2016
Rupture et division
Deux articles en 3 mois, la moyenne n’est pas bonne. Ainsi que s’est-il passé durant ces 3 merveilleux mois ? Un peu de malheur, beaucoup de bonheur mine de rien. Mais surtout, et encore, une nouvelle tristesse.
Ceux qui me lisent régulièrement, et selon Google Analytics, cela est évident (melon inside), savent pertinemment que Critikale n’est plus à jour lorsque ça va mal. Ou qu’il ferme complètement lorsque ça va très mal. Vous êtes donc nombreux à l’instant même où j’écris ces quelques mots à calculer la taille de ce qui va mal. En effet, Critikale n’est pas fermé, il reste tranquille sur la Toile bien tendue du grand Web, et il n’est pas vraiment mis à jour car la moyenne comme indiquée plus haut, est à chier. Osons le dire.
Depuis 2013, exactement depuis le 29 janvier 2013, mon monde si tranquille s’est écroulé. Vous le savez. J’ai beaucoup pleuré, beaucoup maigri, beaucoup changé. Quelque part en 2015 une jolie rencontre fut comme un nouveau départ, hélas de nombreux éléments, des petits et des grands, font que cette journée ignoble du 29 janvier ne fut pas oubliée. Ainsi, dans l’année 2016, je fus contraint à couper court à cette relation, impossible de me concentrer autrement. De me concentrer sur un Nous si cher à de nombreuses personnes, et à moi, évidemment.
Ce fut alors le 2 avril (Critikale ne fut plus mis à jour le lendemain). D’un seul mouvement, une simple étreinte innocente, et mes souvenirs infects de ce 29 janvier 2013 furent balayés. Mon cœur battait à nouveau, pour de bonnes raisons… Hélas, mille fois hélas, je dois me rendre à l’évidence, je suis cassé depuis 2013, brisé en un million de morceaux qui n’arrêtent pas de se briser eux-même en continuant à tomber inlassablement. J’ai beau faire mine et aller de l’avant, trop de choses ont été dite, trop de choses ont été écrites, et moi je me retrouve sans rien, et sans ne serait-ce qu’une larme à présent… Je ne pleure plus, je n’y arrive plus.
Je suis seul, seul dans un monde pas si simple mais dans un monde ou il faut que je change, il faut que j’oublie ces amours. Celui de 2004, celui, mal ordonné, de 2015, mais surtout, celui de 2016 qui m’a fait découvrir que mon cœur pouvait de nouveau aimer mais où les complications m’ont cloué au sol.
Celles-ci ne m’ont pas encore enterré, mais l’espoir fait mourir…
Critikale changera de forme (délicatement) pendant la semaine prochaine. Je ne pars par ce jour pour me détendre ailleurs, plutôt plus tard. À bientôt les amis, vous ne me détestez pas, ou peu, car vous ne me voyez pas.
PS : des nouvelles de jeux vidéo bientôt car quoi qu’on en dise, ces petits êtres numériques sont peut-être gamins ou pire, puériles, mais si vous me lisez encore aujourd’hui, c’est qu’il y a une raison…