé à Rage, moteur maison de Rockstar).

Passons à quelques exemples.

Nuque courbée sur le coin du mur, jambe qui restent en angle car impossible qu’elles glissent dans cette position. Parfait. Les bras ne suivent pas parfaitement le mouvement mais cela reste excellent. Je n’imagine pas le rendu avec un autre jeu. Déjà les membres seraient dans le mur…
Les jambes tombent dans le vides mais la gravité du corps fait que celui-ci ne tombe pas. Position excellente là encore.
Presque parfait. Éjecté sur le bureau, ce zombi n’a pas traversé pour autant l’écran ni quoi que ce soit. Imperfections certainement pour la tête et les bras mais qu’importe à ce stade de finition.
Une jamble est restée sur le coffre sans pour autant le traverser. De plus, un des bras est dans le vide et cela se voit, quant à l’autre, il est coincé contre le bureau. De l’excellent boulot de Techland.
COMBATS

La baston dans Dying Light 2 est monnaie courante et les affrontements, grâce au moteur physique cité plus haut, sont géniaux. Quelques captures pour l’ambiance. Elles montrent aussi l’efficacité du moteur du jeu.

Superbe non ?

QUELQUES PROBLÈMES

Alors oui, Dying Light 2 comporte des soucis techniques et de gameplay. Tout d’abord, le plus chiant actuellement est sans nul doute ce problème de son qui survient aléatoirement pendant la partie. Un gros bourdonnement sonore comme un plantage alors que le jeu tourne encore. Impossible d’y rémédier en quittant simplement au menu principal, il faut quitter le jeu et revenir. Génial. Niveau technique, à part les petits bugs d’affichage (plutôt rares) de-ci de-là c’est plutôt bon. Niveau gameplay, c’est autre chose mais les mondes ouverts ne sont jamais exempts de défaut.

Parmi les trucs chiants, ce genre de clampins. Il faut quelque fois sauvé des survivants attachés comme des cons et prêt à être buté par des bandits (sic). Jusqu’à là rien de bien anormal mais ils gémissent inutilement quand vous butez les trois connards qui l’ennuyaient. Toujours 3 d’ailleurs, les groupes d’ennemis que vous rencontrez (humains) sont toujours en trio… Sauf si l’un d’eux (muni d’une alarme ultra chiante) arrivent à appeler des renforts. Inutile de vous dire que celui-ci doit être le premier à avoir la tête sur le sol, son corps un peu plus loin. J’en reviens à mon débile ci-dessus, autre les gémissements, ils réagissent toujours à l’identique, tous. Pour le moment, pas de femmes à secourir d’ailleurs, étrange. J’en laisserai crever quelques unes, qui paieront pour certaines.

Petit souci de gameplay là encore. Autant on peut porter des grosses bonbonnes de gaz, autant ce putain d’extincteur restera cloué au sol, intransportable. Faut croire que retirer de son mur, il prend 2 tonnes. Dommage.

Ce n’est pas forcément un problème de gameplay mais plutôt de puissance ou d’optimisation. Les corps des zombis ou humains ne restent pas et laissent leur petit paquet habituel lorsqu’ils se décomposent (moyennement rapidement). Tout comme Dying Light 1 d’ailleurs. Et bien sûr l’excellente série des Dead Island (dont le second ne devrait étrangement plus tarder).

Une nouvelle fois, pas vraiment un problème de gameplay mais plutôt une régularité un peu pénible. Comme The Division, les voitures ayant un coffre légèrement ouvert vous préviennent qu’on ne peut les ouvrir. Simple, basique. Tous les coffres fermés, ou la plupart, sont crochetables. Je ne sais pas si c’est bien français ce mot…

À chaque toit ou presque en exagérant, vous verrez ces deux personnages avec le même dialogues ou légèrement différent histoire de… Notre ami s’est fait piqué par une abeille (…) et souffre à son oeil. Déjà les abeilles ne piquent que par nécessité (pour se défendre uniquement ou protéger la ruche) et si c’était une guêpe, il se serait déjà jeté du toit. Enfin moi c’est le cas…

Celle-ci fabrique un arc. À plusieurs endroits, sur plusieurs toits de bâtiments… Discours légèrement différents là encore mais assez ridicule.

Gros problème des jeux actuels et passés aussi non ? La multiplication des décors. Ou plutôt leur clonage. Dans Dying Light 2 (et avant), les décors se répètent sans fin dans chaque immeuble, chaque lieu, partout, tout le temps. Même si la ville de Villedor reste pour le moment chouette à traverser, cela se ressent un peu trop. Cette multiplication de même élément est pénible mais tellement récurrente dans nos jeux histoire de baisser les ressources demandées au processeur, à la mémoire et à la carte graphique.

Ici, cela va au-delà du problème de gameplay. Il faut bien lire l’indice en ANGLAIS, et surtout pas la traduction française très aléatoire. Je ne comprend pas comment on peut traduire des indices qui jouent avec les mots ANGLAIS. Attention spoil car cette mission m’a gonflé. Il faut répondre par 3 chiffres.

