2011

Happy birthday to me

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Nous sommes le 14 juin 2011 et contre toute attente, j’ai réussi à avoir 34 ans, comprenne qui pourra. Une année s’est écoulée et de nombreuses choses ont changé. Je commence, bien sûr, par les remerciements habituels en ce mardi plutôt calme.

En premier, sur un piédestal, merci à ma moitié, Lili, qui, avec son unique présence suffit à me tenir debout, éveillé, dans un monde qui ne me ressemble pas, qui ne me convient pas. Rempli de gens que je n’apprécie pas se mélangeant avec mes êtres chers, mes amis, mes potes.  Merci à ma chérie d’être là en ce 14 juin et à soutenir mon souffle de vie, ma barque certes trouée mais qui avance doucement.

Gigantesque merci à mon frère qui m’a envoyé un texto à 6h45 avec de simples mots qui m’ont touché, simplement, comme sait le faire mon gagouille. Merci à sa femme et à mon neveu Louis (qui passe en CP, chouette !) pour leur message vocal malgré la distance qui nous séparent.

Lors d’une magique partie de Horde à Gears of War 2 (les statistiques seront mises à jour jeudi les enfants !), deux p’tits gars m’ont souhaité mon anniversaire très tôt (peu après minuit ce 14 juin). Un grand merci donc à Raph et à Dimitri. Raph, toi, mon ami, mon grand ami, mon petit frère, qui m’apporte la gaieté et l’énergie d’avancer, de connaître le jour d’après. Merci aussi à Dimitri, un petit nouveau, qui vient s’incruster dans ces pages et surtout dans ce happy birthday to me. Merci à toi, d’être toi. Et par une jolie extension, merci à Estelle, sa femme, d’avoir du goût car sans ce goût subtil, je ne vous aurai pas connu tous les deux.

Un autre merci, particulier, unique. Un merci à mon Fav’ qui découvre Internet depuis peu. Mieux vaut tard que jamais. Tu restes et resteras l’ami d’enfance, mon pote, mon double. L’unique favelfoor. Merci pour tes mails et ton texto, mon cœur se réchauffe un peu et vire cette saloperie de grippe qui me tenaille depuis samedi. Très pressé de te voir dans quelques jours.

Merci, et merci beaucoup, à ma bouboune, ma mère, l’art et la manière d’aimer ses enfants. Tu ne connaitras peut-être jamais les joies du Net et des spams mais ces mots sont inscrits dans le cache de Google et Google va exister pendant très longtemps alors… Merci ma maman, mot que je ne dis jamais car je trouve ça péjoratif.

Mille mercis à mes beaux parents avec qui je noue des liens particuliers et qui m’apporte un soutien qu’il ne juge pas forcément, ou que mon visage ne dévoile pas suffisamment. Des millions de mercis. Et je n’oublie pas le petit frère, l’unique petit bonhomme Ben, alias Tête de Gomme. Merci, tu es de plus en plus un homme et te voir mûrir à ce point m’impressionne chaque jour, quand je te vois…

D’autres remerciements plus légers mais importants à Stéphouille, collègue de boulot et confidente pour les choses obscures de ma vie. Merci à Fabrice, ton énergie me manquera énormément. Merci aussi à Thierry et Claudie et d’autres que j’oublie forcément vu l’irrégularité de leur amitié.

Remerciement spécial à mon père, malgré nos différends tu restes dans un coin de ma vie. Malgré aussi le fait que je m’étais juré de nier toute conversation avec toi… Merci quand même, merci beaucoup même. Un autre merci à ma petite sœur Marion, qui grandit de jour en jour et qui est plus belle d’heure en heure.

J’oublie des gens, certainement, l’émotion peut-être ou ma mémoire à deux balles. Ce sera corrigé si j’y pense.

Une année sans réelle joie, une année de plus sans enfant avec ce mal qui me ronge le cœur mais surtout l’esprit. Je vous donne rendez-vous dans quelques jours pour des mises à jour plus standards et vous laisse sur ces mots :

Merci à tous pour votre gentillesse, et n’oubliez pas, vous serez fier de connaître Critikale bientôt…

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