2021
Changement de header avant la coupure
Nouvel header et petites retouches sur le logo en cette fin de juillet alors que ma chère connexion Internet va être quelque peu malmenée.
Le logo cède sa teinte blanche à un noir plus logique. Une très vieille citation de Critikale revient sous le logo : heads will roll signifiant « des têtes vont tomber ». Rien de bien dramatique dans cette citation. Juste une volonté de suivre cette superbe citation de George Orwell, dans mon petit univers :
Certaines paroles sont faciles à dire, encore plus à écrire, mais la vérité devient réellement complexe dans ce drôle de monde.
Petite présentation du header avant de filer. Les jeux présentés sur celui-ci seront modifiés une fois par mois, faut voir. J’occupe mon esprit complexe et moribon comme je peux…
De gauche à droite en partant évidemment du logo.
SHENMUE [Dreamcast] | Bien sûr oserai-je dire. Notre ami Shenmue est un des titres phares de mon enfance, que ce soit le premier ou le deuxième. Je n’ai pas encore essayé le dernier jeu sorti sur PS4. L’ambiance extraodinaire de Shenmue est incomparable. La nostalgie n’a pas toujours du bon mais mes souvenirs resteront très positifs pour ce jeu.
DOOM [PC] | Doom est simplement un des premiers FPS que j’ai pu testé sur nos vieux ordinateurs. J’ai juste adorer à l’époque. Je me souviens précisément de mes longues heures sur son éditeur de niveau Build, programme dont je possède encore le manuel, ou plutôt l’aide encyclopédique.
DESTRUCTION DERBY [PS1] | La première PlayStation m’avait mis une grosse baffe avec la sortie de Destruction Derby. Mon frère et moi étions plutôt bluffés à l’époque. Encore aujourd’hui, et je le répète régulièrement sur Critikale, il restera un de mes jeux préférés grâce au charisme des pilotes. Étant plus jeune et sujet à l’évasion dans mes mondes, j’accordais toute une histoire à ces pilotes.
GHOST RECON WILDLANDS [Xbox One] | L’image n’est pas très bien choisie car elle montre la jaquette de la version Integrale, ou quelque chose de ce style. Wildlands est la meilleure expérience coop qui soit. Une tuerie du début à la fin. Sa durée de vie et son univers maîtrisé me manque. Un jeu qui mériterait une version remaniée. Ou simplement une suite pour oublier le moyen (mais pas si mauvais) Breakpoint.
CELESTE [Xbox One] | Celeste fait partie de mes jeux de plateforme suicidaire préféré. Suicidaire car c’est le genre de die & retry que j’affectionne. Jouabilité quasi parfaite, musiques somptueuses, personnages attachants, durée de vie parfaite. Une tuerie sur de nombreux points comme Ori Will of the Wisps.
EPSN EXTREME GAMES [PS1] | Horrible image choisie mais je n’ai pu faire autrement. Trouver un rendu HD correct sur ce jeu est complexe. Tout comme Wildlands, et même Destruction Derby en Link (réseau local PS1), ESPN Extreme Games ne peut être délogé de mon top 10. Je me rappelle les parties incroyables sur un vieil écran Thomson (ou Philips) en 36 cm de diagonale (je précise…). Courses géniales, souvent bordeliques mais jamais frustrantes.
MASS EFFECT [Xbox One] | Inutile de présenter l’excellence. Je n’ai pas encore sauté de pas sur Mass Effect Legendary Edition (pas le pognon et moyennement l’envie). Mass Effect brille à tous les niveaux. L’histoire est juste bluffante d’intérêt avec la découverte de cet énorme univers, de ces civilisations virtuelles mais réalistes, de ces personnages complexes. Oui, le jeu de Bioware possède des défauts mais la série Mass Effect est une claque à tous les niveaux. Je n’ai pas terminé Mass Effect Andromeda, jugeant les personnages moins charismatiques et attachants mais même là, dans la médiocrité toute relative, Bioware signe un grand jeu (!).
DUNGEON MASTER [Atari ST] | 1987… J’avais 10 ans lorsque Dungeon Master est arrivé sur Atari ST, mon ordinateur de l’époque. Présenté par mon père, le titre de FTL Games était une ode à l’aventure. Chaque appui sur les flèches de direction faisait monter l’adrénaline. Chaque combat devenait un réel affrontement psychologique. L’un de mes meilleurs souvenirs de joueur comme de nombreux titres Atari ST…
STARDEW VALLEY [Xbox One] | L’évidence. Stardew Valley est un des meilleurs jeux de détente, un anti-stress mélodieux. Tout est fait pour se détendre et passer un bon moment. Un titre comme celui-ci n’a pas de fin mais reste inachevé pour moi et certainement pour de nombreux joueurs qui aimeraient tellement plus. En l’état, il est juste indipensable pour ceux qui aime le genre.
SUBNAUTICA [Xbox One] | Je ne cesserai de crier haut et fort que ce jeu est une tuerie. Que ce soit le premier ou Below Zero (que je n’ai pas encore terminé), Subnautica correspond à l’essence même de ce que je recherche dans une jeu de survie. Être seul, être dans l’eau, avoir une grande surface à explorer, être constamment surpris… J’espère qu’un vrai 3e jeu sortira pour corriger les quelques soucis. Si vous aimez un peu la flotte et les découvertes régulières, foncez ! Même la construction de sa base est l’une des meilleures actuelles.
CONDEMNED [Xbox 360] | Je pourrai parler de Silent Hill (PS1), Resident Evil (plus particulièrement du 7), Alan Wake (Xbox One), Soma (Xbox One), Firewatch (Xbox One)… Les jeux d’ambiance, d’horreur, de frissons, il y en a énormément. Condemned est plus que ça. C’est une plongée dans un monde très sombre qui s’empare de notre âme. Avec un moteur révolutionnaire à l’époque (quasi non dépassé encore maintenant…), Condemned est certainement un de mes jeux préférés, en toute discrétion, car le titre de Monolith Productions (édité par SEGA en 2005) n’a pas fait grand bruit (tout comme le bluffant Driven to Destruction, étrangement absent de ce header). Une perle comme on en fait plus.
Voilà, les 12 premiers jeu de ce header. Certains seront remplacés petit à petit. À un moment donné, le header sera composé de mon Top 10 + deux jeux particuliers. Pour Critikale, et suivant les conseils de personnes qui me sont chères, les critiques de jeux poursuiveront sur le site avec des petits ajustements. À part ça, un au revoir et à bientôt pour, je l’espère, un avis sur Microsoft Flight Simulator sur Xbox Series X.