  • Qu’est-ce qui devient plus petit lorsque tu le retournes ? UN NEUF BIEN SÛR. Car un neuf retourné fait un 6. Plus petit.
  • Un nombre impair (odd en anglais). Enlève une lettre et il devient pair (even en anglais). Là je me suis dit que ça craignait et qu’il était impossible que les traducteurs/correcteurs (déjà étranges vous verrez) aient fait correspondre l’indice anglais à notre langue. J »ai donc lu la pharse en anglais et regarder sur le net tous les nombres écrits sans les réciter comme un demeuré dans ma tête. Au début j’ai vu eleven (11). Mais ça ne collait pas avec la réponse demandée. Et c’est là que j’ai vu seven (7) et le mot positif en anglais even. Seven, vous enlevez une lettre ça fait even
  • Une petite fille va au magasin et achète une douzaine d’oeufs. Sur le chemin du retour, tous les oeufs se cassent sauf trois. Combien d’oeufs restent intacts ? Bah 3. La réponse D. Euh non 3. Normalement cette devinette est posée différemment et bien plus tordue mais bon.

Réponse : 973.

ET LE RESTE ?

Quelques autres captures avant mon premier avis sur Dying Light 2.

Certains coffres demandent beaucoup de dextérité pour aller les trouver. Celui-ci est bien haut sur un immeuble où il faudra faire preuve d’une certaine maîtrise du parkour.

Les personnages rencontrés sont aussi charismatiques que des planches à pain. Aitor sort un peu du lot, d’ailleurs sa voix française est très connue. Si l’ami Alexandre Nguyen qui double Aiden (le héro), Aitor est joué par… par ? Bah j’en sais rien mais sa voix est très connue. Si vous avez une idée…

Des défils de parkour plutôt sympas sont accessibles un peu partout sur la carte. Un bon moment pour casser du chrono à défaut d’avoir un nouvel épisode de la série Trials. Hein RedLynx ?

Un petit match ?

J’en parlerai plus tard, les moulins sont les tours de Far Cry et d’Assassin’s Creed. Et de bien d’autres jeux. Les moulins ne débloquent pas des zones sur la carte mais permettent des trucs qui me sont abscons pour le moment. Je m’y attarderai plus tard.

Bien sûr, lorsque le jour se lève (vers 7 h mais la nuit s’arrête « pour de vrai » à 8 h), les zombis brûlent paisiblement. Enfin en hurlant de douleur, c’est parfaitement horrible comme les bruitages de la ville pendant le jeu, pas dans le mauvais sens (mais redondants).

Contrairement à l’ami The Division 2, de nombreux immeubles sont accessibles. Même si les intérieurs sont quasi identiques, cela fait plaisir de fait monter l’XP. Dans Dying Light 2, comme dans le premier, il faut se balader dans la ville le jour et dans les intérieurs la nuit quand tous ces morts-vivants sont dehors. Moins dangereux ainsi.

Ce groupe de zombis me gonflait, j’ai donc balancé une lampe UV. Ils n’étaient pas contents mais qu’importe, ils sont morts peu de temps après.

Normalement pour virer les gravats, vous pouvez glisser dans ces machins pour se retrouver rapidement en bas. Marrant.

Même si le jeu n’est pas très beau à cause de sa résolution 1080p sur nos TV le plus souvent 4K, la technique est bonne et les effets corrects. Ici, totalement éblouis comme un gros débile par la lumière provenant de la fenêtre ouverte. Je n’avais pas vu ce putain de zombi…

Détendez-vous les gars je ne suis toujours pas vaccinés ! Bientôt peut-être.

Lorsqu’on voit un machin pareil, il faut être sûr d’être suffisamment équipé et en bonne santé. Le gars brûle mais en à rien à cirer, cool… Même mort, il fout les boules ce con.

PREMIER VERDICT

Autant j’étais très déçu dans mes débuts mais le jeu est tellement agréable à jouer qu’il en devient vite addictif. Le parkour est parfaitement mis en scène par cette drôle de ville sans âme (et sans jeux de mots), les combats sont jouissifs, les missions ne se ressemblent pas à part bien sûr les rencontres habituelles et régulières dans la ville et la technique, malgré cette résolution toute naze, est correcte car au moins en 60 FPS (le plus souvent). Je regrette pour le moment l’absence de pluie (comme montré pourtant sur certains trailers…) et des dialogues le plus souvent débiles, avec des doublages limites. Certains personnages sont mieux joués que d’autres mais cela reste moyen.

Alors ce Dying Light 2 est bon, très bon même, et certainement très long. Je posterai de nouvelles captures (moins de 10) avant dimanche et j’essaierai de finir le jeu ou de l’avancer grandement avant la sortie d’un certain Horizon Forbidden West qui approche de ma PS5. Hélas, vu que je n’ai pas pris la version avec lecteur (je regrette), je paierai le nouveau titre de Guerrilla Games à 80€. Alors peut-être que je vais attendre, mais je suis faible.

