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2024

N° 2, article 2 sur 15

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Semaine comme précédemment, dans l’attente d’action… Mes cartons commencent à s’amonceler et cela continuera ainsi une grande partie du mois de mars.

De nouveau du jeu cette semaine et beaucoup de promenade lors mon temps le permettait.

STARDEW VALLEY (Xbox Series X)

Toujours ce bon vieux Stardew Valley, et toujours en attendant l’ultime mise à jour 1.6. Je continue un peu SV ces temps-ci mais un autre jeu me prend bien plus de temps…

DYSMANTLE (Xbox Series X)

Je l’avais acheté il y a quelque temps et je n’avais clairement pas accroché. Un remboursement plus tard, le voici de nouveau installé et pas près d’être supprimé…

L’interface est limpide. En haut à gauche la barre de vie du personnage. Juste en dessous les objectifs actifs. En haut à droite de l ‘écran, le niveau du personnage, en dessous, l’objectif de craft. Le personnage parle de temps en temps (sans voix, juste en texte). En bas à gauche de l’écran, la carte du jeu (une fois débloquée). En bas, l’inventaire et à droite de l’inventaire, les outils en main. Limpide je l’avais dit.

Petite animation que j’adore, lorsqu’on dépose notre inventaire dans les coffres du jeu (un peu partout sur la carte, comme des checkpoints).

Le jeu est plutôt beau, un style basique qui fonctionne bien. Parfaitement optimisé malgré la taille hallucinante de la carte (j’en parlerai dimanche prochain).

Dysmantle tourne très régulièrement dans ma Series X en attendant, normalement, Expeditions : A Mudrunner Game. Titre qui se prend des notes catastrophiques sur le store de Microsoft et un lynchage généralisé en vidéo YouTube. Normal à la vue de sa technique (lags toutes les 3 secondes et d’autres trucs incompréhensibles comme le remappage des touches qui était pourtant excellent sur Snowrunner). Bref, j’attend mardi sa sortie officielle mais je ne peux pas dépenser stupidement et je m’accorde qu’un truc rigolo en mars alors ça va être vite-vu.

GHOST RECON BREAKPOINT (Xbox Series X)

Celui-là je l’installe très régulièrement, autant que je le désinstalle évidemment (merci la fibre). J’adorerai l’adorer… Hélas je n’y arrive pas, malgré des qualités évidentes, il n’arrive pas à la cheville de l’excellence indétrônable de Wildlands.

Positions toujours catastrophiques des ennemis abattus, planque ridicule dans les « hautes » feuilles et toujours ces cons qui chialent alors que je viens de leur sauver la peau. Merci Ubisoft de gâcher vos talents.

ORI AND THE WILL OF THE WISPS

Étrangement je souhaite refaire Ori (le second opus). Le jeu fait toujours parti de mon Top 10 tous supports confondus et reste le plus beau jeu à l’heure actuellement (et le mieux animé). Une tuerie, point.

L’aventure débute avec l’amitié qui vous lie avec le piaf ci-dessus. Le pauvre a une aile blessée. Le jeu est un quasi sans faute, voire un sans faute d’ailleurs… Comme Limbo, Unravel, Inside, Celeste et Little Nightmares. Des souvenirs géniaux. et j’en oublie 3000.

DEAD CELLS (Xbox Series X)

Étrangement Dead Cells refait surface.

Le jeu m’a un peu perdu au fil de mises à jour assez chaotiques je trouve. L’essence même du titre de Motion Twin n’est plus la même. J’y rejoue de nouveau histoire d’obtenir enfin cette 3e cellule. Je progresse très difficilement…

IN RAYS OF THE LIGHT (Xbox Series X)

Mmmh. J’avais demandé le remboursement à Microsoft mais, chose rare, je n’ai rien obtenu (le titre est toujours à 2.49 € il me semble au lieu de 9.99 €, enfin je ne sais plus calmez-vous).

