2008
La tuile d’octobre
Il fallait s’en douter, rien de vraiment chiant s’est passé depuis quelques mois. Aujourd’hui, je finissais le boulot à 16 heures, je vais voir vite-fait l’ami Anthologik et Lorus histoire de papoter un peu. Le premier n’étant pas disponible et après quelques mots et conseils avec le second, je me barre de mon boulot, tranquille, sans penser un seul instant que ma voiture ferait un bond monumental juste après, à quelques mètres de là.
En effet, souhaitant éviter un véhicule arrêté net à cause d’une conne devant, j’ai tourné comme un con à gauche et heurter de plein fouet le gigantesque (!) terre-plein à côté (séparant les deux routes donc). Attéri peu après sur la route d’en face, je sors de ma bagnole et constate que les deux débiles se sont cassés. Qu’importe, il fallait être maître de son véhicule… Pourquoi n’ai-je pas pillé comme un gros porc ? Bref, mon enjoliveur a volé, la jante est morte, le pneu est mort et le triangle gauche est bousillé. Joie.
50 mètres plus tard, Norauto me sort la douloureuse, 310 euros. Ha ha. Devant passé chez un autre garagiste (pour d’autres réparation comme le silencieux intermédiaire et l’embrayage…), je vais demander un autre devis pour cette attaque de terre-plein. Je suis ravi. Comme une phrase qui résonne dorénavant dans ma tête, je me dis « ce qui te tue pas te rend plus fort ». C’est pas faux. Ou pas.
Sinon, sympa votre journée ?