D’autres articles bien moins jeu vidéo sont attendus courant mars…

Salut.

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2022

Les jeux encore installés sur Xbox Series X

Hello, voici les jeux toujours installés, toujours debout, dans le disque SSD de la Series X. Prochaine liste pour les jeux PS5.

Les jeux vidéo n’occupent plus une place importante dans mes activités et il est dorénavant très rare que je m’intéresse à un jeu en particulier. Certains, comme listés ci-dessous, restent installés un peu bêtement en attente d’être, peut-être, relancés. Ma passion du jeu n’a pas changé (qu’il soit vidéo ou de société) mais je n’ai plus le temps et surtout plus les amis.

CYBERPUNK 2077

Depuis les centaines de mises à jour, Cyberpunk 2077 est resté sur ma Xbox. J’ai terminé le jeu il y a bien longtemps, peu après la sortie, avant qu’il ne soit ce qu’il est aujourd’hui. Il restait pour relancer une nouvelle partie et refaire l’aventure en profitant des améliorations sur Series X mais je pense qu’il sera bientôt supprimé.

DEAD CELLS

Comme indiqué il y a quelques jours, je joue de nouveau à ce qui était l’une de mes plus grosses surprises. Il restera peut-être par nostalgie du passé et de la découverte que j’ai adoré. Lui aussi sera supprimé si les prochaines mises à jour sont aussi étranges que les précédentes. Étranges dans le sens où elles n’apportent pas de réelles inovations dans le gameplay et rendent, je trouve, le jeu un peu fouilli.

DYING LIGHT 2

Je n’ai pas encore terminé cette suite imparfaite. Il reste donc enregistré. Cependant, je n’arrive pas à m’y remettre et je suppose qu’il a fait son temps. J’attends maintenant un certain Dead Island 2 ou une mise à jour qui pourrait rendre Dying Light 2 aussi techniquement abouti qu’un jeu new-gen.

HOTLINE MIAMI COMPILATION

Hotline Miami, c’est une longue histoire d’amour. J’ai terminé les deux titres sur PC depuis bien longtemps et je pense ne pas avoir terminé la version PlayStation (faute de temps/d’envie). Lorsqu’il est enfin arrivé sur Xbox, je me suis décidé à le refaire intégralement. Pour le moment, il est là, dans l’attente d’avoir envie.

KONA

Bientôt supprimé hélas. J’adoré Kona (la première version, non optimisée). Celle-ci est bien agréable et si vous ne connaissez pas, vous devez faire ce fabuleux jeu. Le prochain risque d’être encore meilleur ! Il faut que je trouve la motivation de le refaire mais je dois être très tranquille pour me (re)lancer dans cette histoire. Et tranquille, je ne le suis pas du tout, rien ne se passe actuellement comme prévu (d’où l’absence de régularité et la fermeture annoncée de Critikale).

MINECRAFT PREVIEW

Bêtement, j’attends toujours une mise à jour qui me ferait relancer le jeu, éternellement… Une mise à jour graphique. J’adore le style, j’adore le pixel-art en général, mais Minecraft mérite quand même mieux maintenant, en 2022 et après. Il n’est pas difficile de proposer une version plus fine et plus dense sur Series X. La version raytracing ne va certainement jamais arrivé mais j’aimerai une version 2 ou quelque chose de plus mature. De plus vaste et intéressant.

NUCLEAR THRONE

Fabuleux. Fantastique, exceptionnel, mais tellement frustrant ! Nuclear Throne est un titre qui ne risque pas d’être supprimé mais qui ne risque pas d’être terminé. Car je n’ai jamais réussi à être constant. J’avance, je recule, je ne suis pas concentré à chaque instant. Et un tel titre demande une concentration hors-pair. Si vous aimez les défis, les pixels et l’humour, foncez.

ONE FINGER DEATH PUNCH 2

Toujours pas fini c’est pourquoi il reste installé. Cela fait longtemps que ce titre marrant et ultra jouable n’a pas été lancé. Bientôt si je trouve la motivation, là encore.

POWERWASH SIMULATOR

Sur le papier, PowerWash Simulator ne brille pas. Encore un truc bizarre qu’une poignée de joueurs seulement pourrait lancer et apprécier. Pourtant nettoyer des trucs est follement reposant et ça passe le temps, cela fait oublier le quotidien. Un jeu bien foutu (optimisé) et malgré tout intéressant. Un peu de technique supplémentaire dans la gestion du jet d’eau serait un plus. En l’état c’est sympa et gagner du pognon (difficilement) permet de débloquer des trucs. PowerWash Simulator est lancé une fois par semaine environ.

SKY FORCE RELOADED

Sky Force Reloaded est une tuerie et l’un de mes jeux préférés. Il ne sera pas supprimé car je dois encore finalisé des niveaux. Or, pour ceux qui me restent (niveau très difficile), je dois être deux. Et je suis qu’un… J’espère pouvoir le poursuivre un jour pour tout débloquer. Je monterai quand même le titre prochainement.

