2010

Fatigue et footballeur américain

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J’ai un monstrueux coup de barre depuis hier et ça ne s’arrange pas. Je n’arrive pas à reprendre du poil de la bête même avec mon traitement pour une étonnante laryngite. Je tombe malade assez souvent depuis ma mononucléose en juin dernier. Bref, ce n’est pas la forme et à 4 jours de mon anniversaire, c’est un peu couillon.

J’ai bel et bien testé Backbreaker (peu de temps, le temps que mes yeux restent ouverts) et c’est… spécial. Le tutoriel, comme entrevu dans la démo est plutôt sympa mais trop facile et sans véritable challenge. Les menus glissent sans problème. Le tutoriel est placé en premier ce qui est un peu stupide vu qu’on le finit rapidement et qu’on y revient plus (le menu aurait dû être placé dans les options par exemple). J’ai essayé rapidement de créer une équipe. Les premiers moments sont assez pénibles car les menus en anglais sont certes simples mais pas franchement ergonomiques. Malgré ça, on s’habitue somme toute rapidement et on découvre avec étonnement que la création du logo est du même acabit que Forza Motorsport ! C’est plutôt un très bon point et on peut même importer les logos des autres équipes fictives pour savoir comment les développeurs les ont créés (avec le même éditeur). Par contre, inutile de penser modifier le physique des joueurs car juste les prenoms, noms, couleur de peau, numéro, sont éditables. Je n’ai pas encore lancé de saison mais ça ne devrait pas tarder (demain soir ?). Espérons que les statistiques sont au rendez-vous. En fait, Backbreaker souffre du syndrôme du premier jeu. Les défauts visibles sont très simples à corriger dans un second opus (ou deuxième s’ils pensent en faire un troisième… vous me suivez ?). Test définitif bientôt.

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