2007

Mon taudis

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J’en parle rapidement dans mon « Qui suis-je ? », mon appartement est un vrai taudis. C’est une horreur, pour de vrai. J’ai pris quelques captures avec mon petit appareil photo pour que vous jugiez vous-même, âmes sensibles s’abstenir ! C’est toujours agréable de rentrer du boulot et voir cet appartement à deux balles (512 euros pardon).

L’agence immobilière Gestrim reste indifférente à mes problèmes de logement et s’obstine à faire la sourde oreille. Idem pour ma propriétaire qui ne veut faire aucun aménagement, ni même changer une fenêtre. Voici, ci-dessous, quelques photos plus parlantes que de simples mots. Petite parenthèse, le nettoyage de l’appartement est très régulier (je suis très tatillon) mais même avec ça, la poussière s’incruste et la saleté est de plus en plus présente. État des lieux…

Les toilettes (lavées régulièrement pourtant) est certainement le pire. Mon installation (que vous voyez avec l’élastique) est primordiale vu que la chasse d’eau est pratiquement inexistante. Le fond de la cuve était beaucoup plus noire avant mes nombreux coups de gratounette (et les 10.000 pastilles de Javel). Dans deux jours, les toilettes seront de nouveau noires.

Les plafonds se fendent de plus en plus. Une plaque est même tombée il y a un an, la suite ce sera quoi ?

Le papier commençait à se décoller bizarrement et mes chattes reniflaient toujours au même endroit. Pas étonnant, l’air s’infiltre et la moisissure commence à progresser.

L’espèce de lustre dans la cuisine commence à tomber car une fissure (qui n’était pas présente lors de mon déménagement en 2004) s’étend de presque un mètre (jusqu’au mur de la salle).

Il y a aucune isolation dans mon bel appartement. En gros, il fait 20°C en été (pas trop chiant) mais 5°C en Hiver). Les fenêtres et les murs n’arrêtent pas l’air de dehors et le chauffage n’arrange rien vu qu’il fonctionne une fois sur quinze.

Oui, vous voyez bien. Il n’y a plus de poignée. Celle-ci est restée dans mes mains il y a deux semaines. Impossible pour autant de changer la poignée car rien n’est aux normes françaises (l’immeuble date de 1978). Comment faire ?

Allez, je finis par une note optimiste… Malgré mon toit cauchemardesque, je peux reposer mon poignet sur l’espèce de nounours tout mou que ma moitié m’a acheté, elle a toujours de bonnes idées…

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