SNOWRUNNER

Installé, désinstallé, installé… Snowrunner pourrait être un jeu qui se lance tous les jours. Hélas, malgré sa technique excellente (mais perfectible), le jeu reste chiant sur la longueur. L’absence de gestion d’entreprise ou de vie tout simplement, m’empêche de m’amuser à 100 %. J’aurai tellement aimé un jeu de simulation, de gestion, couplé à l’excellent moteur physique de Snowrunner.

STARDEW VALLEY

Impossible de supprimer le jeu qui m’a tenu de longues heures devant la console et SURTOUT, qui a pu m’empêcher de me suicider à quelques reprises… Oui carrément. Stardew Valley est arrivé à point nommé et le titre de ConcernedApe est absolument divin. Il n’est plus lancé sur ma Xbox (ni sur PC) mais fait quelque fois son retour pendant l’hiver, j’ignore pourquoi.

THE DIVISION 2

Dernier jeu de cette liste, c’est étrangement celui-ci qui tourne le plus en ce moment. Pour une seule raison : je ne l’ai jamais terminé pour d’obscures raisons. Cette fois-ci c’est la bonne et j’espère que je vais trouver le « courage » de continuer d’enchaîner les missions et enfin je finir le deuxième titre de cette superbe franchise (surtout en coop hélas…).

Voilou. Liste des jeux PS5 peut-être demain soir tard ou dimanche. Sur PS5 je joue au fabuleux et tellement reposant Toem (existe sur Steam). Sur PC, j’ai lancé Valheim car gratuit grâce au Game Pass.

Critikale continue ses petits articles avant de couper court à cette mascarade dans quelque temps.

Salut.

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2022

Elisabeth II ne serait pas morte, mais bien décédée

On peut se demander la différence entre être mort et être décédé. C’est la question que je me suis posé. Je me dis toujours qu’il y a forcément une différence, puisque le mot n’est pas identique...

Un drôle d’article sur Critikale que celui-ci. Premièrement, cet article existe malgré la fermeture du site. Car oui, le site est fermé. J’ai cependant quelques petites choses à dire avant l’arrêt du nom de domaine et de son nom, tout court (juin 2023). C’est loin juin 2023 et je ne pense pas tenir jusqu’à cette date, mais malgré tout, une poignée de trucs inutiles sera diffusée sur ce site.

Être mort, en plus de ne pas être forcément cool pour tout le monde, c’est ne plus vivre quelque soit la raison. Ce gars est mort parce qu’il s’est fait coupé en deux par une scie géante. Cet autre gars est mort d’un cancer soudain qui a bouffé ses organes d’un coup, le copain d’en face est mort parce qu’il a rencontré malencontreusement la lame d’une hache en haut de son crâne. Et ce dernier, au fond là-bas, est mort d’une morsure d’un serpent forcément très venimeux. Bref, vous l’avez compris, ils sont tous morts. Mais pourtant ils ne sont pas décédés.

Car nos bonshommes ci-dessus ne sont pas mort d’une mort naturelle. Voilà le truc. Étre décédé, c’est mourir naturellement, de vieillesse donc. Quand le coeur dit stop, dit « houlala, c’en est trop ». Alors ce drôle de titre cache un article de Le Monde. Cet article titre « La reine Elizabeth II est morte de « vieillesse », d’après son certificat de décès« . On ne parlera pas du mot vieillesse balancé entre guillemets dans la phrase mais plutôt du petit ton fautif de ce titre. De nombreux lecteurs se demanderaient le pourquoi du titre suivant : Elisabeth II ne serait pas morte, mais bien décédée. J’ignore si, très précisément, dire de quelqu’un qu’il est mort de vieillesse n’est pas en fin de compte prendre les gens pour des débiles. Car cela vient à traduire un verbe devenu rare (décéder) en incorporant dans le texte sa définition la plus évidente, le fait que Elisabeth II soit décédée, et donc bien morte de vieillesse… Notons qu’en latin classique, décéder se traduit par decedere signifiant quitter.

Tout cela pour dire que je suis fou. Fou car je me pose tous les jours de très nombreuses questions étranges, des questions basiques le plus souvent, mais qui me font avancer et apprendre dans ma petite vie de merde. Qu’en pensez-vous, est-ce une faute de titrer ainsi l’article de Le Monde ? Comment celui-ci devrait être tourné ? Non je ne finis pas mon article aussi bêtement que certains articles où des questions sont posées à la fin pour inciter les lecteurs à commenter. C’est surtout des questions que vous devez vous poser.

Pour Critikale, je posterai un article par semaine, le plus souvent le dimanche, celui-ci résumera ma semaine (de tous types…) et aura le plus souvent le même titre numéroté. Critikale Mag (abandonné depuis longtemps, mais toujours téléchargeable) sera peut-être de retour comme un bulletin d’info à la con.

