2010

À Dijon, tu ne passeras pas

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Ville de bourgeois mais aussi de bonnes personnes, Dijon est certainement un lieu où il fait bon vivre. Enfin… pas pour l’instant, attendons 2012.

Tout d’abord, commençons par deux photos prises ce jour.

Sur la première image, une question se pose… Serez-vous capable de voir une légère interdiction ? Sur la deuxième, le questionnement des riverains suite aux travaux de ce quartier de Dijon témoigne de leur petite haine envers le maire, les politicards et l’ambiance générale de la ville. C’est toujours pareil, lorsque les travaux seront terminés, on se dira « tiens, c’est mieux maintenant ». Hélas, personne ne nous demande un quelconque avis. Personne dépose délicatement dans nos boites aux lettres une simple feuille de papier avec un site Internet où on pourrait donner son avis sur d’éventuels travaux futurs. Non non… Rien de tout cela. Je me suis levé un matin avec les saloperies de bip des camions faisant marche-arrière. Je me suis levé un autre matin avec pour seule route accessible, une zone dévastée et fort périlleuse pour mes pneus, déjà en piteux état. Je suis revenu du boulot sans pouvoir me garer vu que le parking est en sens interdit ! C’est presque comique.

J’ignore, comme l’affirme les grafitis sur les panneaux, si la corruption est là-dessous mais une chose est sûre, c’est une question de fric. Au moins, l’idéal dans ces cas-là et c’est le dicton de Critikale (qui va revenir avec le nouvel header d’ailleurs), est de prévenir les habitants bien à l’avance (comme les coupures d’électricité ou autre) et de leur faire COMPRENDRE le pourquoi du comment. Et surtout, quelle est l’utilité de mettre des feux alors que ces carrefours fonctionnent parfaitement sans.

Notons que le Super U juste à côté (à droite sur la première photo) est ouvert le dimanche, l’aménagement des lieux aurait-il une coïncidence ? La suite bientôt…

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