Pourquoi un remboursement demandé ? Point de décision hâtive cette fois-ci (chose rare…) mais juste un jeu horriblement mal optimisé qui tourne à 20 FPS. Pour tout dire, j’ai arrêté tout à l’heure car j’avais la nausée… C’est dommage, le jeu est un style que j’apprécie : on se promène tranquille à la recherche de solutions pour progresser. Il n’arrive pas à la cheville de l’exceptionnel Agent A mais reste intéressant. C’est vraiment dommage cette animation lourdingue.

Vous commencez dans ce grand bâtiment.

Il me fait penser à moi cet ours en peluche. Seul sur un chaise à se demander comment il a fait pour arriver là. Comprenne qui pourra.

Cette lampe m’obsède (oui oui). C’est une lampe de banquier (1920). Je surkiffe le design de cette époque légendaire et surtout les polices de caractères. D’où la conception grâce à mon ami Illustrator du logo de Critikale (qui n’est pas terminé d’ailleurs). J’achèterai cette lampe quand j’aurai un nouveau chez-moi. Le design des barreaux à cette fenêtre me fait aussi penser à ce type d’architecture.

Il est intéressant d’allumer les lampes (quand c’est possible) sur certains bureaux histoire de voir les détails. La lampe torche est pas mal mais le jeu rame tellement qu’on peu louper des trucs entre deux lags. En fait le jeu ne lague pas, il propose juste un framerate merdique.

Bon, c’est tout pour ce dimanche. Dimanche prochain j’essaierai de parler d’autres choses que du jeu mais c’est le seul truc (avec mes promenades) qui me font oublier plein de trucs.

À dimanche 10 mars.

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Peu de plaisirs mais ce n’est pas tout

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Une semaine riche, complète, différente. Voilà ce qui s’est passé durant ces quelques jours qui séparent cet article au précédent. Critikale suit sa route sur laquelle mes pieds ne trébucheront plus.

J’avoue que j’ignore pourquoi je continue à écrire sur ce site. Clairement, c’est tout à fait étrange car l’utilité est très personnelle. Dans quelques semaines, Critikale changera totalement. Fini les avis sur les jeux vidéo, fini ce déballage de conneries sur ma vie en général. Cette semaine, j’ai vu quelque chose qui ne m’a pas fait du bien, ou au contraire, qui m’a réveillé et il était temps. Car je me suis enfin dit qu’il était temps que j’arrête d’espérer quelque chose de risible, d’impossible, et que je me concentre sur ce que je veux réellement, comprendre pourquoi j’en suis là et surtout, corriger, corriger et encore corriger.

Ce que je veux réellement, c’est écrire. Mais pas écrire pour ne rien dire. Les jeux vidéo seront toujours là pour m’évader et me retrouver dans un autre moi. Mais je pense qu’il est temps que je sois plus concis et que je continue un projet laissé trop longtemps à l’abandon. Je dois faire des efforts et je pense qu’il est tout aussi temps que Critikale change de nom. Je vais y réfléchir.

En attendant, comme toujours, voici une sélection de titres géniaux ou non, qui naviguent difficilement sur ma Xbox Series X. J’ai allumé très peu la PS5 histoire d’en finir avec les aventures de notre magnifique Aloy et j’ai retéléchargé Death Stranding histoire de le terminer un jour. Mais j’en doute.

Une seule capture par titre, rapide. Capture mise en avant : jeu Control.

LIGHTYEAR FRONTIER (Game Pass)

J’avoue ne pas comprendre comment on peut laisser un tel jeu à l’abandon. J’ai dépassé les 100 jours de jeu, réalisé à 100 % ce qu’il fallait faire, toutes les missions, toutes les améliorations, et le jeu reste tel quel depuis des lustres. Pas de mise à jour, aucun nouveau contenu, aucun suivi du développeur. J’avoue ne pas avoir cherché plus loin le pourquoi du comment (peut-être est-il à jour sur PC). Ma ferme présentée sur cette capture est assez ancienne mais pas l’envie d’en dire plus sur ce titre qui a pourtant un grand potentiel de satisfaction du cigare. Quel gâchis !