Salut.

PS : les mots latins (qui vont devenir nombreux sur Critikale) seront toujours en blanc sur fond violet.
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2022

Article n° 1993

C’est le 1993e article sur Critikale et le dernier.

Non, ce n’est pas un article noir. Ce n’est pas un article négatif ou mentionnant plusieurs événements qui m’emmerdent au plus haut point. Une fermeture très douce après presque 2000 articles écrits sur un site qui n’a plus de sens dorénavant.

Des jeux, des trucs étranges et intéressants, des actus étonnantes et passionnantes, il y en aura toujours davantage. Critikale aurait pu continuer à débiter mes conneries sans avancer dans un monde que je ne saisi plus. L’âge peut-être. Je n’attends plus rien du monde et je vais ainsi me concentrer sur la suite de ma vie. Sur le peu d’énergie que je porte encore en moi afin de trouver une autre voix, un autre chemin que celui de la mort.

Critikale restera en ligne jusqu’à l’expiration de son hébergement ainsi que son nom de domaine. Sera t-il de retour un jour ? Si tel est le cas cela signifiera un changement radical dans ma vie.

Tout ce que j’ai à dire est MERCI. Merci pour les visiteurs silencieux (car il y en a des visites), merci d’avoir réagi à tout ça, depuis 2005 ou après. La suite ne sera pas sur mon site adoré, juste dans ma tête.

Au revoir.

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2022

Du jeu pour le maintien de Critikale

Absolument rien à secouer d’allumer la console ces temps-ci, rien à secouer de faire quoi que ce soit d’ailleurs. Mais j’essaie des trucs pour m’occuper l’esprit, qui a grandement besoin d’une pause.

Ci-dessous, quelques jeux pour la rigolade. Critikale reste en berne jusqu’en novembre (comme écrit dans un article précédent) mais je posterai quelques trucs d’ici là histoire de maintenir le site éveillé, sinon ce sera la fin.

DEAD CELLS (Xbox Series X)

Sélectionné en image de mise en avant, ce bon vieux Dead Cells fait son retour sur Critikale. Il sera d’ailleurs présent sur Critikale car je n’ai pas vu d’article sur ce jeu sur mon site… Me trompe-je ? Malgré les mises à jour à répétition qui ne sont pas à la hauteur de ce chef d’oeuvre, Dead Cells va revenir hanter Critikale avant la fin de l’année (histoire de faire un point). Je n’ai toujours que 2 cellules de boss (1 cellule et ainsi de suite en activant la première cellule, puis la deuxième…).

L’humour de bon goût est toujours présent. La multiplication des possiblités est déroutante et je n’accroche pas à toutes les directions prises par Motion Twin.

Le jeu reste fidèle à lui-même : jouable, intéressant et complet (…). Dead Cells arrivera enfin sur Critikale car j’avoue ne pas comprendre pourquoi il n’apparait pas sur mes autres articles plus anciens, une erreur de mise à jour ? En tout cas j’aurai juré avoir écrit un truc sur ce jeu mais impossible de remettre la main sur les articles. Ce sera réparé bientôt.

DISNEY DREAMLIGHT VALLEY (Xbox Series X – Game Pass)

Ha ha ! Je n’en attendais rien et je ne suis pas déçu.

Le jeu respecte (forcément) la patte Disney. Les personnages sont nombreux, le jeu est joli, l’aventure promet d’être intéressante, tranquille. Mais alors ? L’animation est déplorable. Le jeu rame suffisamment pour être chiant et les animations du personnage principal sont grotesques. Un jeu certainement cool pour les partisans de Disney… Je dois juste être bien trop exigeant maintenant. À essayer…

YOU SUCK AT PARKING (Xbox Series X – Game Pass)

Un jeu qui devait être téléchargé tant j’accorde une grande importance au skill demandé dans ce genre de titre (et aux chronos). Hélas, tout n’est pas parfait.

La jouabilité est plutôt bonne. Il faut s’habituer à l’inertie du véhicule (quelque peu étrange) mais ça roule quand même (blague inside). Notons que la voiture ne peut pas faire marche arrière (moi qui pensait faire des créneaux incroyables !). Une fois la voiture à l’arrêt, c’est perdu, il faut être précis pour se garer.

La boutique… So 2022 (et même avant. Des packs à la con, des cosmétiques, de la merde en barre. Mais toujours utile pour ceux qui aiment.

METAL HELLSINGER (Xbox Series X – Game Pass)

Ma mémoire me joue des tours, j’avais déjà téléchargé le démo de ce truc. Truc car la jouabilité est franchement bizarre. J’adore les jeux de rythmes mais là je n’y arrive pas. Il faut certainement comprendre le truc, le rythme justement, pour jouer correctement et maintenir un quelconque intérêt pour ce jeu.

