2022
Planet Crafter 0.4.008, après 16 h de jeu
Toujours pas d’article sur Critikale mais cela va arriver, très bientôt. Pour le moment, je continue Planet Crafter et essaie d’optimiser mes installations.
Nouvelle série de capture après que ma deuxième base a pris l’eau, comme la première. Il est donc vraiment important de ne pas créer sa base à côté de la capsule de sauvetage…
Ces drôles de rochers m’ont fait pensé à ceux de l’île de Paques.
Ouiii je sais ce n’est pas flagrant mais quand même, l’idée est là.
Et par extension, de Gum-Gum.
Bref, reprenons…
Ma 2e base prend l’eau en effet… La capsule de sauvetage est dans une zone où un lac se forme rapidement dès que vous montez en indice de terraformation. Du moment où les nuages apparaissent, il ne faut pas être dans cette zone…
Trop rarement, des messages sont disponibles sur votre écran de messagerie. Plutôt intéressants et bien écrits, ces messages expliquent davantage le jeu et rendent l’aventure moins solitaire.
La gestion de l’énergie est on ne peut plus simple. Sur ces captures, ma consommation actuelle est de 912.15 kW/H et mon énergie disponible, résultant de 2 réacteurs nucléaires T2, de 9 panneaux solaires T2 et d’un réacteur nucléaire T1 est de 925,00 kW/H. Il me reste ainsi 12.85 kW/H dispo. Pas de quoi fabriquer ce que je souhaitais (le producteur alimentaire demande 15 k/WH pour fonctionner. Plus tard, j’ai gagné le schéma du Chauffage T4, celui-ci demande énormément d’énergie pour une réelle montée en puissance par rapport au T3 (6 fois plus environ !).
Le jeu ne prévoit pas certaines situations. Ici, je suis bien trop haut (grâce au drôle de jet-pack) et les textures sont étranges.
Comme indiqué plus tôt, la pluie propose un rendu ridicule. L’humidité du sol est correctement retranscrite mais l’effet de pluie est mauvais, j’aurai aimé quelque chose de plus simple, pas d’asticots qui tombent.
Lors de pluies d’astéroïdes, les rochers se fourrent partout, ici, plusieurs avaient réussis à pénétrer ma base. Le jeu a quelques bugs mais cela reste minime et largement acceptable pour une version 0.4…
Une nouvelle fusée créée pour cartographier la carte, avec normalement plus de précision car c’est une T2. Je n’ai pas vu de différence. Peut-être plus de détails, moins pixélisée, je ne sais pas. Une fois partie, vous voyez enfin ma nouvelle base au loin.
Les micropuces que je continue de récolter ne servent à rien. J’ai tous les équipements possible (meilleur sac à dos, meilleur jet-pack, meilleure source d’oxygène, meilleure vitesse de déplacement, tous les outils…). Peut-être que ces trois schémas vont me servir dans une mise à jour.
Voici plusieurs vues de ma troisième base. On ne peut rien construire sur les rochers, le mode de constructeur n’est pas très souple et n’autorise pas certaines manipulations (j’y reviendrai un jour). C’est sympa mais on voit que ce n’est pas le but du jeu. Comme indiqué par les 2 développeurs, Planet Crafter se veut avant tout tranquille.
La prochaine étape est longue, très longue : la mousse. J’en suis à 58.06 %. J’ai perdu beaucoup de temps de terraformation en détruisant intégralement mes anciennes bases inondées. Sur la dernière capture, je suis à 137.26 millions d’indice de terraformation. Dire que le premier palier était à 175.000 et cela me paraissait impropable.
ALORS, IL EST CONTENT LE GROS CHAUVE ?
Il l’est. Bientôt 17 h de jeu et c’est très chill, comme espéré par les développeurs. Le jeu est cool, il n’y a pas d’ennemis, si on meurt, on peut récupérer nos affaires et même si je ne gagne plus grand chose, je découvre encore et encore des astuces et des nouveautés. J’attends de faire pousser des arbres car j’ai 6 graines que je ne peux utiliser. D’ailleurs, la prochaine présentation du jeu sera axée sur ça, ce qu’on peut faire.
ET CRITIKALE ? ET LE GRAND LIVRE ? ET…
Critikale, vous le savez, est terminé. Un dernier article arrivera avant juin, je pense le 28 mai au soir. Le Grand Livre sera donc bel et bien le souvenir de Critikale. Mais alors, est-ce que le Grand Livre va fermer aussi ?! Peut-être car un projet bien plus grand arrive pour clôre mon chapitre.
À plus.