BOTANY MANOR (Game Pass)

Mon coup de coeur de l’année ! Juste ça. Un jeu extraordinaire que j’ai terminé il y a peu (et je suis dégoûté). Des indices dispersés dans un immense manoir permettent de faire pousser de nombreuses fleurs et de suivre une jolie histoire. Le jeu est beau, intéressant, et gratifiant lorsqu’on arrive à faire pousser ces jolies plantes. J’ai buté sur une seule énigme mais à force de faire chauffer mes quelques neurones, j’ai réussi non sans difficulté à finir ce jeu. Un vrai bonheur dans quelques gigas de données. Je le conseille à n’importe qui aimant les plantes en général et les énigmes. Tout comme cette perle qui est Agent A (un jeu d’énigmes fantastique que je vous conseille à 2000 %), Botany Manor doit être lancé absolument… vous ne décrocherez plus.

ET QUOI D’AUTRES ?

La mise à jour de Starfield (jeu non présenté sur Critikale suite à divers problèmes perso) porte bien le titre de Besthesda à 60 FPS mais le jeu n’est pas stable… J’ai relancé le titre car j’adore ce genre d’univers (l’espace à la Mass Effect) mais je n’y arrive pas. La fluidité est trop relative (mais bien meilleure clairement) mais c’est surtout l’absence de correction pour la synchronisation labiale qui rend le jeu ridicule. Les dialogues, déjà relativement moyens, deviennent pathétiques, à cause de cette synchro qui est la pire que j’ai vu dans un jeu (et jamais corrigée). Besthesda ne sont pas les champions du monde de ce genre d’exercice (les dialogues des PNJ) mais là, c’est du foutage de gueule.

Autres titres essayés :

The Quarry : jeu terminé. Une aventure géniale au même titre que Until Dawn (PS5).

Harold Halibut : un univers étrange mais tellement attachant que je souhaite aller au bout, il n’est pas encore supprimé de ma console, ce qui est bon signe.

Kona II : j’ai surkiffé le premier mais celui là est médiocre, je suis déçu… Il est désinstallé. Il est gratuit pour les abonnés Game Pass.

NHL 24 : de retour car gratuit dorénavant. J’ai recommencé une petite saison pour la détente avec l’équipe de Bridgeport (AHL).

C’est tout, peut-être rendez-vous le 1er juin, sinon portez vous bien.

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Little Kitty, Big City (Xbox Game Pass)

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Au-delà de son superbe logo, Double Dagger Studio a ronronné un excellent jeu, ultra chill, complet et téléchargeable gratuitement pour les abonnés au Game Pass.

UN MOT SUR CRITIKALE

Quelques articles seront publiés sur le site avant le 1er juin histoire de me refaire la main car avouons-le, j’ai perdu un peu le fil avec tous ces problèmes que j’accumule depuis 2 ans bientôt. Problèmes qui auraient pu être évité si seulement je réfléchissais… Et surtout, si j’avais eu un minimum de courage. La « ligne éditoriale » de Critikale changera à partir de juin. Le site ira à l’essentiel.

LITTLE KITTY, BIG CITY (Game Pass)

Je ne m’attendais pas à relancer le jeu autant de fois, et je continue actuellement mon aventure avec ce petit chaton irrésistible !

VITE-FAIT, QUID DE LA TECHNIQUE

Graphiquement, le jeu est plutôt chouette, aucune texture ne relève du génie ou d’un moteur graphique incroyable, loin de là. Mais le jeu est propre, suffisamment détaillé pour être agréable à l’oeil et le quartier dans lequel on évolue propose une architecture réaliste où on se plait à gambader pour tout fouiller.

L’animation est bonne, très bonne même, mais je parle ici de l’animation purement animale. Les mouvements du chaton sont mignons et le plaisir de le voir se déplacer est ainsi renforcée. Ici, nous n’avons pas affaire avec les superbes graphismes et animations de Stray mais Little Kitty, Big City reste très joli, parfaitement jouable, et délicieusement mignon. On s’attache vraiment à ce petit chat et c’est le principal.