Toujours cette éternelle capture (la seule que j’ai effectué pour ce titre, ce qui signifie beaucoup…) et cette PUTAIN de visée automatique que j’ai désactivé. Je le répète, la visée automatique déjà coché témoigne forcément d’une jouabilité à deux balles cinquante. Et encore.

NI NO KUNI REMASTERED (Xbox Series X – Game Pass)

Mmh, je ne m’attendais à rien (oui comme le jeu Disney) mais là je suis agréablement surpris. Je ne connais pas la série et les jeux japonais avec sous-titre français ne me dérangent pas (étrangement vu que je ne suis pas fan des jeux VOSTFR). Bref, un petit jeu d’aventure qui a l’air sympa mais je ne pense pas avoir le temps de m’y essayer. Foncez donc. Surtout si la série est bonne (ce que j’ignore).

Jolis graphismes, monde réaliste et détaillé, personnages attachants, menus sobres et pratiques, bruitages et musiques très corrects… Du bon je vous dis.

Ce n’est qu’en commençant le jeu qu’on peut baisser le volume hallucinant de la musique et des bruitages en général. Je vire toujours les vibrations (inutiles dans mon cas) et le reste des options est du basique.

Les séquences animées sont très chouettes.

Un article sur des jeux alors que Critikale doit revenir qu’en novembre 2022 est tout à fait étonnant non ? En fait pas du tout. Écrire me fait oublier mon inanité.

À plus, ou pas du tout.

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2022

Le coup de cafard final ?

Vous le savez, Critikale est en ligne depuis 2005 (sous le nom de Killmyself, puis de Rijkaan…). Cependant mes journées étant de plus en plus complexes, il est temps de faire le point.

Critikale a toujours été présent, malgré ses constantes fermetures et ainsi ma versatilité. Présent pour qui ?

Pour ceux qui apprécient mes écrits ?

Toutes les personnes qui ont un attachement particulier à ma drôle de vie scrutent certainement les moindres infos sur ce site, à la recherche d’un paragraphe parlant de ma petite personne et de ce que je fais en ce moment. Ils ont été séduits à un moment donné par quelques textes et reviennent régulièrement.

Pour les curieux ?

Les curieux sont ceux qui ne me connaissent pas, jamais croisés, ou par hasard entre les rayons d’un supermarché, d’anciens collègues… C’est devenu une habitude, un truc qui lisent de temps en temps, en train de pousser sur leur trône, ou pendant une publicité. Un petit aller sur Critikale, on regarde, vite-fait et on se dit que notre propre vie est bien meilleure que celle de ce bouffon.

Pour les ennemis ?

Des ennemis, tout le monde en a. Ou presque. Ici ennemi est un mot vaste, complexe. Dans tous les cas, ces visiteurs réguliers attendent le moindre article pénible pour ma part afin de se satisfaire de leur haine envers moi. Qu’ils se rassurent, l’année 2022 n’est pas simple du tout.

Pour des liens ?

Non point de liens amicaux mais des liens sur d’autres sites, une recherche Google, une image qui renvoie sur l’un de mes articles foireux. Ceux-là passent, gentiment, lisent ou non ce qu’ils ont en face, et reprennent le chemin des recherches Internet ou de YouTube. Ils oublient Critikale bien vite ou, de temps en temps, cliquent sur Favori pour me suivre quelque temps.

Pour mes amis ?

Ceux-là, j’en parle de temps en temps sur mon site et il faut maintenant une explication.

Je dis souvent que je n’ai pas d’amis, ce qui n’est pas le cas mais il y a un sens tout particulier à ce mot qui m’empêche de le penser, de le reconnaître. C’est la raison pour laquelle la citation de Jules Renard « Il n’y a pas d’amis, il n’y a que des moments d’amitié » est tellement vraie. Je pense avoir des amis, en effet, des gens pour lesquels je peux compter, qui connaissent relativement ma vie, et surtout qui peuvent être certains que je serai là pour n’importe quelle raison, qu’il suffit de me demander. Ces amis là sont réels certainement mais je ne les vois pas, jamais. On vit des vies détachées, seuls de notre côté mais c’est justement là où mon coup de cafard est tellement immense.

Ces amis souhaitent savoir si tout roule, si malgré mes plaintes et mes envies suicidaires je suis toujours là, à mettre à jour cet étrange site et à débiter des conneries. On ne m’a pas appris à être heureux, en d’autres termes, on ne pas pas montrés que la vie pouvait être belle, je me suis renfermé totalement d’année en année et je ne peux plus sortir du sentier qui me mène à la fin.

C’est donc la fin de tout ?

Pas exactement. Ce n’est pas la fin de Critikale car je ne me suis pas emmerdé à remettre en ligne les images de mise en avant pour fermer ensuite mon site. Critikale reste en ligne et d’autres articles arriveront. La durée de cette pause devrait être de deux mois, le temps de réfléchir (grandement). Je pense qu’un nouvel article apparaîtra gentiment vers le 1er novembre 2022. Je ne joue à rien en ce moment (j’ai pourtant le choix) et mes soucis externes ne sont pas simples à gérer, trop complexes pour être serein. Alors je vous donne rendez-vous début novembre pour plusieurs articles (normalement) sur divers jeux vidéo (sur les supports habituels), de divers jeux de société (Counter Attack, Blood Bowl Seconde Saison, Kill Team…) et bien sûr d’actualité en général (et de dessins idiots).

