2019

Hammerwatch et My Time at Portia sur Xbox One

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Toujours dans la préparation de l’article de réouverture de Critikale, petite pause ludique avec Hammerwatch et My Time at Portia.

Même si The Division 2 est plutôt délaissé ces temps-ci (pourtant excellent), je lance régulièrement la One pour flairer quelques promos de “petits jeux” (n’ayant pas envie de me concentrer sur un gros truc). Je reviendrai d’ailleurs sur Red Dead Redemption 2 car j’avais réalisé énormément de captures mises en ligne sous WordPress (viré depuis). Elles reviendront bientôt avec un article regroupant mes jeux de 2018. Hammerwatch étant en promo il y a peu (6.99 € je crois) et peut-être même encore, il est téléchargé et après presque 5 heures de jeu, voici mes impressions. Pour My Time at Portia, comme vous le savez je n’ai pas respecté les clauses des demandes de remboursement sur Xbox One et je me le tape dorénavant. Un jeu sympa mais trop moyen pour le moment (30 €…).

Il y a de nombreuses salles fermées dans le jeu, qu’il est possible d’ouvrir avec des clefs (bronze, argent et or). Ces clefs apparaissent au dessus de l’écran, à droite de la clef or se trouve votre nombre de vies. Certaines salles sont remplies d’ennemis qu’il faudra forcément vaincre rapidement au risque de se faire déborder.

Les donjons sont plutôt identiques avec comme souvent, juste une skin particulière. En bas, votre vie (90 pour ma part) et la mana restante (seulement 23 pour le moment). Vous gagnez vie et mana en ramassant des items ou en activant un combo (plus de 10 enemis tués rapidement).

La carte est franchement chiante car elle apparaît en fondu sur votre gueule. Impossible de l’afficher autrement et de naviguer dans tous les sens pour savoir si on aurait oublié une pièce. Il faut se balader si la mémoire nous manque.

Plusieurs marchands sont accessibles dans les donjons. Ils vendent un peu de tout (armes, défenses, pouvoirs…). Y compris un spécial juste avant les boss de niveau (j’en ai battu deux pour le moment).

Voilà pour Hammerwatch. J’en suis plutôt content, il remplit le contrat. Graphiquement le jeu est propre avec un pixel art simple mais lisible (ce qui est le principal). La hitbox (zone de dégâts d’un sprite) des ennemis est d’ailleurs plutôt bonne, ce qui n’est pas forcément courant pour de nombreux jeux. Par exemple à Moonlighter (qui sera aussi bientôt visible sur Critikale), c’est à chier, ce qui nuit à la précision des combats du coup… Niveau jouabilité ce Hammerwatch est donc excellent. D’autres captures suivront.

Passons à My Time at Portia.

L’écran-titre augurait du meilleur pourtant. Une petite cahute, un crabe, un avion, une tour, un épouvantail, un outil… Bref, un jeu de ferme et d’aventure comme j’aime. Hélas…

Oui, je marche sur l’eau, je suis comme ça… De toute façon encore heureux car s’approcher d’un lac est dangereux. Chargement direct car impossible de toucher l’eau sans revenir sur le terrain. Non, pas d’effet de remous lorsque l’eau de la fontaine touche l’eau stagnante.

Comme nombreux jeux, il est possible de miner. C’est plutôt sympa mais sous exploité pour le moment. Il y a pourtant de bonnes idées.

Ce joyeux bordel est une fête qui a lieu le 18 du mois (il me semble). Des cadeaux tombent du ciel ou comme un gros connard vous devez les prendre avant tout le monde. Ici vous voyez tous les habitants du village de Portia. Comme Stardew Valley, il faut être pote avec eux.

Je relance une partie de Hammerwatch et vous aurez des nouvelles de ma pomme dimanche 28 avril, pour l’article…

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