2009

Après 4 heures de Prototype

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Avant de parler de Prototype, le logo comporte une erreur gravissime pour moi… Les deux I ne sont pas symétriques, enfin pas exactement selon mes termes. En effet, ils ne sont pas identiques. Le I de gauche est plus étroit. Cette bévue sera modifiée ce soir (il est minuit passé) et le header sera certainement modifié lui aussi pour quelque chose de plus gai. Même si j’aime bien ce dernier, ça reste trop sombre.

Parlons maintenant de Prototype voulez-vous. Au départ très déçu par le jeu, je suis maintenant satisfait. Je reste cependant certain que le teasing à son sujet cachait bel et bien un jeu assez vide. L’histoire est simple, des gens sont infectés, vous ne vous souvenez plus de votre passé, une ex vous aide à retrouver la mémoire pour savoir qui vous a rendu tel que vous êtes. À savoir un peu surhumain. En gros, et sans longue énumération, vous pouvez sautez d’immeuble en immeuble, tuez n’importe qui, atterrir après une chute de plusieurs centaines de mètre sans avoir d’égratinure aux chevilles. Génial quoi. Vous pouvez ausis soulever n’impote quel véhicule (par les bus pour l’instant) et les lancer à plusieurs dizaines de mètre… Mise à part cette copie conforme de Crackdown (les parcours sur les immeubles et les orbes à trouver en plus !), vous devez vous acquitter d’une belle poignée de mission (visiblement). Allant de la chiante infiltration dans une base à la destruction de nids. Lorsqu’on parle ici d’infiltration, c’est à la sauce Prototype. En, gros, c’est toujours le même truc. Vous assimilez un garde, prenez le contrôle d’un Commandant, et entrez dans la base ni vu ni connu. Vous faites quelques mètres à pied et vous vous retransformer en Alex Mercer, en vous quoi. Là, comme par magie et même si vous avez fait le coup des millions de fois, les gardes vous perdent comme des blaireaux.

Contrairement au mauvais test de Jeuxvideo.fr, le jeu n’est pas d’une jouabilité imprécise. Faut-il savoir se servir d’une manette, et leur relative lenteur du héros me fait mourir de rire… Il est vrai par contre qu’il est franchement chiant à la longue et que les messieurs d’Activision ont loupé le coche. Même si j’aime bien plus que mes premiers bonds dans cette ville de New York (la même que GTA sans les pentes et les côtes…), il est loin d’être le jeu que j’attendais impatiemment. Pour terminer, et pour reprendre ma dernière phrase, il n’y a effectivement pas de relief pour les routes (que dans le parc). Le moteur physique peut ainsi être parfaitement fluide. Je vais bien vite me remettre à Mass Effect et soyons fous, Beautiful Katamari (il a tourné 5 minutes depuis son achat).

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