À force de résister, je vais finir par m’écrouler en silence.

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2022

Fumisteries et âme en pause

En cette année étrange et terriblement stressante, je subis quelques travers qui me ronge petit à petit le moral et m’entraîne vers un vide sans fin.

En ce moment, alors que tout devrait rouler tranquillement vers la fin d’année, des mauvaises choses se passent au travail, et d’autres choses très mauvaises dans la vie privée. Au travail, ce sont des changements consécutifs, étranges, qui me pousse vers un avenir incertain, où je vais peut-être enfin changer de direction. Le chemin que je suis depuis des lustres n’a jamais été le bon et peut-être vais-je enfin me réveiller et prendre le taureau par les couilles, les cornes pardon. Dans la vie privée, sans rentrer dans tous les détails, ils sont nombreux, je subis là encore les errements de professionnels me ruinant mon planning de cette fin d’année. Planning assez rigide afin de glisser sur cette fin d’année 2022 le moins fébrilement possible. En gros, des travaux dans mon logement m’empêche totalement d’être serein et me stresse continuellement. Le mois de septembre sera décisif et j’espère qu’octobre verra mon planning revenir comme il était prévu…

Critikale continue ses mises à jour d’images de mise en avant. L’année 2008 étant affreusement longue (et 2007 aussi il me semble), je mets énormément de temps même si WordPress est simple pour ces actions. Des nouvelles j’espère bientôt avec quelques jeux (Steam, Xbox Series X ou PS5) et du jeu de société, que je m’obstine à porter un quelconque intérêt alors que je n’ai plus de joueurs, et pire plus d’amis, en face.

Les jours qui suivent seront complexes.

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2022

Les jeux attendus de septembre et octobre 2022

Ci-dessous la poignée de jeux que j’attends avant début 2023, que ce soit sur Xbox, PlayStation ou PC. La liste montre surtout les jeux qui seront suceptibles d’être présentés sur Critikale. Si le jeu est dispo sur PS5 et Xbox Series X je choisi souvent cette dernière car je préfère (de loin) la manette. Même si la manette DualSense est une sacrée amélioration.

SEPTEMBRE

02/09/2022THE LAST OF US PART I (PS5) • Version remastérisée trop chère pour ma PS5 tout dématérialisée donc j’attendrai des prix plus doux ou l’intégration au PS+ Premium (l’un des abonnements qui sera terminé en 2023 parmi de nombreux autres).

30/09/2022FIFA 23 (Xbox Series X) • Je n’achète jamais de jeu de sports, et certainement pas de jeu de football. Mais je scrute toujours attentivement les sorties pour savoir si l’un d’entres eux me fera les mêmes sensations que PES 5 ou PES 6. J’en doute mais tous les ans j’y crois. La nostalgie, encore elle, n’a rien de bon.

OCTOBRE

13/10/2022WRC GENERATIONS (Xbox Series X) • La série WRC reste une curiosité qui soutient un certain gage de qualité à chaque version. Je vais zieuter celle-ci avec une certaine attention.

18/10/2022A PLAGUE TALE : REQUIEM (Xbox Series X – Game Pass) • Dispo logiquement day one dans le Game Pass, je jouerai peut-être à cette suite. Peut-être.

21/10/2022 • SCORN (Xbox Series X) • Intriguant. J’attends les premiers avis ou des vidéos plus explicites.

C’est nul, c’est clairement nul.

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2022

NHL 23 (bêta fermée)

Bien sûr, aucune autorisation de EA de publier des captures d’écran de cette première bêta fermée de NHL 23 (Xbox Series X).

Vous commencez par le savoir, je joue à la série d’Electronic Arts depuis 1991 (sur Megadrive avec NHL Hockey) et à bien d’autres jeux de hockey sur glace avant cette date (Blades of Steel en 1988 sur Nes). Je suis passé par certains autres titres (Face-Off, excellent) et bien sûr l’extraordinaire série des NHL 2K (la crème des des jeux de hockey). Ce NHL 23, je l’attends, bien sûr. Mais pas autant que les opus précédents mais avec une certaine curiosité face à un NHL 22 qui reste le meilleur de cette série (il était temps). La nostalgie me fera dire le contraire et je garde mes plus beaux sentiments à NHL 95 (celui où j’ai passé le plus de temps) et au très rare NHL 98 sur Megadrive.

