2016
Survivre à New York
Je pourrais commencer ce petit article dédié à The Division par un magnifique « jouer est le seul truc qui me tienne en vie pour le moment ». Mais je n’en ferais rien, je suis bien trop positif pour cela. En plus, tant que les raclettes/fondues existent, je serai là.
Je pourrai aussi continuer en écrivant que je vais envoyer dans un mois l’annuel texto-anniversaire à ma très chère Lili, mon amour perdu, celle qui m’a retiré le coeur, qui me l’a envoyer valdinguer à 4983593439 km puis l’a repris et l’a reenvoyé à 839487394873 km, puis l’a repris et l’a écrasé joyeusement en chantant des chansons de Adèle tout en regardant avec ses copines haineuses un film de Tim Burton… Bref. Je pourrai. Mais j’en ferai rien car je m’en fous. Enfin non, je ne m’en fous pas, mais après tout, quand on ne supporte plus quelqu’un, on l’expédie. C’est ce que je fais maintenant. Un écart, je broie. Plus simple, et ça évite les malheurs du cœur le lendemain. Alors oui, je n’ai pas d’amertume, juste des regrets qui s’évaporeront lorsque j’aurai trouvé un amour fantastiquement démentiel. Je l’avais trouvé, mais il a filé le bougre de gland. Faut dire aussi que je suis particulièrement fermé. Je ne vais plus faire l’huître mais briller comme une perle.
Bref, je papote mais vous ne m’arrêtez pas, il faut dans ces cas présents.
J’ai téléchargé, grâce au Season Pass de The Division (première fois que je prends un Season Pass), l’extension Survie. Place aux captures donc pour présenter la bête (l’extension Survie et moi-même).
Personnage principal à date, le bonhomme progresse doucement.
Progression douce donc et ce n’est pas avec mon accolyte de toujours (visible en bas dans la rue sur le trottoir de gauche) qu’elle va être plus rapide. À deux, les missions les plus difficiles restent difficiles… Qu’importe, nous irons au bout de certaines bientôt.
Petite précision, peut-être que cela vous arrivera ou c’est déjà arrivé, même après téléchargement de Survie, il faut réactiver l’extension sinon elle est indiquée « hors ligne » à côté de l’escalier qui mène à la première extension (Souterrain).
Continuons par cette fameuse extension…
Attente comme des cons devant la porte de Survie. Chose incroyable, à cette partie nous étions 3.
Favelfoor que vous voyez sur ma droite (le gars en face n’est pas moi), et Kusanagisaya, qui nous fait grâce de sa présence.
Vous arrivez dans une planque (bien différente des planques habituelles). Vous devez récupérer les antivirus dans la Dark Zone. Mais avant cela, il faut fabriquer un filtre basique pour y aller.
En haut à droite vous voyez la température que mon personnage peut supporter (-2°C) et la température actuelle (-21°C). Vous l’avez compris, il y a comme un problème… Vous devez ainsi trouver très rapidement des vêtements plus chauds ou…
… ou des barils de feu. Il faut quelque fois les allumer. Comme l’excellent Destruction Derby (aucun rapport), l’effectif du début (environ 30 agents) bat de l’aile et vous verrez en temps réel le nombre d’agents restants…
Enfin, les boissons, barres de céréales et autres joyeusetés sont utiles ! Elles ne sert plus à donner de la bouffe aux civils qui vous donnent généralement de la daube en échange mais à survivre dans ce bordel… Vous pouvez aussi trouver des vêtements (ou les fabriquer) et des armes (sur les ennemis ou autres). Si un ennemi lâche quelque chose c’est pour votre gueule, un agent passant par là peut le prendre sans problème… Y compris les coffres si vous jouez à plusieurs… Tout est unique. Mais vous pouvez parfaitement partager vos vivres et vêtements à tout instant.
Mon espérance de vie n’était plus que de 29 secondes (c’est peu). De toute façon je me suis fais buter par un PNJ (personnage non joueur). Un petit Lukas de niveau 30 (un gros con).
Voilou pour ce soir. Pour le moment, le mode Survie me plait bien mais si comme toujours, cela pourrait être plus poussé. Encore tout à l’heure, je me suis fait tuer stupidement et je n’ai pas encore pu réaliser plusieurs missions demandées. Je conseille d’ailleurs le jeu à deux minimum. Tout seul cela reste excellent mais difficile, ou je n’étais pas concentré.
Vendredi, article sur les racailles comme annoncé il ya peu. Demain, retour à Cultura pour me faire échanger (ou par avoir) un vinyle voilé. Les joies des nouveaux pressages…