Comme dit plus haut, la jouabilité est bonne. Les sauts sont bien gérés, les mouvements fluides, les coups de patte (droite et gauche selon le stick choisi) sont réalistes. Les mimiques du jeu rendent vraiment le jeu agréable.

Première bestiole rencontrée, le corbeau sera votre meilleur allié pour rentrer chez vous. Un allié complexe tout de même…

L’histoire du jeu est très simple. Un chaton ronronne tranquillement en faisant une sieste plus ou moins méritée sur le rebord de la fenêtre (…) puis, après un étiremment dont seuls les chats ont le secret, tombe du petit immeuble. Il atteri sur un oiseau qui le dépose non sans mal plus loin, en bas de l’immeuble, dans un quartier aux nombreuses flaques d’eau (on comprendra plus tard pourquoi il y a autant de flotte). Judicieux pour bloquer l’accès à certaines zones. Bien que tous les chats n’aient pas peu de l’eau. Votre petit chaton, dont on ignore le nom, a une profonde aversion avec l’eau, et il ne s’en cache pas. Dès qu’un bout de son petit nez effleure ce merveilleux liquide, le bond en arrière qu’il engendre est presque flippant.

Places aux captures, en vrac.

Ne surtout pas toucher ces horribles flaques monstrueuses pour notre chaton.

Inutile de vouloir grimper là-dessus au début du jeu, il faut manger un poisson pour commencer à avoir suffisamment d’énergie pour s’élever un peu plus et atteindre les hauteurs du quartier.

De très nombreux chapeaux sont à trouver sur la carte (carte qui sera activée plus loin dans l’aventure, sur cette capture ce n’était pas le cas). Les chapeaux sont tous plus mignons les uns que les autres. Ces chapeaux se trouvent dans des boules disséminer sur toute la carte. Il faut vraiment fouiller partout, et ça c’est un excellent point fort du jeu. Les chapeaux ne sont pas là pour faire joli d’ailleurs, ils sont quelque fois utiles…

Vous rencontrerez de nombreux autres animaux. Évidemment, chacun aura une demande.

Les quêtes principales et les tâches annexes sont dissociées. Les quêtes (premier onglet) augmentent bien sûr au fil des rencontres d’autres animaux. Les tâches (deuxième onglet) consistent à ramasser 100 plumes d’oiseaux (par exemple), ou de recycler des objets dans les conteneurs idoines. Le 3 onglet est celui des chapeaux, le 4e la sauvegarde (à tout moment), les paramètres sur le 5e onglet et l’option de quitter la partir au dernier. Un onglet se glisse plus tard pour la carte lorsque vous rencontrez le canard.

Plusieurs choses à dire sur cette capture. Le plot est légèrement surelevé hélas (il ne touche pas le sol). « Problème » assez régulier du jeu. Rien de bien méchant mais c’est dommage. Globalement le jeu ne comporte pas de bugs pénibles, et il est assez fluide. Le seul moment où le titre a ramé est lorsque je pataugeais dans le ciment frais. le moteur physique est très mal optimisé pour ce genre d’effet de déformation.

Autre chose important, les humains… Vous pouvez leur sauter dessus, les faire trébucher ou d’autres trucs marrants. Il est par exemple important de les faire trébucher pour récupérer leur sandwich s’ils en ont un. Et le laisser pour les oiseaux afin de les capturer (et d’obtenir des plumes).

Voilà qui sera tout pour aujourd’hui. Rendez-vous la semaine prochaine pour un avis sur Botany Manor (Game Pass), mon coup de coeur de cette année.

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Réouverture de Critikale.com le 1er juin

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Il se peut que le site ouvre pour la énième fois ses faibles portes le 1er juin 2024 (je précise pour les comiques).

Même si ma vie est un vaste sketch, je vais poursuivre pendant un temps, et un temps seulement, l’écriture d’une petite poignée d’articles chaque semaine que Dieu fait.

À dans 1 mois environ. Mon mal de tête ne sera plus de ce monde, normalement.

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