La bêta fermée de NHL 23, comme toutes les bêta (mot invariable) fermées de EA se déroule uniquement à l’extérieur, en 3 contre 3 le plus souvent. Et en ligne exclusivement. Je ne joue quasiment jamais en ligne, et plus en local (…) mais je me devais d’essayer cette bêta étant inscrit depuis les premiers jours au formulaire annuel habituel (un formulaire dit annuel peut-être être inhabituel ?). Bref… Que pensez de ce nouveau NHL d’EA ?

Tout d’abord, l’habillage, ce que l’on voit en premier. Fidèle aux habitudes, sélection de la langue (aucune prise en compte de la langue de la console, est-ce souhaité ?) et direction la création de votre avatar. On change quelques trucs, peu, vu qu’il faut gagner des sacs de sports bourrés de différents items, bonus et autres trucs basiques en 2022. Les menus sont fluides (pas comme les dernières versions, même NHL 22) et on peut lancer une partie vite-fait histoire de voir si le moteur Frosbite (lancé en grande pompe depuis la version précédente) est efficace et surtout mis à jour pour ce sport… Et bien oui. Les joueurs se déplacent davantage avec nervosité (plus que l’année passée) et tout est plus beau, plus fluide, plus coloré, avec des visages légèrement améliorés (pas compliqué).

C’est donc un premier essai concluant et j’attends la prochaine bêta fermée plus la bêta ouverte avec impatience, malgré tout. Si EA se reserve la même structure de démos qu’anciennement. Un NHL 23 à surveiller mais qui ne m’enveloppera pas dans une nouvelle saison où je prendrais du plaisir, je ne pense pas. Je crois, hélas, et j’y reviendrai, que prendre du plaisir avec un jeu est terminé.

Espérons que non.

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2022

Des nouvelles bientôt

Quelques petites nouvelles prochainement sur Critikale. Mes vacances approchent et même si je serai fortement occupé, je posterai ici-même une poignée de trucs inutiles et ridicules comme toujours.

Le site poursuit sa pause car j’ai trop de trucs à faire à côté. Notons que les vidéos promises sur Critikale arriveront en septembre (ou fin août) mais ne seront pas les tests habituels comme tout ce qui traîne sur Internet. Pour la fin de semaine, ce sera une giboulée de jeux divers dont deux découvertes sur PS5 : Ghost of Tsushima et Returnal. Peu de news sur Xbox mais je mettrai en ligne un peu de contenu.

À plus.

PS : la grande restructuration de Critikale approche.

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2022

La gentillesse comme signe de faiblesse

Je suis quelqu’un de foncièrement gentil, j’arrondi les angles, je manipule mes mots, j’essaie que toutes et tous se sentent en confort, je n’ouvre pas ma gueule de peur de blesser, d’engrendrer de la tristesse chez les gens, ces incroyables gens.

C’est terminé. J’en fais toujours trop, je ne pense jamais à moi, je n’arrive pas à m’identifier en tant que vivant dans cette vie, comme si j’étais une silhouette qui souhaite raccorder les hommes et les femmes ensemble, les serrer dans un nuage de gentillesse et dans un tourbillon d’étreintes. Cependant, cela affecte de plus en plus ma vie et ma santé.

Il faut toujours que j’aille dans le sens de tous, sans aller dans le mien, sans suivre ma voie. D’un chemin déjà bien pénible, j’arrive à des pentes sans fin et des fosses béantes que je me dois de franchir avec souvent de grandes difficultés et des bouts de vie massacrés. J’offre les plus beaux cadeaux, presque ridicules tellement c’est trop, mes belles intentions sont rarement découvertes et j’agis dans le noir le plus total, comme une ombre triste qui trace un sourire ridicule sur un visage déjà transparent.

J’ai eu 45 ans il y a peu. Le nombre risible de personne m’ayant souhaité mon anniversaire accompagne facilement ce texte de la dernière chance. Les amis, la famille, quelques collègues, tout ce beau monde, me souhaite une belle journée. Ils ne savent pas que chaque minute est une souffrance bien supérieure à celle déjà grandiose du jour passé. Je me sens inférieur à tous les niveaux, chaque personne que je croise doit certainement être mille fois supérieure à cette bonne pomme qui a perdu son énergie. Ce fruit moisi qui ne rebondi plus, non sans laisser à chaque rebond un bout de lui-même. En suintant, saignant, distillant son âme au moindre maigre choc.

Dès demain – it’s monday! – je vais essayer une autre technique pour communiquer. Un truc plus en accord avec le monde auquel je me grangrène. Quelque chose de plus familier pour mes interlocuteurs, pour tout le monde.

Critikale reviendra très bientôt 2 fois par semaine. Je pense à partir du lundi 27 juin. Je vais m’y forcer. Là encore, c’est un essai histoire de maintenir le site en ligne et d’arriver à une écriture régulière. 1 article sur les jeux vidéo et un autre sur d’autres trucs. Je parlerai de plusieurs titres (d’où l’absence maintenant de personnalisation des images en avant) et uniquement en vidéo d’un seul titre (ce qui arrivera en septembre si tout va bien…).

Sur ce, bon dimanche sur vos applaudissements.

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