2013
Un peu le bordel tout de même
Plus une goutte d’huile dans ma voiture, un monde qui ne tourne pas rond, un bureau ouvert qui laisse entrer mes chattes folles, un soir de match avec des voisins rigolos. L’entonnoir des cons est ouvert et il pointe en ma direction…
Comme allez-vous en ce beau jour grêleux de mai ? Moi c’est à chier mais ça va (!). Sur l’autoroute, j’ai remarqué le très cher voyant de ma non moins très chère voiture clignoté dangereusement. Le moteur de cette petite tuture est véloce et n’a pas sourcillé malgré l’absence TOTAL d’essence. C’est après m’être rendu au travail à pied (5 bornes tout de même mais moins que mes ex randonnées) que je suis passé chez Carrefour pour prendre un ch’tiot godet (d’huile donc). Bien m’en a pris car la baguette de la joie, qui sert à regarder le niveau certainement dans les anciennes caisses, m’indiquait alors « tu es une grosse merde ». En effet, c’était le zéro pointé. Je pensais avoir mis de l’huile il y a peu mais non, ce n’était pas la bonne voiture ! Comprenne qui pourra. J’ai donc redémarré le fauve ce soir et tout va bien. Le moteur fait un bruit plus sympathique… C’est tout de même la deuxième fois que je fais cette connerie. Va falloir que je regarde plus fréquemment mes niveaux. Et le niveau est souvent bas.
Autre chose rigolote (quand je dis rigolo ce n’est jamais bon signe) : les gens. J’adore regarder les gens. Oui, j’aime mater leur tronche pour comprendre la connerie humaine. Pas tous bien sûr mais cette Terre est tellement remplie de cas très spéciaux… Par exemple, une femme d’un certain âge sortait de son boulot vers 19 h 45 ce soir (je suis allé au boulot à 8 h 15 et je suis sorti à 20 h avec la gentilesse d’un collègue pour me ramener). Je disais quoi ? Ah oui, la vieille gourde. Elle sortait de son boulot et après son sourire et les rires avec sa patronne a tiré une tronche pas possible en soufflant comme un veau cardiaque deux secondes après. Hors de la portée visuelle de sa chef bien sûr. D’autres personnages pestaient contre les caisses automatiques (à Carrefour encore). Gueulant que ça n’avançait pas, que les gens n’étaient pas doués. Il faut savoir qu’ils ont été, eux aussi, bloqués juste après… Lorsqu’on est con on se tire une balle. Je vais essayer de noter des cas demain, je vais m’amuser. C’est pour une livre je vais leur dire. Le Manuel du Con Moyen.
3e drôlerie ce jour (merci de ne plus jamais écrire 3ème, ras-le cigare de cette faute), mes chattes. Ce matin, alors que j’étais forcément pressé d’aller marche sous un beau soleil (car oui, il faisait un beau soleil ce matin), je n’ai pas correctement fermé la porte de mon bureau. Vu que j’ai une belle collection de peluches avec des tronches bizarres, mes chattes se sont amusés à toutes les dégommer au dessus des étagères… Un foutoir pas possible quand je suis rentré. Comme toujours, devant l’absence de mes montres poilus pour me dire bonjour lorsque je rentre, je me suis douté d’un drame. J’avais raison. Elles se sont cachés dès que je suis monté voir si l’une d’elles n’avait pas vomi des boules de poils (une horreur ces temps-ci, et sur ma couette, sympa). J’ai remis de l’ordre, leur ait montré leur bordel et après une claque… et un bisou, elles me suivent partout depuis 3 heures. D’ailleurs, elles dovient avoir faim…
Dernière chose rigolote et funny groove, mes voisins. C’est soir de match visiblement (quelle chaîne, j’en sais rien) et ils foutent bien sûr le bordel. Un bordel maîtrisé tout de même depuis mes descentes régulières. Et vu que mon patch anti-violence mais laissé comme une crotte de gnou moisi (le gnou donc), va pas falloir me faire chiiiier (remarquez les i).
Je vous laisse ici (ne pleurez pas). Ah si ! J’ai enfin terminé Dead Island. Je vais y jouer un peu pour atteindre le niveau 50 et enfin commencer le Riptide.