2016
Beta de The Division et zombis
Alors que la santé est franchement merdique (2 passages aux urgences depuis le 1er février et des rendez-vous prévus pour contrôler tout ce bordel), je peux me détendre un peu devant The Division et Dying Light The Following, c’est déjà ça.
Que les personnes qui m’aiment, et Dieu sait que vous êtes nombreuses (…) ne s’inquiètent pas, je ne suis pas au bord du gouffre mais juste fortement diminué par des problèmes persos. Hélas, je n’arrive plus à faire mine que tout va bien… Toujours le petit mot sur Critikale histoire de me rappeler, en février 2017… que le mois de février 2016 ne fut pas glorieux.
Bref, voici quelques captures Xbox One de Dying Light The Following suivies de l’excellente Bêta de The Division.
Il y a bien plus de zombis dans The Following. Disons surtout qu’ils ont plus d’espace pour exprimer toute leur joie à l’idée de vous enlacer. Inutile de dire qu’il vaut mieux ne pas tirer une seule balle, les Runners (infectés dans Dying Light) bien connus des joueurs de Zombicide vous tomberont dessus en quelques secondes.
En plein air, les effets de lumière sont plutôt jolis. Ici, l’ombre de cette struture se reflète parfaitement sur l’arbre derrière moi.
Une nouvelle arme. Une faux extravagante (sic).
La mission de la grotte est un peu pénible, très glauque et pas foncièrement intéressante.
Maintenant, passons aux captures de The Division. Mais tout d’abord, un maigre avis sur la Bêta car il faut bien donner son avis sur un site qui se nomme Critikale (une grosse surprise dans le courant de l’année d’ailleurs pour ce « problème »). The Division est un jeu que je souhaite acquérir, chez Carrefour bien sûr car leur prix des Day One sont particulièrement avantageux pour le consommateur précis (!) que je suis. Peux-être sera t-il à 50 €. Je verrai bien. Toujours est-il qu’il ne sera pas à 70 € comme chez Micromania et hélas, pas à 47.99 € chez Saturn vu que l’enseigne n’existe plus en France… Flute de bouse… Alors verdict ? Excellent jeu tout simplement ! Même si quelques craintes sur la durée de vie hors Dark Zone (DZ) sont bien présentes. Se balader dans New York avec son paquetage, et affronter des ennemis moins débiles que les PNJ au neurone unique, est un vrai bonheur. Graphiquement propre, très fluide, visiblement complet, The Division a tout pour lui. Le syndrome Destiny est pourtant là et je me demande vraiment si les missions seront suffisamment renouvellées et/ou intéressantes sur le long terme et si le jeu va sombrer dans le multijoueurs à 200 % en oubliant les parties Solo voire Coop. Donc oui, The Division sera chez moi le 8 mars (2e jour de mes vacances très attendues) et je vais être ravi de fouiller partout à la recherche d’équipement, de missions diverses, de secrets et de potes de Coop. Tout à l’heure, je vais rentrer pour la première fois dans la DZ avant que la Bêta ne ferme. Dans la soirée je pense à moins qu’elle soit encore allongé mais je ne pourrais de toute façon pas y jouer demain.
Place aux captures et aux éternelles explications foireuses.
Mon personnage actuel, propre sur lui (avant qu’il se fasse pulvériser ce soir dans la DZ). Niveau 7, 3 armes sympatoches, un sac qui peut contenir une cinquantaine d’objets, 4 heures de jeu (bon 3 h 59 détendez-vous).
Le début du jeu, où tout le monde se pointe pour sauver le monde, enfin la ville dans un premier temps. J’ai retirer un peu de finesse dans les options (40 % au lieu de 50) juste pour éviter d’avoir le peine de voir tout ce bordel ramer. Aucun ralentissement à déplorer et le jeu est très fin. J’ai aussi augmenter la rapidité de la visée (à 50 %), c’est correct. Et le jeu étant bel et bien fluide, tout est parfait.
On sent que la ville n’a pas un climat idéal. En regardant cette photo, je me demande où est passé la seconde jambe du PNJ (Personnage Non Joueur). Ouiiii bon là je viens de la voir, elle est derrière l’autre. Calmez-vous.
Dans la Bêta, l’aile Sécurité n’est pas accessible, j’ai amélioré les deux autres ailes de 10 %, le minimum syndical. J’espère que ces améliorations seront intéressantes dans le jeu complet.
La première vraie mission n’est pas aussi chiante qu’elle en a l’air. Je suis mort une quinzaine de fois à cause d’une technique à deux balles (bourrin). Heureusement, le jeu est bien plus subtil que ça et c’est un vrai plaisir d’affronter les ennemis.
Regardez sur le bureau, les donuts ont dû subir les effets toxiques de la ville… Un donut-pizza pour quatre peut-être.
Ces deux salles sont à deux étages différents. Le syndrome Dying Light (de tous les jeux en fin de compte) a frappé. La duplication des éléments et surtout des pièces est franchement navrante. Hélas, elle est logique vu la puissance ridicule des consoles actuelles. Contrairement à Dying Light, aucun effort d’Ubi Soft de mettre des éléments légèrement différents.
Les zones inaccessibles dans la Bêta sont bien indiquées… Et un compte à rebours fait même un peu flipper lors vous y entrer.
Une des zones souterraine accessible justement. Beaucoup de critique sur l’encombrement de l’écran sur les forums. De mon côté, même si cela m’a gêné dans les premiers moments, c’est vite oublié.
Voyez-vous mon ennemi plus bas ? Il est excellent (même si cela est connu) de toucher leur réservoir d’essence pour les faire exploser. L’explosion est d’ailleurs très bien rendue. Regardez aussi la position de l’interface, parfaitement « déposée » sur le panneau en bois. Un détail appréciable.
Le « GPS » est bien fait. Très dirigiste mais relativement discret. Comme indiqué plus haut, les PNJ (ici deux en face) sont franchement débiles. Il suffit de passer à côté pour se faire traiter de tous les noms. Une tare héritée de Watch Dogs (jeu très lassant en partie à cause de ça).
Le jeu est propre graphiquement. Détaillé. C’est franchement un plaisir de marcher dans ces rues de New York.
Ouf ! Que de captures ! 22 pour être exactes, pas mal. Et si la bascule sur OneDrive depuis la Xbox One n’était pas aussi longue et chiante à faire (on ne peut toujours pas les mettre sur le Drive simultanément, ou dites-moi !), il y en aurait plein d’autres ! Ce n’est pas tout ça, la Dark Zone m’attend. Mais avant ça, il faut que je me repose… mentalement.