2020

Brouette de jeux

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Un peu de Supraland, de Unruly Heroes et de Full Throttle Remastered pour aujourd’hui. Et après, l’article décalé.

SUPRALAND

Je continue ma partie et ça avance doucement. Le jeu reste sympa et les énigmes, un peu tordues mais bien foutues (le développeur est fou) ne sont jamais insurmontables.

De l’humour, un peu. Supraland comporte le plus souvent des dialogues rafraîchissants. Les personnages que vous rencontrez sont tous assez bavards et il est toujours intéressants d’appuyer sur le bouton X (dialogue sur Xbox One) pour avoir parfois des indices.

Le jeune garçon que vous voyez en train de regarder son jardin est le propriétaire de tout ceci. L’histoire dira certainement de quoi il en retourne exactement. Joue t-il avec des personnages, son imagination est-elle débordante ?

Le roi Bleu que vous rencontrez un peu plus tard dans la partie (je l’ai vu à 35% environ) est totalement désespéré. Il connait bien la reine Rouge (…) et vous demande de l’aide (alors qu’il a foutu le bordel dans votre village), mais est-ce lui…

UNRULY HEROES

Jeu téléchargé gratuitement grâce au Game Pass, Unruly Heroes ne restera pas longtemps, pourtant c’est sympa.

Switcher entre plusieurs personnages (quatre ici) me gonfle pas mal bien que le jeu soit agréable à jouer (mais manque d’étapes clés dans l’animations je trouve). Le jeu est joli, jouable et marrant. Un peu trop vide et je n’accroche pas à l’histoire pourtant bien amenée.

Full Throttle Remastered

Un jeu de 1995 plutôt apprécié par mon père à l’époque des très bons point and click Lucas Arts. Grande décennie de titres de ce genre avec le non moins excellent Les Chevaliers de Baphomet (1996). Et avant eux, le fabuleux Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989) que mon père, encore lui, a terminé sur Atari ST, et nous le regardions vu qu’il excellait à ce style de jeu. Aussi, je pourrais citer le fou Bill Palmer (1987) et le bluffant Maupiti Island (1990). Bref, je pourrais en citer 50.000 comme ça mais là n’est pas l’objet…

Full Throttle Remastered porte relativement bien son nom avec ses dessins lissés mais qui ont forcément perdu de leur charme d’antan.

Pour le moment les souvenirs sont là et l’humour connu des développeurs répond présent. Je relancerai le jeu de temps en temps mais il serait étonnant de le voir de nouveau sur Critikale.

Voilà pour aujourd’hui, l’article décalé arrivera la nuit en mardi 10 et mercredi 11 novembre.

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